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Histoire

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  • 28-11-2023
    -La Commission conjointe d’historiens algériens et français «Histoire et Mémoire» s’est réunie récemment à Constantine où il a été convenu d’une série de points liés essentiellement à la récupération des archives, des biens pillés et des ossements des héros de la Résistance populaire, a indiqué,, un communiqué de la commission. Dans son allocution prononcée lors de la rencontre tenue, mercredi dernier, le coordonnateur de la Commission, partie algérienne, Mohamed Lahcen Zeghidi a souhaité la bienvenue à ses homologues français, avant d’entamer le débat à l’ordre du jour qui a porté sur «les archives, la bibliographie, la chronologie, les biens pillés et autres», ajoute le communiqué. En ce qui concerne les archives, les deux parties ont convenu lors de cette troisième rencontre depuis l’installation de la Commission par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune et son homologue français, Emanuel Macron en 2022, de «la remise de 2 millions de documents numériques sur la période coloniale, 29 rouleaux et 13 registres, constituant 5 mètres des archives restants relatifs à la période ottomane, soit avant 1830». Quant à la bibliographie, les deux parties ont convenu de «continuer à constituer une bibliographie commune de recherches et de sources imprimées et de manuscrits remontant au XIXe siècle pour imprimer , numériser et traduire les plus importants vers l’Arabe et le français, en œuvrant à récupérer tout ce qui peut l’être». Ils se sont accordés aussi à «continuer à réaliser une chronologie des crimes coloniaux durant le XIXe siècle». Concernant les biens spoliés, il a été convenu de «récupérer tous les biens qui symbolisent la souveraineté de l’Etat de l’Emir Abdelkader et des chefs de la résistance populaire ainsi que les crânes restants et la poursuite de l’identification des restes qui remontent au XIXe siècle, outre le recensement des prisonniers algériens avec établissement d’une liste nominative”. Dans le domaine scientifique et académique, les deux parties ont convenu de «la mise en place d’un programme d’échange et de coopération scientifique qui prévoit des missions de chercheurs et d’étudiants algériens en France ainsi que des missions françaises en Algérie pour consulter les archives, avec levée des entraves administratives françaises devant les chercheurs algériens». Dans le même sillage, la réunion a abouti à un accord entre les deux parties portant «organisation d’événements scientifiques conjoints au cours de l’année universitaire 2024-2025 et l’ouverture d’un portail électronique commun dédié à la période coloniale (1830-1962), ainsi que la poursuite des réunions périodiques entre les deux parties». Un débat scientifique responsable empreint de respect mutuel et de reconnaissance quant aux faits historiques vécus par l’Algérie sous le joug colonial et la nécessité de récupérer ses biens pillés pendant la période coloniale, notamment au XIXe siècle, a marqué cette rencontre, souligne la même source.
  • 22-11-2023
    -La commission mixte d’historiens algériens et français, chargée de travailler sur la colonisation française de l’Algérie (1830-1962), va tenir sa réunion à Constantine. Cette rencontre, à laquelle devraient participer les 10 membres de cette commission, a pour but, selon notre source, «de consigner le travail accompli depuis l’annonce de la mise en place de l’instance en août 2022». Depuis sa création, conformément à la décision des présidents algérien, Abdelmadjid Tebboune, et français, Emmanuel Macron, ladite commission, affirme la même source, «a préparé le terrain à son travail», qui durera sans doute dans le temps. «Il y a d’abord eu un premier contact à l’occasion de la réunion tenue par visioconférence en avril dernier. Chacune des deux parties a présenté son plan de travail. Du côté algérien, on a axé surtout sur la question des archives et celle de l’écriture de l’histoire», explique notre source, assurant que «ce premier contact a été très positif». Le groupe d’historiens algériens et français a aussi décidé de se focaliser sur «la période du XIXe siècle». Une longue période et beaucoup de sujets revêtant, selon notre source, «un caractère à la fois historique, social et politique». «Ce sont des sujets qui prennent beaucoup de temps. C’est pourquoi, il est difficile de fixer le délai nécessaire pour la finalisation du travail de la commission», ajoute la même source...................................................... -La commission mixte d’historiens algériens et français sur la période coloniale et de la Guerre d’indépendance, qui a tenu, ce mercredi à Constantine, sa première réunion de travail, s’est accordée sur plusieurs points, dont la restitution de deux millions de documents «numérisés» à l’Algérie, a rapporté le site électronique Tout sur l’Algérie (TSA), citant une source proche du dossier. Il est aussi prévu la restitution de «rouleaux» de documents de la période ottomane, deux crânes de résistants algériens et des objets ayant appartenu à l’Emir Abdelkader, l’un des symboles de la lutte contre la colonisation française.
  • 19-11-2023
    -Le centre de torture colonial connu sous le nom de "Bordj Bensdira", dans la commune de Chemora (Batna), vient d’être porté sur l’inventaire additif des biens culturels au niveau local, a-t-on annoncé, dimanche, à la direction de wilaya de la culture et des arts. Abderrezak Bensalem, en charge de la gestion de cette direction, a précisé, dans une déclaration à la presse, que "le dossier relatif à ce site a été récemment soumis à la commission de wilaya des biens culturels qui l’a approuvé en attendant son classement en tant que monument historique par les autorités de tutelle". Le centre de "Bordj Bensdira" est l’un des lieux de torture construits par la France coloniale dans la région des Aurès. Les tortionnaires y avaient utilisé les méthodes les plus odieuses de torture sur les prisonniers algériens dans l’espoir de contrecarrer la marche de la glorieuse Révolution. Ce centre de sinistre mémoire reste aujourd’hui témoin des crimes contre l’humanité perpétrés par l’occupant tout au long de la guerre de libération nationale.
  • 02-11-2023
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, ce jeudi, des messages de vœux de plusieurs chefs d'Etat, à l'occasion du 69e anniversaire du déclenchement de la glorieuse Guerre de libération nationale, indique un communiqué de la présidence de la République. «Le président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, a reçu, ce jour, à l'occasion du 69e anniversaire du déclenchement de la Glorieuse guerre de libération nationale, des messages de vœux des chefs d'Etat suivants : République islamique du Pakistan, Royaume de Belgique, République du Malawi, République de Hongrie, République d'Autriche, République de Myanmar et Confédération suisse.
  • 01-11-2023
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé ce mercredi, au palais du Peuple à Alger, la commémoration du 69e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er novembre 1954. La commémoration s'est déroulée en présence de hauts responsables de l'Etat, de membres du Gouvernement, ainsi que de moudjahidine et de personnalités nationales et politiques. Auparavant, le Président de la République s'était recueilli, au sanctuaire des martyrs, à la mémoire des martyrs de la Glorieuse guerre de libération nationale et a déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorative et récité la Fatiha du Saint Coran à la mémoire des martyrs de la Révolution. Le Président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune, avait également inauguré l'hôpital spécialisé "mère et enfant de l'Armée" à Beni Messous à Alger. Le Président Tebboune était accompagné, lors de l'inauguration de cet hôpital, par le Chef d'Etat-major de l'Armée nationale populaire (ANP), le Général d'Armée Saïd Chanegriha, et du ministre de la Santé, Abdelhak Saïhi............................. -«Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, hier, un message de vœux de son homologue français, Emmanuel Macron, à l'occasion du 69e anniversaire du déclenchement de la Glorieuse révolution de Novembre, dans lequel il lui a souhaité, ainsi qu'à l'Algérie, davantage de prospérité», soulignant que «les deux pays partagent les mêmes ambitions dans le cadre d'une dynamique de rapprochement renforcée par la signature de la Déclaration d'Alger». Concernant le dossier de la Mémoire, le Président français a souligné «la nécessité de poursuivre le travail, dans le cadre de la Commission conjointe mise en place par les deux Présidents». Macron a, enfin, renouvelé ses «vœux au peuple algérien et au président de la République, à l'occasion de l'anniversaire du déclenchement de la Révolution algérienne»................................................. -Le président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune a présidé, hier soir au Cercle national de l’Armée à Béni Messous (Alger), la cérémonie de célébration de l'anniversaire de la Glorieuse Révolution du 1er Novembre, en l'honneur de hauts cadres de l'Armée nationale populaire (ANP). À l'entame de la cérémonie, qui s'est déroulée en présence de hauts responsables de l'État et de hauts cadres de l'ANP, l'assistance a écouté l'hymne national, avant d'assister à la projection d'un documentaire intitulé Novembre, notre doctrine.............................................................. -Une cérémonie de levée des couleurs nationales a été organisée, mardi à minuit à Maqam Echahid (sanctuaire du Martyr) à Alger. La cérémonie, organisée dans le cadre de la célébration du 69e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er novembre 1954 sous le slogan «Révolution des héros - Engagement des hommes», s'est déroulée en présence du ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, de plusieurs membres du gouvernement, ainsi que de personnalités nationales, de moudjahidine et de responsables d'organisations révolutionnaires, d'institutions nationales et du mouvement associatif