Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Justice (et Droit)

Journée du Samedi 12/09/2021

<< juillet 2024 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
29 30 1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31 1 2



-En détention depuis juin 2019, l’ex-PDG de la Société de gestion des résidences d’Etat de Club des Pins a accusé hier, lors de son procès à Alger, l’ex-patron de la Gendarmerie nationale, le général Ghali Belkecir, en fuite à l’étranger, d’être à l’origine du «règlement de comptes» dont il dit être victime. Ses coprévenus, les deux ex-Premiers ministres, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, ont nié les faits et plaidé l’inconstitutionnalité du procès en raison de leur statut. L’ex-PDG de la SIH (Société d’investissement hôtelier) et ancien directeur de l’entreprise publique Sahel, qui gère les résidences d’Etat de Club des Pins et de Moretti, à l’ouest de la capitale, Abdelhamid Melzi, a comparu devant le pôle pénal financier près le tribunal d’Alger, avec les deux anciens Premiers ministres, Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia, ainsi que plusieurs membres de sa famille. Poursuivi pour «blanchiment d’argent», «dilapidation de deniers publics», «abus de fonction», «trafic d’influence» et «passation de contrats en violation de la réglementation des marchés publics», il a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés avant d’accuser l’ancien patron de la Gendarmerie nationale, le général Ghali Belkecir, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt international lancé par le tribunal militaire de Blida pour «haute trahison».