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Energie (et Mines)

Journée du Dimanche 15/06/2020

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-Le ministère Tunisien de L’Énergie, des mines et de la transition énergétique a annoncé dans un communiqué publié sur sa page Facebook aujourd’hui le 15 juin, que la Société Tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) bénéficiera de la réduction de 10?% de l’ancien prix contractuel d’achat du gaz algérien après l’approbation de l’Algérie du renouvellement du contrat d’achat suite aux négociations Tuniso-Algériennes, rapporte des médias Tunisiens. Il est à rappeler que la STEG a entamé des négociations avec la société pétrolière algérienne Sonatrach. Et ce, depuis avril 2018 jusqu’au mois de juin 2020, ces nouveaux prix d’achat du gaz algérien sont appliqués à partir de juin 2020, précise le même ministère, avec cette baisse opérée par l’Algérie sur le prix du gaz naturel vendu à la Tunisie, cette dernière importera 2,5 milliards m3 annuellement jusqu’en 2025 et augmentera à 3 milliards de m3 les quantités importées pour la période 2026-2029, l’accord prévoit également des quantités de gaz importées par la Tunisie durant la saison estivale de l’ordre de 11 millions de mètres cubes par jour durant les mois de juillet et août. Le nouvel accord permettra également à la société Tunisienne de prolonger les délais de paiement de 15 jours à 30 jours, selon le même communiqué publié par le ministère Tunisien de l’Énergie, des Mines et de la transition énergétique. -Le pétrole perdait du terrain, hier, pénalisé par la possibilité d’une deuxième vague de contamination à la Covid-19 après la découverte d’un nouveau foyer en Chine, signal inquiétant pour la reprise de la demande en or noir. Hier matin, lundi 15/6 , le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 38,19 dollars à Londres, en baisse de 1,39% par rapport à la clôture de vendredi. A New York, le baril américain de WTI pour le mois de juillet perdait 2,34%, à 35,41 dollars, après s’être aventuré sous les 35 dollars en cours de séance asiatique. Selon les analystes, le recul des cours du brut est directement lié à «la recrudescence des cas de coronavirus à Pékin ainsi que dans certaines régions des Etats-Unis, qui alimente les craintes d’un début de deuxième vague d’infections et la nécessité de nouvelles mesures de confinement».