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Justice (et Droit)

Journée du Mardi 14/06/2023

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-Le document relatif au lancement officiel de la 2e phase (2023-2027) du projet de coopération entre le ministère de la Justice représenté par la Direction générale de l'administration pénitentiaire et de réinsertion, le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en Algérie, a été signé, ce mercredi à Alger. Ce projet vise à "renforcer la réinsertion sociale des détenus", rappelant que la première phase de ce projet de coopération tripartie 2014-2022 "a permis de soutenir les efforts de l'Algérie pour le développement de son système pénitentiaire, tout en permettant au pays de bénéficier de l'expertise internationale en termes de pratiques et de programmes de prise en charge et d'accompagnement des détenus". "Six (6) programmes thérapeutiques psycho-éducatifs spécialisés ont été mis en place durant la période 2014-2022, destinés à la prise en charge des prisonniers violents, des toxicomanes et des récidivistes, en sus d'un programme spécial pour les femmes détenues et celui pour les mineurs et un programme d'orientation au profit des familles des prisonniers, sans oublier le renforcement du rôle de la société civile dans la réinsertion sociale des prisonniers", a-t-il rappelé. Ce programme "a permis d'augmenter le nombre des associations qui collaborent avec l'administration pénitentiaire, désormais 273 associations nationales et locales, outre la mise en place des mécanismes et des procédures organisationnelles de coopération et d'action commune entre les associations, les services externes et les établissements pénitentiaires", a-t-il ajouté. La deuxième étape de ce projet portera sur "l'appui du travail des services spécialisés en évaluation et orientation et des services externes à même de garantir une bonne planification et coordination pour la gestion de l'étape d'avant libération et d'intensifier les efforts de tous les intervenants pour éviter toute récidive criminelle". Il sera également question de "renforcer le processus de prise en charge des détenues afin de prendre en considération leurs besoins", a-t-il dit.