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Histoire

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  • 26-12-2021
    -Le moudjahid libyen qui a participé à la guerre de libération nationale, Mohamed Omar Ahmed Kanass, dit "Ould Hamou Mohamed", est décédé à l'âge de 84 ans, a-t-on appris auprès de ses proches. Le Consul général d'Algérie à Tripoli, Aïssa Romani, a adressé, au nom des responsables algériens et de la famille révolutionnaire, un message de condoléances à la famille du défunt qui a consacré, a-t-il dit, avec sincérité et honneur "la solidarité du peuple libyen authentique avec la cause algérienne contre le colonialisme français"..................................................................... --Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laid Rebiga a annoncé, dimanche à Alger, l'élaboration d'un programme spécial pour commémorer le 43e anniversaire du décès du Président Houari Boumediène. S'exprimant en marge de la 9e Conférence de l'Union nationale des paysans algériens (UNPA), le ministre a précisé, dans une déclaration à la presse, que "sur ordre des hautes autorités, un programme spécial est en cours d'élaboration pour commémorer l'anniversaire du décès du président Houari Boumediène".
  • 12-12-2021
    -La proposition de loi relative à la commémoration de la répression d’Algériens le 17 Octobre 1961 et les jours suivants à Paris, présentée par les sénateurs Rachid Temal, Jean-Marc Todeschini, David Assouline et Hussein Borgi, n’a pas été adoptée jeudi par le Sénat français. C’est dire que la voie vers la reconnaissance des crimes d’Etat commis pendant l’ère coloniale est encore semée d’entraves et que des résistances à cette reconnaissance s’expriment jusque sur les bancs de parlementaires de droite et d’extrême droite. Réunie le 1er décembre 2021, la commission des lois du Sénat n’a pas adopté, sur le rapport de Valérie Boyer (les républicains – Bouches-du-Rhône), de texte sur la proposition de loi n° 42 (2021-2022) relative à la commémoration de la répression d’Algériens le 17 Octobre 1961 et les jours suivants à Paris, inscrite par le groupe socialiste, écologiste et républicain dans le cadre de son espace réservé. Au motif que «consacrer par la loi la commémoration d’un événement serait potentiellement de nature à créer de nouveaux débats sur la reconnaissance par la loi d’autres commémorations liées à la mémoire de la guerre d’Algérie». Et de conclure qu’«il ne paraît donc pas que l’adoption d’une loi puisse contribuer à l’apaisement et au travail mémoriel commun». Le 9 décembre, après une discussion sur le texte initial de la proposition de loi, le Sénat l’a écarté. La proposition de loi se compose de deux articles. Le premier tend à la reconnaissance par la France de sa responsabilité «dans la répression de manifestants algériens réclamant pacifiquement l’indépendance de leur pays ayant eu lieu le 17 Octobre 1961 et les jours suivants à Paris». Le second demande à ce qu’une commémoration officielle rende hommage chaque 17 octobre aux victimes de la répression de manifestants algériens réclamant pacifiquement l’indépendance de leur pays. Les auteurs du projet de loi avancent dans l’exposé des motifs la loi n°99-882 du 18 octobre 1999, qui substitue l’expression «guerre d’Algérie ou aux combats en Tunisie et au Maroc» à celle d’«opérations effectuées en Afrique du Nord».
  • 11-12-2021
    -Manifestations du 11 décembre 1960 : A. Tebboune s’incline devant les acrifices des Algériens
  • 10-12-2021
    -La France annonce l’ouverture , « avec quinze ans d’avance » l’ouverture des archives judiciaires sur la guerre d’Algérie
  • 02-12-2021
    - Publication des mémoires de Lakhdar Bentobbal. La famille Bentobbal dénonce une «usurpation» (EL WATAN, 2 DÉCEMBRE 2021) EXTRAIT : « Le 9 novembre 2021, la famille du défunt Lakhdar Bentobbal a été informée par des proches de la publication d’un livre qui se revendique être ses Mémoires, sans en avoir donné le moindre accord. En ignorant de manière éhontée l’avis de la famille, celui qui se présente comme l’auteur transgresse toutes les règles déontologiques et éthiques, à commencer par le respect de la mémoire du défunt…. »