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Justice (et Droit)
Journée du Dimanche 07/02/2022 |
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-Le Pôle pénal économique et financier du Tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté lundi, au 21 février 2022, le procès de l'ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh et de l'homme d'affaire Kouninef ainsi que d'autres accusés, à la demande du collectif de défense……………………………………….
-.Après les avocats et les notaires, les huissiers de justice sont, à leur tour, vent debout contre le nouveau régime fiscal imposé à leur profession par le ministère de la Justice.
Ces officiers publics, mandatés par l’autorité publique, observent depuis hier une grève nationale illimitée en signe de mécontentent contre les dispositions du nouveau régime fiscal, contenues dans la loi de finances 2022, à l’appel de la Chambre nationale des huissiers de justice.
«Le mot d’ordre de grève nationale illimitée a été largement suivi hier, à travers le territoire national, par la corporation des huissiers de justice», s’est félicité Mohamed Belabbes, président de la Chambre nationale des huissiers de justice, dans une déclaration à El Watan.
Les membres de la Chambre nationale des huissiers de justice avaient décidé, fin janvier, d’un arrêt de leur activité à travers tout le territoire national jusqu’à la satisfaction de leur revendication. …………………………………
-Le président tunisien, Kaïs Saïed, a annoncé, avant-hier, tard dans la soirée, sa décision de dissoudre le Conseil supérieur de la magistrature (CSM). «Qu’il se considère une partie du passé, à partir de ce moment», a dit le président tunisien, en allusion au CSM, lors de son allocution devant les hauts cadres du ministère de l’Intérieur, auxquels Saïed a rendu visite dans leur département.
Le Président a rappelé que le CSM n’a rien fait pour débloquer de grandes affaires, comme celle des assassinats politiques qui traîne depuis neuf ans. Le président tunisien s’est déplacé au ministère de l’Intérieur pour expliquer son opposition à l’interdiction de manifester, proclamée quelques heures auparavant par le ministère. «La situation pandémique a évolué ces derniers jours et les gens peuvent manifester dans le respect de la loi», leur a-t-il expliqué, en insistant sur son respect des libertés et des droits en Tunisie, dans le cadre du respect des lois en vigueur. «Nous avons laissé les gens dire des mensonges pour ne pas porter atteinte à la liberté d’expression.
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