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Justice (et Droit)

Journée du Dimanche 26/04/2021

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- Le tribunal de Sidi M'hamed a rendu ce lundi son verdict en première instance opposant Mohamed Bairi à Abdou Semmar et Mahieddine Tahkout condamnant ces derniers à 5 ans de prison ferme et 500.000 dinars d'amende , le journaliste Abdou Semmar et l'homme d'affaire Mahieddine Tahkout. Les deux prévenus sont poursuivis pour "provocation" et "propos calomniateurs", au cours d'une conversations téléphonique, dont des extraits ont fuité sur les réseaux sociaux, contre l'homme d'affaire et propriétaire du groupe IVAL, Mohamed Bairi . ................................................................ --Selon un communiqué rendu public, lundi, le Parquet de de Sidi M’Hamed a décidé le placement de l’adolescent, encore mineur, dans un centre spécialisé dans la protection des enfants. «Le juge des mineurs près le tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a ordonné le placement du mineur Chetouane Mohamed Arezki Said dans un centre spécialisé dans la protection des enfants, et ce après avoir constaté chez ce dernier "des comportements contraires aux mesures prises auparavant en sa faveur», écrit dans ce sens, le communiqué émanant du procureur de la République de la même juridiction. La même source explique qu’ «En application des dispositions de l'article 11 du Code de procédure pénale et pour éclairer l'opinion publique sur l'évolution de l'affaire du mineur Chetouane Mohamed Arezki Said, le parquet de la République près le tribunal de Sidi M'hamed tient à préciser qu'en parallèle aux poursuites judiciaires engagées contre les prévenus majeurs impliqués dans l'exploitation et l'instrumentalisation du mineur susnommé, il a été procédé en date du 05/04/2021 à l'ouverture d'un dossier relatif à l'enfant mineur, exposé à un danger moral, devant la juge des mineurs qui avait décidé pour l'intérêt de l'enfant, de le remettre à sa mère en tant que mesure de protection prévue par la loi, notamment la loi sur la protection de l'enfance, en ordonnant à sa mère de prendre toutes les mesures nécessaires à sa prise en charge et de veiller à son éducation», est-il souligné. «En dépit de cette mesure», poursuit le texte du Parquet, « il a été constaté chez le mineur des comportements contraires aux mesures décidées en sa faveur par la juge des mineurs, et ce après avoir observé sa participation à des marches non autorisées en compagnie de personnes majeures et la poursuite de son exploitation et instrumentalisation». Et au procureur de conclure que «Vu les réquisitions du parquet, Madame la juge des mineurs a procédé en date du 25/04/2021, au changement des mesures prises à l'encontre de l'enfant mineur en ordonnant son placement dans un centre spécialisé dans la protection des enfants»., a-t-il indiqué…