|
Histoire
Journée du Dimanche 21/06/2021 |
|
|
- La guerre faire rage entre le président par intérim de l'ONM, Mohand Ouamer Benhadj et Abdelkader Bengrina, prolongeant du coup l'échange réciproque d'accusations qu'ils ont eu durant la campagne électorale.
Dans une vidéo, mise en ligne dimanche, le président par intérim de l'ONM sort l'artillerie lourde contre Bengrina en lui rappelant que "tu as bénéficié de prêts bancaires que tu n'a pas remboursé à ce jour et tu continues d'habiter à Club des pins et moi je réside dans un appartement dans un quartier populaire, et ça c'est un des aspects de l'injustice dans notre pays".
En réponse à l'accusation de Bengrina qui lui reproche "de ne pas soutenir les institutions nationales", Mohand Ouamer Benhadj réplique en lançant : "Je ne suis pas un applaudisseur professionnel dans Diwan Essalhine".
"Ne t'occupes pas des affaires internes de l'Organisation, moi j'ai fait mon devoir vis-à vis de ma patrie, j'ai subi des mutilations dans mon corps du fait des tortures qui m'avaient été infligées" renchérit encore le patron de l'ONM en réponse au chef d'El Bina qui lui rappelait qu'il n'avait pas de "légitimité" pour parler au nom de l'ONM, lui suggérant même d'organiser rapidement un congrès électif".
Et last but not least, Mohand Ouamer Benhadj accuse Bengrina d'être "au service de forces extérieures", mais sans donner plus de précisions.
Durant la campagne électorale, des responsables de partis politiques adverses ont sorti 0 Bengrina cette affaire de prêts bancaires qu'il n'auraient pas encore remboursés. ......................................................................
--Le Front des Forces Socialistes (FFS) a dénoncé ce lundi une «offensive abjecte» contre les symboles les «plus emblématiques» de l'unité nationale et de l'histoire de l'Algérie, estimant que l'objectif de ces «attaques méprisables» était de «semer la discorde et la division entre les Algériennes et les Algériens». «Nous assistons ces dernières semaines à une offensive abjecte contre les symboles les plus emblématiques de l'Unité Nationale et de l'Histoire de notre pays», a écrit le FFS dans une déclaration rendue publique, signée par son Premier secrétaire national, Youcef Aouchiche.
Citant comme exemple «l'ignoble acte de vandalisme» orchestré contre la statue de Hocine Aït-Ahmed, érigée, à sa mémoire, dans la commune de Ouacif (Tizi Ouzou), le FFS a indiqué que cette «offensive se manifeste par des attaques méprisables et méthodiques contre tout ce qui nous unit, dans l'objectif de semer la discorde et la division entre les Algériennes et les Algériens».
Il a ajouté que ces «apprentis sorciers» qui «agissent en pyromanes et qui ont l'habitude de nager dans les eaux troubles», jouent sur «toutes les sensibilités dans l'espoir d'attiser la haine et raviver le spectre de la violence dans le pays».
|
|
|