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Finances

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  • 31-12-2020
    -Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a signé ce jeudi la Loi de finances 2021 (Loi n° 20-16 du 16 Joumada El Oula 1442 correspondant au 31 décembre 2020 portant loi de finances po, Joradp n°83 du 31 décembre 2020) , indique un communiqué de la présidence de la République. Le cérémonie de signature a été suivie par le président de Conseil de le nation par intérim, Salah Goudjil, le président de l’Assemblée populaire nationale (Apn), Slimane Chenine, le Premier ministre, Abdeleziz Djerad, le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, Said Chengriha, le ministre les Finances, Aymen Benabdrahamne, le directeur de cabinet de le Présidence de le république, Noureddine Baghdad Daidj, secrétaire général de le présidence de le république, Mohamed El Amine Messaid, et le secrétaire général de gouvernement, Yahia Boukhari
  • 30-12-2020
    - Publication de la LF 2020° in Joradp n° 81 du 30/12. Bases: Prix du pétrole à 50 $ / Taux de croissance: 1,8% / Taux d'inflation: 4,08 %/ Recettes prévues: 6 289,7 mds DA (dont 2 200,3 mds DA de fiscalité pétrolière) ............................................................... --Intervenant sur les ondes de le radio nationale, le président de le Capc , Sami Agli, indiqu que le masse de l’argent qui circule dans le marché noir, donc en dehors de circuit bancaire, est estimée à hauteur de 60 milliards de dollars................................................................................................................ -Des décrets présidentiels relatifs à la participation de l’Algérie aux augmentations des capitaux d'institutions financières internationales et à l'augmentation de sa souscription à la reconstitution des ressources de l’Association internationale de développement ont été publiés au journal officiel de l'année 2021 (N° 1, 2 janvier 2021) Il s’agit du décret présidentiel du 30 décembre 2020 autorisant la participation de l'Algérie aux augmentations "sélective et générale" du capital 2018 de la Société financière internationale (SFI). En vertu de ce décret, l’Algérie est autorisée à concurrencer de 27.367 parts supplémentaires aux augmentations sélective et générale du capital 2018 de la société financière internationale. Le versement de la participation de l’Algérie sera opéré sur les fonds du Trésor public dans les formes prévues par les résolutions datées du 16 avril 2020, selon ce texte réglementaire. L’autre décret concerne la participation de l'Algérie à la 7ème augmentation générale du capital de la Banque africaine de développement (BAD), à laquelle est autorisée à concurrencer de 404.532 actions supplémentaires. Le versement la participation algérienne sera opéré sur les fonds du Trésor public dans les formes prévues par une résolution datée d’octobre 2019. Aussi, la participation de l'Algérie à l'augmentation spéciale du capital de la BAD a été encadrée par un autre décret qui fixe à 15.830 ses actions supplémentaires à cette institution financière. Le versement de la participation sera opéré également sur les fonds du Trésor public dans les formes prévues par une résolution de juin 2019. Par ailleurs, le décret présidentiel autorisant la souscription de l'Algérie à la 19ème reconstitution des ressources de l'Association internationale de développement a été publié au Journal officiel. Le versement de la souscription est opéré sur les fonds du Trésor public, dans les formes arrêtées par la résolution n 244 approuvée en date du 31 mars dernier.
  • 29-12-2020
    -Cévital a réagi ce mardi aux informations rapportées, il y a deux jours, par plusieurs médias d’après lesquels le premier groupe privé algérien aurait réalisé pour l’année 2020, des bénéfices records, estimés à 3,3 milliards de dollars, en dépit de la crise du Coronavirus. Mouloud Ouali, directeur d’information du groupe, interrogé mardi par le site d’information Sabeq Press, a démenti l’information, expliquant que « le groupe Cévital, à l’instar de toutes les entreprises dans le monde, est impacté de plein fouet par la crise sanitaire et a enregistré par conséquent une baisse considérable de son chiffre d’affaire et de ses bénéfices ». Le responsable de l’information de Cévital a qualifié par ailleurs de « dénuée de tout fondement », l’information dévoilée par le magazine américain Forbes middle East, selon laquelle Issad Rebrab, le patron du groupe, s’est classé à la sixième place des plus gros patrimoines en Afrique, avec une fortune estimée à plus de 7.5 milliards de dollars, es réserves de change « appréciables », 10.913 milliards de Da de crédits pour l’économie nationale………………………………………………………………………………………… -Les bureaux de change de devises seront destinés aux étrangers en cas d’ouverture, a fait savoir le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane. Répondant à des questions à l’issue de l’adoption de la loi de règlement budgétaire 2018 au Conseil de la nation, il a par ailleurs que « l’Algérie dispose de réserves « appréciables » et « très acceptables ». Et le pays s’emploie à préserver ces réserves, à travers les mécanismes de réduction des importations et de lutte contre la surfacturation mis en place. La loi de Finances 2021 prévoit une baisse des réserves de change à moins de 47 MDS/USD en 2021, avant une reprise progressive lors des deux années suivantes. M. Benabderrahmane a aussi a expliqué qu' »il n’est désormais plus possible de gaspiller l’argent public dont nous sommes tenus responsables mais de le dépenser avec un accompagnement pour obtenir la performance économique requise. Le moment est venu pour nos entreprises publiques, mais aussi privées, d’être compétitives et l’Etat les accompagnera », a-t-il affirmé. A ce propos, il a fait savoir que l’économie nationale bénéficie de crédits s’élevant à 10.913 milliards de DA, dont 85% accordés par des banques publiques et 14,5% par des banques privées. Le ministre a également annoncé l’émission de nouveaux billets de banque qui seront en circulation début 2021. Interrogé à propos des bureaux de change, maintes fois annoncés sans que ces bureaux ne voient le jour, le ministre des Finances dit que leur ouverture aux résidents était une « procédure illégale » qui ne peut être mise en œuvre car, selon lui, les bureaux de change sont destinés principalement aux étrangers. Cette annonce intervient au moment où l’allocation touristique des Algériens enregistre une baisse record en cette fin d’année. Les citoyens désirant en bénéficier avant de quitter le territoire dans des vols spéciaux ne recevront que 90 euros pour 15.000 Da. Une conséquence de la baisse de la valeur du dinar algérien cette année. L’euro et le dollar s’échangent, respectivement, à 161 Da et 132 Da ce mardi 29 décembre 2020, contre 133 Da et 119Da en janvier 2020. Interrogé sur le coût d’acquisition du vaccin anti-Covid-19, le ministre a assuré qu’un « budget important » a été consacré par l’Etat pour l’acquisition de ce vaccin « dès janvier prochain », sans pour autant donner des chiffres.
  • 28-12-2020
    -Les membres du Conseil de la Nation ont adopté, lundi à Alger, à la majorité la loi portant règlement budgétaire pour l'exercice 2018, lors d'une séance plénière présidée par Salah Goudjil, président par intérim du Conseil. Lors de la séance de vote tenue en présence de la ministre des Relations avec le parlement, Bessma Azouar, le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane a affirmé que la durée de présentation de la loi de finances devant le parlement sera réduite à l'année référentielle (N-1) à partir de l'année 2021, ce qui permettra une meilleure maîtrise des dépenses et davantage de transparence, conformément au programme de réforme de la finance publique, prévu dans le programme du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Le ministre a ajouté que cette mesure confirmait la volonté de l'Etat de conférer davantage de transparence à la gestion budgétaire. Il a précisé, en outre, que le montant global des crédits destinés à l'économie nationale s'élèvait à 10.913 milliards de dinars jusqu'à juin dernier, avec la fermeture de plus de 36 comptes d'affectations spéciales en 2021. Le Gouvernement veillera à poursuivre le processus de réformes engagées dans le domaine des finances avec la rationalisation des dépenses, et en conférant la transparence nécessaire à la gestion de l'argent public, a-t-il assuré.
  • 26-12-2020
    -Selon le magazine américain Forbes Middle East, issad Rebrab a augmenté en 2020 sa fortune de 4,2 à 7,5 milliards de dollars en l’espace de quelques mois. En effet, cette fortune s’est accrue de 3,3 milliards de dollars en seulement 7 mois malgré la pandémie qui a engendré un ralentissement de l’économie mondiale et une crise financière qui a fait et continue de faire tanguer les principales bourses internationales. Il arrive en seconde position des hommes d'affaires du monde arabe et du Maghreb les plus fortunés derrière l'Égyptien Nassef Swaris avec 7,7 milliards de dollars et devant le Marocain Aziz Akhannouch avec 3.5 milliards de dollars.
  • 23-12-2020
    -La Banque d’Algérie vient de publier une nouvelle instruction permettant aux banques primaires de baisser le taux de prime exigé au titre de leur participation au dispositif de garantie des dépôts bancaires. La Banque d’Algérie (BA) vient de fixer à 0,1% le taux de la prime due par les banques ainsi que les succursales de banques étrangères exerçant en Algérie, au titre de leur participation au système de garantie des dépôts bancaires.
  • 15-12-2020
    -L’euro, la monnaie la plus prisée par les Algériens, valait 213 DA à l’achat et 205 DA à la vente. La hausse a également touché le dollar américain au marché noir de la capitale, illégal mais toléré depuis belle lurette par le gouvernement. Le billet vert était cédé à 173 DA à l’achat et 167 DA à la vente……………………………………………………………… -Les recettes fiscales recouvrées en 2018 se sont établies en 2018 à 5.126,52 milliards (mds) de DA, enregistrant une hausse de 14,76% par rapport à l’année précédente, a indiqué mardi la directrice générale des impôts, Amel Abdellatif. Mme Abdellatif, qui intervenait lors d’une séance consacrée à l’examen de l’avant-projet de loi portant règlement budgétaire de l’exercice 2018 devant la Commission des Finances et du Budget de l’APN, a présenté un exposé sur les recettes fiscales recouvrées par la DGI, qui ont atteint 5.126,52 mds de DA en 2018, dont 2.639,42 mds de DA provenant des recettes ordinaires et 2.787,1 mds de DA issus de fiscalité pétrolière. Les services de la DGI ont également recouvré 922,18 mds de DA transférés à d’autres budgets, dont 361,66 mds de recettes fiscales destinées aux budgets des Collectivités locales (communes et wilayas) et à la CSGCL (Caisse de solidarité et de garantie des collectivités locales). Plus explicite, Mme Abdellatif a indiqué que près de 559,17 mds de DA tirés des recettes fiscales ont été alloués aux comptes d'affectation spéciale (CAS), contre 1,35 md de DA de recettes fiscales affectés à d’autres budgets des chambres d’industrie et de commerce, d’artisanat ou encore d’agriculture. Evoquant par ailleurs une hausse de certains impôts et taxes et une baisse d'autres en 2018, en comparaison avec l’exercice 2017, la DGI a cité l’impôt sur le revenu imposé aux salaires ayant bondi à 683,4 mds de DA, soit une hausse de 3%. L'impôt sur le revenu global (IRG) a également augmenté pour passer à 808,4 mds de DA en 2018, soit une hausse de 4,2 % . La Directrice générale des impôts a également fait état du montant qui reste à recouvrer des impôts et taxes cumulés, qui s'est élevé à 12.778,28 mds de DA et d'un autre montant de 8.259,36 mds de DA provenant des amendes et frais de justice. A ce propos, Mme Abdelatif a indiqué qu'" un grand taux de ce montant, concerne des cas, dont le recouvrement est difficile, lorsqu'il s'agit de dettes appartenant à des entreprises publiques ayant fait l'objet de restructuration, de sociétés ayant fait faillite, avec absence d'avoirs à saisir et de dettes en suspens détenues par des personnes physiques décédées sans qu'elles aient laissé d'avoirs". Lors de leurs interventions, la majeure partie des députés membres de la Commission ont préconisé la nécessité d'améliorer la recouvrement fiscal, à travers le rétablissement de la confiance entre le contribuable et l'administration. Pour la plupart des membres de cette commission, la confiance se concrétise à travers le développement local, à savoir les hôpitaux, le revêtement des routes, les écoles et les cantines scolaires, à la construction desquelles le contribuable participe. Les députés ont également mis l'accent sur la nécessité de simplifier la déclaration fiscale, rapprocher les services douaniers des contribuables, dont les agriculteurs et les investisseurs, et accélérer la numérisation du secteur, en vue de lutter contre l'évasion fiscale.
  • 13-12-2020
    - Le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane, a déclaré dimanche à Alger que l’accompagnement financier de l’Etat aux entreprises publiques sera conditionné par la modernisation de leur mode de gestion et qu’un cahier de charges définissant les conditions d’accès de ces entreprises au soutien financier étatique sera bientôt mis en place. "Le cahier de charges en question sera élaboré par le Trésor public, les banques publiques et les entreprises industrielles publiques", a indiqué M. Benabderrahmane à la presse, en marge d'une cérémonie consacrée au lancement officiel du portail électronique du ministère. "Le conditionnement de l’aide aux entreprises est une pratique universelle", a-t-il tenu à préciser, expliquant que cela permettra à l’Etat de faire des évaluations périodiques sur la manière dont ces crédits sont utilisés par leur bénéficiaires. "Nous tenons à préserver le tissu industriel national et toutes les entreprises publiques ou privées seront accompagnées par l’Etat d’une manière ou d’une autre mais nous serons très regardants sur le mode de gouvernance et sur le management de ces entreprises", a affirmé le ministre, ajoutant que l’Etat doit s’assurer que l’argent consacré pour ces entreprises sera utilisé à bon escient. Selon ses propos, l’objectif était de relancer les entreprises économique à travers un accompagnement effectif qui leur permettra de surmonter le problème de l’endettement structurel qui entrave leur développement. Le ministre a admis que les opérations d’assainissement effectuées dans le passé n’ont pas porté leurs fruits. Preuve en est: les entreprises publiques demeurent déficitaires d’où l’impératif, pour lui, de changer les anciennes méthode de soutien aux entreprises. "Il y a eu effectivement des entreprises nationales qui ont bénéficié d’un fonds d’assainissement qui dépassait les milles milliards de dinars depuis une dizaine d’années, mais leur situation actuelle n’est pas reluisante", a-t-il regretté, expliquant cela par le fait que l’Etat, à l’époque, ne leur avait pas exigé des conditions rigoureuses les obligeant à adapter leur gouvernance aux conditions du marché. "Mais, dorénavant, il n’y aura plus de versement d’aide financière sans une révision préalable du mode de gouvernance des structures de ces entreprises qui doit être adapté aux besoins du marché algérien mais surtout à la qualité de la production qui va être destinée à l’exportation", a-t-il conclu.
  • 09-12-2020
    -L’Algérie a réalisé cette année plusieurs "acquis" dans la promotion de la démocratie participative, la consécration de l’Etat des institutions et le renforcement des capacités des organes de lutte contre la corruption, a indiqué mercredi à Alger le président de l'Organe national de prévention et de lutte contre la corruption (ONPLC), Tarek Kour. Dans une allocution à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de lutte contre la corruption (9 décembre) au Centre international de conférences (CIC), en présence du conseiller du Président de la République chargé du mouvement associatif et de la communauté nationale à l'étranger, Nazih Berramdane, et du Directeur général de l'Institut national des études stratégiques globales (INESG), Abdelaziz Medjahed, et de la Représentante résidente du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) en Algérie, Blerta Aliko, M. Kour a précisé que cette célébration "est marquée cette année en Algérie par la réalisation de plusieurs acquis dans la promotion de la démocratie participative, la consécration de l’Etat des institutions et le renforcement des capacités des organes de lutte contre la corruption, au titre de la nouvelle Constitution".
  • 03-12-2020
    -Le Gouvernement a écouté mercredi, lors d'une réunion présidée par le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, un exposé présenté par le ministre des Finances portant création du comité national d’évaluation des risques de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme et du financement de la prolifération des armes de destruction massive. La création de ce dispositif réglementaire et technique , dont le ministre des finances a exposé les missions, l'organisation et le fonctionnement, intervient dans le cadre du "renforcement du dispositif national de lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et afin d’inscrire notre pays dans les standards internationaux en la matière, notamment les recommandations du Groupe d’Action Financière (GAFI)", a indiqué un communiqué des services du Premier ministre.Au titre de ses missions, ce comité est notamment chargé d’élaborer la stratégie nationale de lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et le financement de la prolifération des armes de destruction massive. En outre, le gouvernement a écouté un autre exposé présenté par le ministre des Finances relatif à deux (02) projets de décrets exécutifs fixant les conditions et modalités d’exécution des crédits de paiement disponibles pendant la période complémentaire et les modalités d’inscription et d’emploi des fonds de concours au titre des programmes inscrits au budget de l’Etat. Le premier projet de décret exécutif vise l’instauration de plus de rigueur et d’assurer une meilleure maîtrise de l’exécution du budget de l’Etat, étant donné que cette mesure ne concerne que certains programmes et pour des cas exceptionnels et dûment justifiés. Quant au second projet de texte, il a pour objet de fixer les modalités d’inscription et d’emploi des fonds de concours au titre des programmes inscrits au budget de l’Etat. Il vise ainsi à encadrer la procédure liée à l’utilisation des fonds de concours et à assurer un meilleur suivi de ces fonds qui ne doivent être employés que pour les opérations pour lesquelles elles ont été données, selon le communiqué.