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Culture (et Religion)

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  • 31-12-2023
    -Les démarches entreprises par l’Office de protection des biens culturels ont abouti au classement des Arènes et du théâtre régional Abdelkader-Alloula d’Oran dans la liste du patrimoine national. «Le classement de ces deux monuments au patrimoine national à protéger a été validé par la commission nationale chargée de ce dossier, relevant du ministère de la Culture et des Arts», a déclaré à l’APS le chef du service Patrimoine à la direction de la culture locale, M. Djameleddine Barka. Le classement des Arènes d’Oran, sises au quartier Mahieddine, est intervenu suite à la présentation du dossier à la commission précitée, lors d’une réunion tenue le 26 décembre dernier au siège du ministère de tutelle, durant laquelle la valeur historique et culturelle, tant au niveau national qu’africain, de ce monument a été mise en relief, a déclaré le même responsable. Pour rappel, les Arènes d’Oran, communément appelées par les Oranais «Ettoro», réalisées durant l’ère coloniale française, ont vu la présentation de plusieurs spectacles de tauromachie animés par des toréadors célèbres. Les Arènes, qui ont également abrité, durant les premières années de l’indépendance, des activités sportives et culturelles, attirent chaque année des visiteurs nationaux et étrangers. S’agissant du second monument, en l’occurrence le Théâtre régional d’Oran (TRO) Abdelkader-Alloula, dont la bâtisse revêt un cachet architectural, esthétique et historique indéniables, la même source a fait savoir que sa validation comme patrimoine national par la même commission nationale a eu lieu en raison du fait que ce monument historique «répond aux critères d’éligibilité autorisant son classement», a précisé le responsable de la direction de la culture et des arts de la wilaya d’Oran. Le TRO, dont la bâtisse trône au milieu de la place emblématique de la capitale de l’Ouest 1er-Novembre, a été réalisé au tout début du 20e siècle et son inauguration, sous l’appellation d’Opéra d’Oran, est intervenue en 1907.......................................................................................... -E FESTIVAL NATIONAL DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL S’EST CLÔTUR ce dimanche , au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi (TNA),.S ous la direction de l’artiste Fadila Hachemaoui, le jury a rendu hommage à Sid-Ahmed Agoumi, véritable icône du théâtre algérien, pour sa contribution exceptionnelle à l’art scénique.. Le grand vainqueur de cette compétition est Thawra du Théâtre régional de Sidi Bel-Abbès. Parmi les productions qui ont marqué ce festival, poursuit-t-il, on peut citer la pièce «Ichou» du théâtre de Biskra, «Yawm Qabl El Qiyama» du théâtre de M’sila, «Sefar» de compagnie de Laghouat, «AlBouniki» du TNA et «Halqat Ishbilia» du théâtre d’Annaba. Béchar a présenté «Tarab al-Junoan», Constantine a présenté «Istirahat El Mouharidjin», la Coopérative de la culture et des arts, «Chemma Dorijin», le théâtre de Souk Ahras a présenté «El Mohtashad», l’association culturelle El Mawja a présenté «Afrika 45-60», le Théâtre de Skikda a concouru «Tahta El Hisar», le Théâtre de Sidi Bel-Abbès a présenté «Thawra», et la coopérative Numidia a présenté «Nazhaw fi El Harb». Par ailleurs, le jury a formulé plusieurs recommandations visant à améliorer la qualité des productions théâtrales et garantir une meilleure expérience pour le public. Ces recommandations mettent en avant, selon Mohamed Chergui, l’importance de la précision linguistique, l’exactitude historique, l’utilisation de la musique locale et une approche plus équitable envers les productions jeunes et prometteuses.
  • 24-12-2023
    -L’écrivain algérien Waciny Laredj a remporté ce 24 décembre le prestigieux prix Great Arab Minds (les grands esprits arabes) 2023 pour la catégorie «?littérature et art?». Cette distinction représente l’équivalent du prix Nobel de littérature du monde arabe.À cette occasion, le créateur des «?Great Arab Minds?», Mohammed ben Rachid Al Maktoum — émir de Dubaï, vice-président et Premier ministre des Émirats arabes unis —, a tenu des propos très élogieux à l’égard de l’auteur algérien. «?Nous félicitons, a -t-il écrit su son compte Twitter, le professeur Waciny Laredj pour avoir remporté le prix des Grands esprits arabes (????? ?????) dans la catégorie littérature et arts en reconnaissance de ses grandes contributions littéraires.?».«?Le professeur Waciny a écrit, poursuit-il, plus de 30 romans liés aux conditions des sociétés arabes, à leur culture et à leur environnement. En outre, ses romans ont été traduits dans plus de 20 langues et sont étudiés ans plusieurs universités à travers le monde.?» .«?Le professeur détient une chaire à l’Université d’Alger (Algérie) et une chaire à l’Université de la Sorbonne à Paris (France). Nous le félicitons pour sa victoire, nous apprécions ses efforts et nous lui rendons hommage pour tout ce qu’il a apporté à la littérature arabe et aux lecteurs du monde entier?», conclut l’émir. Le prix «?Great Arab Minds?» (en arabe ????? ?????) a été lancé en 2022 à l’initiative de l’émir de Dubaï, Mohammed ben Rachid Al Maktoum.Se voulant être les équivalents du prix Nobel pour le monde arabe, les distinctions récompensent des scientifiques, des leaders d’opinion, des chercheurs et des innovateurs dans six (6) domaines : les sciences naturelles (physique et chimie)?/ la médecine?/ la littérature et les arts?/l’économie?/ la technologie et ingénierie?/ l’architecture et le design. Du reste, la victoire aux «?Great Arab Minds?» permettra à Waciny Laredj d’empocher un chèque d’un (1) million de dirhams émiratis (l’équivalent de 272?286 USD). Une récompense pécuniaire dont le but est d’aider les lauréats à «?financer leurs recherches et leurs projets dans le monde Né le 8 août 1954 à Tlemcen, Waciny Laredj, écrivain, romancier et critique littéraire, est l’auteur d’une trentaine (30) d’œuves en arabe et en français. Son dernier roman traite de la légende de Hiziya et s’intitule «?Hizya : le soupir de la gazelle sacrificielle?». Depuis 1994, il enseigne la littérature à l’université de la Sorbonne (Paris).
  • 22-12-2023
    -Le 16e Festival national du théâtre professionnel (Fntp) s'est ouvert officiellement ce vendredi soir à Alger, lors d'une cérémonie officielle en hommage à l'artiste et comédien Sid Ahmed Agoumi, en présence de la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji.
  • 20-12-2023
    -Des cadres du ministère de la Culture et une délégation de l'Union africaine (UA) ont tenu, du 18 au 20 décembre courant à Alger, une réunion consacrée à l'examen de la situation du Grand Musée d'Afrique, a indiqué mercredi un communiqué du ministère. Tenue sous la présidence de la ministre du secteur, Mme Soraya Mouloudji, à la Villa Boulkine, siège provisoire du musée, sise à la circonscription administrative d’HusseinDey (Alger), cette réunion s'inscrit dans le cadre «des efforts du ministère visant le renforcement de la coordination avec l'UA en vue d'accélérer le parachèvement des procédures juridiques relatives à la réalisation du Grand Musée d'Afrique», a précisé le communiqué. La réunion, ajoute la même source, a regroupé des cadres du ministère de la Culture, une délégation de l'UA conduite par Mme Angela Martins, directrice de développement des affaires socioculturelles et des sports à la Commission de l'Union africaine, ainsi que des experts en la matière relevant de l'UA, lit-on dans le document.
  • 19-12-2023
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, hier, l'Imam de la Confrérie Kountiya de la République du Mali, Mahmoud Dicko, a indiqué un communiqué de la présidence de la République. La rencontre s'est déroulée en présence du Directeur de cabinet par intérim à la présidence de la République, Boualem Boualem, du Directeur général de la documentation et de la sécurité extérieure, le général major Djebbar M'henna, et du conseiller du président de la République, chargé des affaires religieuses, des zaouïas et des écoles coraniques, Mohamed Hassouni, a ajouté le communiqué.
  • 18-12-2023
    -Créé en 2016 par les deux artistes Kate Van Houten et Takesada Matsutani, le prix Matsutani accorde une dotation de 10 000 euros au lauréat. Pour l’édition 2023, ce trophée a été décerné à une brillante et talentueuse artiste d’origine algérienne.Cette année, le jury de SHOEN, présidé par Takesada Matsutani et Kate Van Houten, accompagnés de Jean-Philippe Bourgeno, Valérie Douniaux et Tom Laurent, a rencontré six artistes pour choisir le lauréat de ce prestigieux prix. Ce jury composé de célèbres artistes et peintres ont décidé, cette année, d’accorder le prix Matsutani, à la Franco-Algérienne Samta Benyahia. Et ce, pour récompenser la qualité et la richesse de son œuvre, menée avec ténacité depuis les années 1970.Cette artiste plasticienne est à l’origine de plusieurs œuvres. Le Moucharabieh constitue le leitmotiv principal de ces œuvres. Le losange, la rosasse bleue méditerranée et l’étoile sont, d’ailleurs, les principaux piliers qui distinguent le vocabulaire de Samta Benyahia.Ayant grandi à Constantine, Samta Benyahia est devenu la première femme à se spécialiser dans la gravure en Algérie. Après avoir mené ses études supérieures à l’école nationale des arts décoratifs à Paris. L’artiste algérienne est, d’ailleurs, à l’origine de la création du premier atelier de gravure à l’école supérieure des beaux-arts d’Alger, où elle enseigne pendant la période 1980 – 1988. Et ce, avant de décider de s’installer définitivement en France. À l’hexagone, elle poursuit d’abord ses études à l’université de Paris, puis consacre sa vie à la carrière d’artiste.L’artiste plasticienne a fait de sa double culture algérienne et française le point fort de ses œuvres. En effet, Samta Benyahia s’inspire de l’entremêlement des cultures africaines, berbères, arabes et occidentales. Parmi ses créations, « La vie en Paillettes » et » Résurgences des traditions ancestrales ».
  • 10-12-2023
    -Le Parlement arabe a salué, dimanche, l’approbation par le Parlement danois d’un projet de loi criminalisant l’autodafé du Coran, appelant le reste des pays occidentaux à suivre cette démarche. C’est ce qui ressort d’une déclaration du président du Parlement arabe, Adel bin Abdul Rahman Al-Assoumi, publiée sur le site internet du Parlement. Al-Assoumi a déclaré que cette décision est "un pas sur la bonne voie pour respecter les religions et prévenir la récurrence de crimes qui menacent la sécurité et la stabilité internationales en raison de la multiplication des incidents d'autodafé du Saint Coran". Le président du Parlement arabe a souligné "la nécessité de promulguer une telle loi dans tous les pays occidentaux pour confirmer leur respect des religions et empêcher la répétition des crimes consistant à brûler le Saint Coran ou à lui porter atteinte sans sanction dissuasive". Jeudi dernier, le Parlement danois a adopté une loi criminalisant les "traitements inappropriés" de textes ayant une signification religieuse importante, interdisant de facto les autodafés du Coran. Le vote a été soutenu par 94 députés et rejeté par 77 sur un total de 179. En vertu de la nouvelle loi, brûler le Saint Coran et les livres saints, les agresser et tout comportement inapproprié ciblant les valeurs religieuses, seront interdits dans le pays, et les contrevenants à la loi seront condamnés à une amende ou à une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à deux ans. La loi nécessite la signature de la reine Margrethe II du Danemark pour entrer en vigueur. Le Danemark et la Suède ont récemment connu des incidents répétés de profanation du Coran. Cela a suscité une colère généralisée dans le monde musulman.