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Commerce

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  • 25-11-2025
    -Les pouvoirs publics ont interdit formellement l'importation de véhicules de moins de trois ans par les entreprises ou sous forme d'opérations groupées. Ils précisent que cette démarche est strictement réservée aux particuliers résidents. Le ministère du Commerce extérieur et de la Promotion des exportations, en coordination avec la Direction générale des Douanes, a annoncé que les opérations d'importation de voitures touristiques d'occasion âgées de moins de trois (3) ans sont soumises aux dispositions de l'article 110 de la loi de finances 2020, modifiée et complétée par l'article 208 de la loi de finances 2025. Ces importations ne peuvent être effectuées qu'une fois tous les trois ans, exclusivement par des citoyens résidents. Le ministère et les Douanes ont précisé que cette procédure est strictement réservée aux particuliers résidents et n'inclut en aucun cas les entreprises quel que soit leur statut juridique. Il est également formellement interdit de vendre ces véhicules dans tout espace commercial en dehors du cadre légal fixé par les textes en vigueur. Fadi Tamim, coordinateur national de l'organisation de protection des consommateurs (l'APOCE) a affirmé dans une déclaration au « Quotidien d'Oran » que le communiqué des pouvoirs publics constitue simplement un rappel des dispositions déjà prévues par la législation en vigueur. Il a précisé que l'article 110 de la loi de finances 2020, modifié par l'article 218 de la LFC 2025, est clair, « l'importation de véhicules de moins de trois ans est exclusivement réservée aux personnes physiques, à l'exclusion totale des entreprises, quelle que soit leur nature ». Selon lui, cette mise au point vise surtout à lutter contre la résurgence d'intermédiaires et parfois même de spéculateurs, d'autant plus que nous avons constaté que «l'année en cours a enregistré un pic d'importations de véhicules de moins de trois ans». Il reconnaît toutefois qu'il existe des intermédiaires sérieux, agissant comme relais entre des entreprises étrangères et des acheteurs honnêtes, mais souligne que des cas d'escroquerie ont également été signalés, où certains citoyens se sont fait piéger. « Il suffit de respecter la loi et d'éviter de la contourner », a-t-il insisté. Le coordinateur de l'APOCE a par ailleurs exhorté les pouvoirs publics à appliquer cette interdiction à partir de janvier 2026, afin de permettre aux particuliers dont les véhicules sont déjà en cours d'acheminement de récupérer leurs biens, rappelant qu'en définitive l'acheteur n'a cherché qu'à acquérir un véhicule en toute légalité.................................. -Depuis le 25 novembre, les demandes de domiciliation bancaire liées à l’importation de légumes secs et de riz spécifiques ne sont plus acceptées par les banques. La décision a été prise par le ministère du Commerce extérieur et de la Promotion des exportations qui a adressé dans ce cadre un courrier (n° 1297/MCEPE/SG/2025) à l’Association des banques et établissements financiers (ABEF) le 24 novembre. A son tour, l’Association a envoyé le même jour une note aux directeurs généraux des banques avec pour objet «Exclusivité d’importation des légumes et riz par l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC)». «Il est demandé aux banques de ne plus accepter les demandes de domiciliation bancaire liées à l’importation des produits repris dans la liste de sous-positions tarifaires ci-jointe, et ce, à compter du 25 novembre 2025», indique la note de l’ABEF. Et de poursuivre : «A cet effet, il vous est demandé d’instruire vos services concernés à l’effet de prendre toutes les mesures nécessaires pour l’application de cette mesure.» Les banques commerciales n’ont donc plus le droit de traiter les opérations de domiciliation bancaire pour l’importation de ces produits concernés. Des produits dont la liste est détaillée dans les sous-positions tarifaires contenues dans une pièce jointe à ladite note. Pour les légumes secs, la liste compte 16 sous-positions tarifaires. Il s’agit globalement des pois, pois chiches, haricots, lentilles, fèves et autres légumes à cosse secs. Pour le riz, on retrouve dans la liste six sous-positions tarifaires, toutes les catégories sont concernées par la mesure du ministère du Commerce (étuvé, non étuvé, riz en brisures…). Cette décision vient ainsi réserver l’exclusivité de l’importation de tous ces produits à l’OAIC.
  • 24-11-2025
    -LA MINISTRE DU COMMERCE INTÉRIEUR ET DE LA RÉGULATION DU MARCHÉ NATIONAL, AMEL ABDELATIF, a annoncé, à Alger, la mise en service de huit laboratoires mobiles modernes.Ces unités, acquises auprès de la société Safab-MB relevant du ministère de la Défense nationale, sont équipées de technologies avancées permettant la détection des résidus de pesticides, des substances chimiques et des contaminants, l’analyse des céréales et produits végétaux, la détection des mycotoxines, la mesure du taux d’humidité dans les produits alimentaires ainsi que d’autres analyses de haute précision. Les laboratoires mobiles seront déployés dans les principaux ports du pays, notamment Alger, Annaba, Skikda, Jijel, Béjaïa, Oran, Mostaganem et Ghazaouet.
  • 17-11-2025
    -Naftal a signé, à Alger, avec le groupe allemand Continental, un accord commercial d’importation d’un total de 6 millions de pneumatiques, destinés pour l’approvisionnement du marché national. Dans son allocution, Djamel Cherdoud, PDG de la compagnie nationale, a affirmé que la concrétisation de ce marché permettra au consommateur algérien d'accéder à des pneumatiques de qualité ‘‘Premium’’ à des prix très compétitifs qui vont défrayer la chronique, correspondant à une réduction de 35 à 55% des prix actuellement pratiqués pour la même marque». ............................... -LA BALANCE COMMERCIALE ALGÉRIENNE A ENREGISTRÉ AU PREMIER SEMESTRE 2025 un déficit de 7.11,5 milliards de dinars, soit près de 5,5 milliards de dollars, selon l’Office national des statistiques (ONS). Les importations algériennes ont en effet grimpé en flèche, atteignant 3.767 milliards de dinars (près de 29 milliards de dollars) contre 3.018 milliards de dinars un an plus tôt, soit une progression de 24,8% en valeur et de 28,4% en volume. En parallèle, les exportations ont reculé de 8,5%, s’établissant à 3.055,6 milliards de dinars contre 3.338,3 lors de la même période l’an passé. La baisse n’est pas générale : elle découle surtout du secteur des hydrocarbures, à la fois par la chute des volumes (-2,1%) et la contraction des prix à l’international (- 8,2%). Malgré cette mauvaise passe, d’autres branches affichent des dynamiques encourageantes. Les exportations hors hydrocarbures progressent tant en volume (+8,6%) qu’en valeur (+11,8%)
  • 15-11-2025
    -Au cours du 1er semestre 2025, le déficit commercial de l’Algérie a été de 711,5 milliards de dinars et le taux de couverture du commerce extérieur a été 81,1%, a indiqué hier, sur son site web, l’Office national des statistiques (ONS). Durant la même période, les prix à l’exportation de marchandises ont connu une baisse de 7,4% par rapport au premier semestre 2024 et ceux à l’importation de marchandises ont enregistré une diminution de 2,8%. Cependant, précise la même source, le volume des importations a augmenté de +28,4%, atteignant 3767,0 milliards de dinars, contre 3018,3 milliards au cours du premier semestre 2024, alors que le volume des exportations a baissé de -1,2% s’établissant à 3055,6 milliards de dinars, contre 3338,3 milliards un an auparavant. Dans le détail, l’ONS a relevé que les prix à l’importation de marchandises qui ont baissé ont concerné les catégories suivantes : articles manufacturés divers (-14,6%) ; produits chimiques et produits connexes (-10,7%) ; machines et matériel de transport (-6,4%) ; matières brutes non comestibles, sauf carburants (-4,5%) ; et enfin boissons et tabacs (-0,4%). En outre, et durant la même période, les hausses les plus significatives ont concerné les catégories : combustibles minéraux, lubrifiants et produits connexes, avec des augmentations de +28,1%, et huiles, graisses et cires d’origine animale ou végétale avec +16,3%, précise la même source. Concernant la valeur des exportations, qui a diminué de 8,5% par rapport à la même période de 2024, l’ONS l’explique par la baisse combinée des volumes (-1,2%) et des prix (-7,4%). Et de préciser que cette baisse des prix s’explique principalement «par le recul enregistré dans la catégorie des hydrocarbures, dont les prix ont baissé de 8,2%, et les volumes qui ont également diminué de 2,1%». A propos des exportations hors hydrocarbures, elles ont, quant à elles, enregistré une hausse en volume de 8,6% et une hausse des prix de 3,0%, soit une augmentation globale en valeur de 11,8% sur la période.
  • 04-11-2025
    -Le Premier ministre, Sifi Ghrieb, a présidé une réunion de travail consacrée au suivi de la mise en œuvre des contrats d’investissement conclus dans le cadre de la 4e édition de la Foire africaine du commerce intraafricain, organisée en Algérie du 4 au 10 septembre dernier, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre