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Environnement

Journée du Jeudi 25/10/2024

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-Une secousse tellurique de magnitude 3 degrés sur l'échelle de Richter a été enregistrée vendredi à 17h26 dans la wilaya de Bejaia, indique un communiqué du Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG). L'épicentre de la secousse a été localisé à 4 kilomètres au sud-ouest d'El Kseur dans la même wilaya, précise la même source................................... - Outre l’aggravation de la sécheresse et la dégradation du couvert végétal du côté algérien, les pratiques marocaines ont causé la disparition de 43 espèces d’oiseaux et d’animaux rares, ainsi qu’une perturbation des routes migratoires des oiseaux migrateurs. L’Algérie dénonce les effets néfastes des pratiques marocaines sur les eaux de surface transfrontalières dans l'ouest du pays. «Les régions ouest et sud-ouest de l’Algérie subissent des effets négatifs résultant des pratiques de l’Etat voisin, le Maroc, obstruant et détruisant les eaux de surface transfrontalières», déplore le ministre de l’Hydraulique, Taha Derbal. S’exprimant à l’occasion de la 10e réunion des parties à la Convention sur la protection et l’utilisation des cours d’eau transfrontalière et des lacs internationaux, dont l’Algérie n’est pas membre, le ministre présente le constat fait dans cette bande frontalière algéro-marocaine. Taha Derbal affirme, dans ce sens, que «ces pratiques ont provoqué des catastrophes environnementales». Il cite, ce faisant, la détérioration de la qualité des eaux du barrage Hammam Boughrara, dans la wilaya de Tlemcen, à cause de la contamination des eaux entrantes des territoires marocains, et de la forte réduction des eaux de l’oued Ghir, affluant vers le territoire algérien, à cause des barrages construits du côté marocain de la frontière. Ces barrages marocains, indique-t-il, ont entraîné l’assèchement prolongé du barrage Djorf Torba sur le territoire algérien. L’impact de ces pratiques, souligne-t-il, est subi également par la région de la Saoura à Béchar, dans le sud-ouest de l’Algérie. Dans cette zone, regrette le ministre, on assiste à l’effondrement des écosystèmes et de la biodiversité, affectant notamment la faune et la flore. Mais pas seulement. Taha Derbal relève aussi les répercussions économiques et sociales graves sur les habitants des régions frontalières algériennes affectées. Outre l’aggravation de la sécheresse et la dégradation du couvert végétal du côté algérien, les pratiques marocaines, indique M. Derbal, ont causé la disparition de 43 espèces d’oiseaux et d’animaux rares, ainsi qu’une perturbation des routes migratoires des oiseaux migrateurs