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Education (et Formation)

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  • 31-12-2020
    -L’Office National des Examens et Concours (ONEC) a annoncé,jeudi, la date des inscriptions pour les examens du BAC et du BEM pour les candidats libres, au titre de l’année 2021. L’ONEC a, ainsi, fixé les échéances du 03 au 28 janvier 2021 pour les deux épreuves. Les candidats devront s’inscrire sur les plateformes électroniques réservées à cet effet, respectivement, https://bac.onec.dz et https://bem.onec.dz A noter que pour le BAC, le ministère de l’Education a retenu …filières. Il s’agit des Mathématiques, Sciences, Economie, Langues étrangères et Littérature.
  • 28-12-2020
    -La période de l'inscription des candidats aux examens de fin d’année scolaire 2020-2021, s’étalera du 3 au 28 janvier prochain, a annoncé, lundi, le ministère de l'Education nationale dans un communiqué. "Dans le cadre de l'organisation des trois examens de fin de cycle pour la session 2021, le ministère de l'Education nationale informe tous les élèves scolarisés concernés par les trois examens (l'examen de fin de cycle primaire, l'examen du brevet d'enseignement moyen et l'examen du baccalauréat) et tous les candidats libres désirant passer les examens du BEM et du Baccalauréat, que l’opération d'inscription pour la session 2021 débutera le dimanche 03 janvier jusqu’au jeudi 28 janvier", a précisé la même source. Pour les candidats scolarisés, "l’opération d’inscription s'effectuera au niveau des établissements d'éducation via la plateforme numérique du ministère de l’Education par les directeurs d'établissements". Quant aux inscriptions des candidats libres aux examens du BEM et du Baccalauréat, elles s'effectueront sur les deux sites de l'Office national des examens et concours (ONEC): http://bem.onec.dz et http://bac.onec.dz, a conclu le communiqué.
  • 27-12-2020
    -Pour rappel, l’année universitaire a repris le 15 décembre dernier. Seul le tiers des cours est assuré en présentiel, avait-on décidé pour lutter contre la propagation du Coronavirus. Le reste des cours se fera à distance. Le ministère avait décidé pour cette rentrée exceptionnelle marquée par la persistance de la pandémie de Coronavirus une généralisation des cours à distance et une limitation des cours en présentiel à 12 semaines. Répondant aux appréhensions des enseignants et étudiants, le ministère avait indiqué à la veille de la rentrée que les plates-formes des différents établissements universitaires sont finalisées à 90%. Les services techniques, a-t-on précisé de même source, veillent à «pallier les difficultés enregistrées dans l’application de ce mode d’enseignement, notamment le principe d’interactivité entre l’étudiant et l’enseignant, de par les questions liées à l’élargissement du réseau internet et l’augmentation du débit, en collaboration avec Algérie télécom. »
  • 20-12-2020
    -Le premier ministre, Abdlaziz Djerad effectue dimanche une visite dans la wilaya de Médéa pour procéder à l'ouverture officielle et solennelle de la rentrée des établissements de la Formation professionnelle. Dans son discours, il a mis en relief "le contexte particulier dans lequel intervient cette rentrée, marquée par la crise sanitaire", invitant les futures stagiaires à respecter les mesures barrières. Parlant de la Formation professionnelle Abdelaziz Djerrad souligne qu'elle devrait être le fer de lance de la politique industrielle de l'Algérie dans le cadre du changement du modèle économique, jusque-là tiré exclusivement par la rente pétrolière. Le Premier ministre a insisté sur l'obligation de la mise à jour des programmes de formation professionnelle pour les adapter aux nouvelles technologies et aux besoins des entreprises. Et dans ce même cadre, il appelle aussi à la mise en places des programmes spécifiques pour les catégories sociales aux besoins spécifiques, afin de favoriser leur intégration dans la société. S’agissant du domaine pédagogique propre, le ministère a annoncé la disponibilité de «plus de 538.000 places pédagogiques, ainsi que 83.215 lits pour les internats», en sus des «52.000 places assurées à travers les 760 établissements privés de formation». Il est surtout à retenir que plusieurs nouvelles spécialités vont faire leur entrée, dispensées «en fonction des spécificités de chaque région et des niveaux de formation» fait savoir le ministère, relevant, entre autres, la phoeniciculture au niveau de Tebessa, Ouargla, Ghardaia et El Oued, celle de la plasturgie à Sétif, Skikda, Bordj Bou Arreridj et Tipasa ainsi que celle liée à la fabrication des fromages, à Chlef, Bejaia, Blida, Alger et Boumerdes. Egalement, l'arboriculture fruitière, proposée à Biskra, et la spécialisation dans les énergies renouvelables, programmée à El Oued, agrémentent ce nouveau menu pédagogique.
  • 19-12-2020
    -Après la rentrée universitaire, effectuée la semaine écoulée, c’est au tour de la formation professionnelle de rouvrir ses portes, ce dimanche, indique le ministère de tutelle. D’évidence, cette rentrée 2020-2021, va s’effectuer sous le signe de la lutte et la prévention contre le coronavirus. Précisément, il s’agit du nettoyage et de la désinfection de l’ensemble des équipements et des structures pédagogiques du secteur ainsi que de la création de commissions décentralisées pour le suivi de l’application du protocole sanitaire recommandé. S’agissant du domaine pédagogique propre, le ministère a annoncé la disponibilité de «plus de 538.000 places pédagogiques, ainsi que 83.215 lits pour les internats», en sus des «52.000 places assurées à travers les 760 établissements privés de formation». Il est surtout à retenir que plusieurs nouvelles spécialités vont faire leur entrée, dispensées «en fonction des spécificités de chaque région et des niveaux de formation» fait savoir le ministère, relevant, entre autres, la phoeniciculture au niveau de Tebessa, Ouargla, Ghardaia et El Oued, celle de la plasturgie à Sétif, Skikda, Bordj Bou Arreridj et Tipasa ainsi que celle liée à la fabrication des fromages, à Chlef, Bejaia, Blida, Alger et Boumerdes. Egalement, l'arboriculture fruitière, proposée à Biskra, et la spécialisation dans les énergies renouvelables, programmée à El Oued, agrémentent ce nouveau menu pédagogique.
  • 17-12-2020
    -Dans trois circulaires distinctes, le département de Mohamed Ouadjaout a dévoilé les nouvelles dispositions en relation avec les différentes méthodes d’évaluation pédagogique des élèves dans les cycles primaire, moyen et secondaire. Grandes lignes de ce changement : plus d’attention au contrôle continu et allégement des devoirs et compositions. Concrètement qu’est-ce qui va changer ? Pour le contrôle continu, le ministère de l’Education souligne que l’évaluation dans ce sens repose sur la discipline et l’assiduité, ainsi que l’activité de l’élève en classe, en sus des travaux pratiques accomplis par l’élève, de sa performance linguistique, de ses projets de recherche et son amour pour la lecture. Ces critères de contrôle continu au secondaire sont allégés pour le niveau moyen. Ils ne concernent que la discipline, l’assiduité et le rendement du collégien dans les activités d’apprentissage à l’intérieur et à l’extérieur de la classe. Les élèves du primaire sont épargnés par ce contrôle continu et aussi les devoirs. Ils ne seront notés que lors des compositions. Dans ce sens, les écoliers en 1re et 2e années primaires auront des compositions dans cinq matières. Ceux des 3e, 4e et 5e années auront deux matières de plus, soit 7, en compositions. Avec ce calcul, les matières dites d’éveil ne sont pas incluses dans le processus d’examens semestriels. Pour les collèges et lycées, l’allégement est dans le nombre des devoirs. Un seul devoir écrit surveillé est programmé pour chaque matière. Il est à savoir qu’en temps normal, pour les matières de langues arabe, française et anglaise ainsi que les mathématiques, les élèves avaient droit à deux devoirs écrits surveillés par trimestre. Cette année scolaire est divisée en deux semestres, les devoirs du premier semestre se dérouleront du 10 au 21 janvier 2021 et ceux du second semestre du 25 avril au 6 juin 2021. Les compositions du premier semestre auront lieu du 28 février au 4 mars 2021. Celles du 2e semestre sont fixées du 13 au 17 juin 2021 pour les 1re et 2e années du secondaire, et du 6 au 10 juin pour la 3e année, suivant la division des classes en groupes. «Les élèves ayant un justificatif d’absence à ces épreuves pourront bénéficier d’une deuxième chance et refaire leur examen. Les sujets des examens semestriels de chaque matière au niveau du même établissement éducatif sont unifiés», souligne le ministère dans sa circulaire. S’agissant des devoirs surveillés pour le cycle moyen, le ministère de tutelle a décidé que les compositions du 1er semestre se tiendront du 17 au 28 janvier. Celles du 2e semestre sont prévues du 25 au 6 mai prochain. La durée des compositions est fixée à 1h30 pour les matières enseignées trois fois ou plus par semaine, et à 1h pour les autres. Le département de Mohamed Ouadjaout indique dans sa circulaire que les relevés de notes disponibles sur la plateforme numérique ont été modifiés, prenant en considération tous ces changements. Pour mémoire, l’enseignement et l’apprentissage cette année reposent sur les cours dispensés en classe mais aussi ceux programmés sur la chaîne 7, El Maarifa, de la télévision algérienne. La diffusion des cours télévisés a commencé hier.
  • 15-12-2020
    --Le premier ministre, Abdelaziz Djerad, a donné, ce mardi, le coup d’envoi de l’année universitaire au titre de la saison 2020-2021, à partir du pôle universitaire de la wilaya de Msila, ‘’Mohamed Boudiaf’’. Pour rappel, le Premier ministre effectue une visite de travail et d’inspection des différents projets de développement socio- économique. Le premier ministre Abdelaziz Djerad a plaidé, lors d’une visite à M’Sila, ce mardi 15 décembre 2020, pour une réforme de l’enseignement supérieur et pour l’ouverture de l’université algérienne sur « son environnement national et international »................................................. Il a plaidé, lors d’une intervention à l’université Mohamed Boudiaf de M’Sila, pour l’amélioration de la qualité de l’enseignement et de la recherche scientifique. L’université doit, selon lui, maîtriser les moyens technologiques et numériques et rationaliser ses dépenses en vue « d’une gouvernance efficace». « Cela permettra d’aller graduellement vers l’autonomie des universités et de développer leurs capacités en matière d’innovation. Il est impératif d’entamer la conception d’une vision intégrée pour réformer le système des œuvres universitaires selon une approche rationnelle », a-t-il dit en soulignant la nécessité d’améliorer les conditions d’hébergement, de restauration et de couverture sanitaire pour les étudiants. Il a estimé que la formation universitaire doit s’adapter aussi aux exigences du développement local. « J’appelle toutes les compétences scientifiques algériennes, enseignants-chercheurs, chercheurs permanents, chercheurs établis à l’étranger à contribuer à la prise en charge des besoins actuels exprimés par la société aux fins de créer les conditions d’une reprise économique », a-t-il dit. Il faut, selon lui, tirer profit des recherches scientifiques en les mettant en application sur le terrain. « La crise sanitaire mondiale a montré l’importance de la recherche scientifique et des laboratoires. La recherche scientifique aide à la prise de décision », a-t-il noté................................................................... Intervenant avant le Premier ministre, Abdelbaki Benziane, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé que le gouvernement a adopté dernièrement un plan national de recherche. « Un plan pluriannuel qui comprend trois programmes prioritaires: la sécurité alimentaire, la sécurité énergétique et la santé. Il s’agit de plus de 700 projets de recherche qui seront pris en charge à partir de 2021 », a-t-il annoncé. M. Benziane évoque la révision prochaine de la loi 99/05 du 4 avril 1999 portant loi d’orientation sur l’enseignement supérieur (revue en 2008 pour introduire le système LMD) et appelé la communauté universitaire à faire des propositions pour « enrichir le projet d’amendement ». « Cette loi présente un certain nombre de dysfonctionnements................................ L’insuffisance majeure qui a été constatée, c’est l’absence d’un outil de gouvernance. S’ajoutent à cela, la non adoption des normes de qualité dans la formation au niveau des universités, la faible interactivité entre l’université et l’entreprise, l’absence d’une carte de formation universitaire, la faible contribution du secteur privé dans l’effort de l’enseignement supérieur, l’ouverture timide sur l’international », a détaillé, lors d’une intervention à la Radio algérienne, ce mardi 15 décembre, Boualem Saidani, directeur des enseignements et de la formation, au ministère de l’enseignement supérieur.
  • 13-12-2020
    - A la veille de la rentrée universitaire prévu ce mardi 15 septembre, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelbaqi Benziane, a annoncé que des mesures de précaution ont été instaurées pour lutter contre la propagation du Coronavirus. Invité de la Chaine 2 de la Radio Algérienne, aujourd’hui, le ministre a souligné que la plus importante des mesures prises est celle qui concerne le mode présentiel des cours. « Les étudiants auront deux jours de cours en mode présentiel par semaine », a-t-il précisé, indiquant que le reste des cours seront dispensés en ligne, par vidéoconférence. L’autre mesure importante est celle de la réduction du nombre d’étudiants dans les résidences universitaires qui est passé au tiers selon l’invité de la radio. Abdelbaqi Benzianea a expliqué que la priorité de bénéficier de la résidence universitaire est donnée aux étudiants qui habitent les wilayas les plus éloignées, ajoutant que « la priorité est donnée aux étudiants venant des wilayas éloignées notamment du sud du pays ». Parlant du transport des étudiants, le ministre a rassuré qu’un comité mixte entre le ministère des Transports et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a travaillé à la préparation d’un accord pour le transport des étudiants par chemin de fer, soulignant que « tout est préparé pour le transport des étudiants, et nous attendons la décision des autorités supérieures… » a-t-il conclu.
  • 08-12-2020
    -Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelbaki Benziane, a annoncé mardi la promotion au grade de professeur de l’enseignement supérieur de 1.037 maîtres de conférence sur 1.331 postulants, et ce, au terme de la 44e session de la Commission nationale universitaire pour la promotion des maîtres de conférence. Dans une allocution à l’occasion de l’annonce des résultats, M. Benziane a précisé que les délibérations, tenues en présence des représentants des sept (7) sous-commissions de ladite Commission nationale universitaire, avaient donné lieu à la promotion, au grade de professeur de l’enseignement supérieur, de 1.037 maîtres de conférence sur 1.331 postulants, soit un taux de 78%. Nous avons eu recours, pour la première fois, à une plate-forme numérique pour le dépôt et l'examen des dossiers de promotion, a expliqué le ministre, soulignant que cela avait permis d’éviter les tracas bureaucratiques auxquels se heurtaient les candidats par le passé et de mieux gérer les dossiers, surtout dans ce contexte difficile en raison de la crise sanitaire. Cette opération de numérisation a également permis, poursuit le ministre, de former des experts de la Commission nationale universitaire à l’utilisation des plates-formes numériques, de s’assurer en temps réel de la véracité des publications scientifiques, et d’examiner les dossiers déposés, sans déplacement, ce qui qui épargné des ressources financières considérables. A ce titre, le ministre a réaffirmé que la généralisation de la numérisation des différentes activités du secteur dans les domaines de la formation, de la recherche et de la gouvernance, est l’un des défis relevés par le ministère au titre de sa nouvelle vision prévue par son programme d’action à moyen à long termes. Chiffres à l’appui, cette session à laquelle 78 % du total des candidats ont réussi, a débouché sur la promotion de 127 enseignants dans la filière Lettres et Langues, 270 dans les Sciences sociales et humaines, 164 dans la spécialité Sciences économiques, commerciales et de gestion, 127 en Sciences exactes, 91 en Sciences juridiques et administratives, 103 en Sciences de la nature et de la vie, ainsi que 155 enseignants dans la spécialité Technologie.
  • 02-12-2020
    - Décrets exécutifs (Joradp du 2/12/2020) portant création des Universités de Tissemsilt, Tamenghasset, Ain Témouchent et Relizane