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Justice (et Droit)

Journée du Vendredi 12/03/2022

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- www.elwatan-dz.com (extrait): L’ancien coordinateur des services de sécurité, le général-major à la retraite Bachir Tartag, a été condamné, dans la nuit de jeudi à hier, à 6 ans de réclusion par le tribunal militaire de Blida. Bachir Tartag a été poursuivi pour «abus de sa fonction» en «donnant des instructions» à ses subordonnés d’ouvrir des enquêtes liées à la corruption, impliquant Mme Maya, de son vrai nom Zoulikha Nachinèche, les deux enfants de Djamel Ould Abbès, (El Wafi et Skender) et une députée de Boumerdès, mais aussi pour les fonds saisis dans le cadre de ces investigations. Le procureur a requis la peine maximale de 10 ans de réclusion contre Bachir Tartag et quatre autres accusés. Mais le tribunal a prononcé la peine de 6 ans contre Bachir Tartag, une autre de 5 ans contre le général Nabil Benazzouz, ancien directeur de la sécurité de l’armée et directeur adjoint de l’ex-patron de la sécurité intérieure – le général Wassini Bouazza, en détention à la prison militaire de Blida. La même peine a été retenue contre deux ex-chefs de l’antenne de la sécurité intérieure de la wilaya d’Alger, le colonel Smaïn, et son successeur, le colonel Lotfi, alors que leur collègue, du service juridique, le colonel Abdessadok, a écopé d’une condamnation de 4 ans ferme. Poursuivis et incarcérés depuis plus d’une année, en vertu de l’article 29 de la loi 06/01 relative à la prévention et la lutte contre la corruption, les mis en cause ont été condamnés pour «n’avoir pas respecté» la procédure de préservation des fonds saisis et déposés à la Banque centrale, dans le cadre de trois enquêtes ouvertes puis mises sous le coude en 2017.