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Finances

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  • 30-11-2021
    -Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a pris part ce mardi, à une rencontre avec Zayda Manatta, Cheffe du Secrétariat du Forum mondial sur la transparence et l'échange de renseignements à des fins fiscales (le Forum mondial), a indiqué un communiqué du ministère des Finances. "Cette rencontre virtuelle fait suite à la récente adhésion de l’Algérie au Forum mondial", a précisé la même source, soulignant que "l'Algérie vient également d’ajouter sa voix à la Déclaration de Yaoundé, une importante initiative africaine en faveur de la transparence et de l'échange de renseignements à des fins fiscales". "Comme tous les autres membres du Forum mondial, l'Algérie participera sur un pied d'égalité et s'engage à combattre l'évasion fiscale par la mise en œuvre des normes internationalement reconnues de transparence et d'échange de renseignements à des fins fiscales", a indiqué M. Benabderrahmane, cité par le communiqué, au cours de cette rencontre. La Déclaration de Yaoundé, initialement signée par quatre pays en novembre 2017, encourageait l'Union africaine à entamer une discussion de haut niveau sur la coopération fiscale et les flux financiers illicites et leur lien avec la mobilisation des ressources nationales, explique le document. Quatre ans plus tard, avec le soutien de l’Algérie, 32 ministres africains des Finances et la Commission de l'Union africaine soutiennent désormais la déclaration, souligne le communiqué. En tant que membre du Forum mondial, "l'Algérie participera également à l'Initiative Afrique, un programme de travail lancé en 2014 pour soutenir la mobilisation des recettes intérieures et la lutte contre les flux financiers illicites en Afrique par le biais d'une transparence fiscale et d'un échange de renseignements renforcés", ajoute le ministère. Le Forum mondial est "le principal organisme multilatéral dont le mandat est de veiller à ce que toutes les juridictions adhèrent au même standard élevé de coopération internationale en matière fiscale", note le document, ajoutant que "cet objectif est atteint grâce à un solide processus de suivi et d'examen par les pairs, auquel l'Algérie sera soumise". En outre, le Forum mondial administre également "un vaste programme de renforcement des capacités afin d’aider ses membres à appliquer les normes et les administrations fiscales à faire le meilleur usage possible des canaux de partage de renseignements à l’échelle internationale", conclut le ministère.
  • 25-11-2021
    -Le Conseil de la Nation a adopté, ce jeudi, à l'unanimité, le texte de loi de finances pour l'exercice 2022, lors d'une plénière présidée par M. Salah Goudjil, président du Conseil, en présence du Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahamane et de membres du gouvernement. Le projet de loi de finances 2022 a été adopté par l'APN le 17 novembre dernier.
  • 23-11-2021
    -La Banque d'Algérie a rendu publique lundi une nouvelle instruction aux banques et établissements financiers, qui revoit à la baisse le plafond des taux d'intérêts des crédits. Il s'agit de l'instruction n 10-2021 du 21 novembre 2021 modifiant et complétant l'instruction n 8-2016 du 1 septembre 2016 relative aux modalités de fixation des taux excessifs. Selon la nouvelle instruction, "constitue un crédit à taux d'intérêt excessif, tout concours consenti à un taux d'intérêt effectif global qui excède, au moment où il est consenti, de plus d'un dixième, soit 10% (contre 20% dans le texte initial), le taux effectif moyen pratiqué au cours du semestre précédent par les banques et établissements financiers pour des opérations de même nature". Cette nouvelle instruction prend effet, à compter du 21 novembre. Pour rappel, l'instruction de la Banque d'Algérie relative aux modalités de fixation des taux d`intérêts excessifs vise principalement à protéger les consommateurs de services financiers, de toute tendance excessive en matière de facturation que les banques et établissements financiers peuvent administrer sur les différentes catégories de crédits qu'elles consentent à leur clientèle.
  • 22-11-2021
    - Selon un communiqué du ministère des Finances, le conseil d'administration du FMI a examiné, lors de sa réunion, tenue le 19 novembre dernier, le rapport de la mission de consultation conduite sur l'Algérie, au titre de l'article IV des statuts du Fonds, qui s'est déroulée virtuellement du 14 septembre au 3 octobre 2021. A ce titre, le conseil d'administration du FMI a «salué les réformes envisagées par l'Algérie, visant à renforcer les attributions de la Banque d'Algérie et a félicité les autorités algériennes pour leur stratégie de relance de la croissance et de réduction de la dépendance de l'économie vis-à-vis des hydrocarbures». Il a également salué «le nouveau Plan d'action du gouvernement, tout en partageant les priorités de réforme identifiées pour aider à la transition de l'Algérie vers un modèle de croissance plus inclusif et durable», a précisé le ministère.
  • 21-11-2021
    -Les envois de fonds par la communauté algérienne établie à l'étranger vers l'Algérie devraient s'établir à 1,8 milliard de dollars en 2021, a indiqué la Banque mondiale dans sa dernière note d'information sur les migrations et le développement. Selon les estimations de la BM, ces fonds devraient représenter 1,1 % du PIB algérien. Globalement, les envois de fonds vers les pays à revenu faible et intermédiaire devraient connaître une forte augmentation de 7,3 % et s'élever à 589 milliards de dollars en 2021, note le rapport, confirmant la robustesse des flux déjà observée en 2020, quand les remises migratoires n'ont baissé que de 1,7 % en dépit de la grave récession mondiale provoquée par pandémie de la Covid-19. Pour la deuxième année consécutive, les transferts d'argent vers les pays à revenu faible et intermédiaire (hors Chine) devraient excéder la somme des investissements directs étrangers (IDE) et de l'aide publique au développement (APD), estime le BM, ajoutant que ce constat souligne "l'importance de ces flux, qui constituent une véritable bouée de sauvetage en permettant aux ménages de financer des produits essentiels tels que la nourriture, la santé et l'éducation pendant les périodes de difficultés économiques dans les pays d'origine des migrants". Les envois de fonds vers les pays en développement de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord devraient avoir augmenté d'environ 9,7 % en 2021 pour atteindre 62 milliards de dollars, grâce au retour à la croissance dans les pays d'accueil de l'Union européenne (France et Espagne notamment) et à la flambée des prix mondiaux du pétrole qui a eu un impact positif sur les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Les envois de fonds vers le Maghreb devraient faire un bond de 15,2 % du fait de la croissance de la zone euro, selon le document.
  • 17-11-2021
    -Les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté, ce mercredi, le projet de loi de finances pour l'exercice 2022 (PLF 2022), lors d'une plénière présidée par M. Brahim Boughali, président de l'APN, en présence du Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahamane et de nombre de ministres. A l'exception du parti du Mouvement de la société pour la paix (MSP) qui a voté contre, le PLF-2022 a été approuvé par le reste des députés. Samedi dernier, les députés avaient finalisé le débat en plénière autour du PLF 2022, avant d'écouter les réponses du Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahamane à leurs préoccupations.
  • 16-11-2021
    -Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, participe, ce mardi, aux travaux du 6e Forum annuel des Finances publiques dans les pays arabes, organisé conjointement par le Fonds Monétaire Arabe (FMA) et le Fonds Monétaire International (FMI), a indiqué un communiqué du ministère des Finances. L'évènement s'est déroulé en mode virtuel pour examiner, au titre de cette nouvelle édition, la thématique liée aux "mesures de la reprise économique post-Covid-19", a précisé la même source.
  • 09-11-2021
    -Dans un discours prononcé, mardi 9 /11 , devant les participants à la Conférence des chefs des missions diplomatiques et des consuls algériens, qui se tient depuis lundi dernier à Alger, le premier responsable du gouvernement met l’accent sur «le faible niveau de transferts des devises de l’immigration algérienne». Il cite des chiffres, dont les données du rapport de la Banque mondiale publié en 2019. Selon lui, ce document souligne que «les transferts en devises des Algériens étaient de seulement 1,7 milliard de dollars». «Ce montant ne reflète pas pleinement les capacités de notre communauté nationale à l’étranger, compte tenu, notamment, de son nombre et de son poids économique», précise-t-il. Et de souligner : «La valeur de ces envois de fonds est actuellement très faible par rapport aux pays qui ont une communauté beaucoup plus petite que la nôtre.» Aïmene Benabderrahmane donne également un autre chiffre, plus actualisé visiblement. «Les envois des Algériens n’ont pas dépassé 3,2 milliards de dollars en moyenne annuelle, y compris les envois de retraités à l’étranger, au cours des trois dernières années, soit près de 2% du PIB (produit intérieur brut)», indique-t-il, rappelant que «les envois de fonds vers l’Afrique subsaharienne ont atteint 44 milliards de dollars en 2019». «Ces envois de fonds augmentent rapidement et dépassent désormais les niveaux d’aide publique au développement et d’investissement étranger direct en Afrique subsaharienne», dit-il. L’orateur cite aussi d’autres exemples de pays qui bénéficient des fonds de leurs citoyens de l’étranger, à l’image de l’Inde (83,1 milliards de dollars), la Chine (68,4 milliards de dollars), le Mexique (38,5 milliards), les Philippines (35,2 milliards de dollars), l’Egypte (26,8 milliards de dollars), le Nigeria (24,3 milliards de dollars) et le Pakistan (21,0 milliards de dollars).
  • 08-11-2021
    -L’inflation moyenne en Algérie est passée de +2,25% à fin juin 2020 à +5,66% à fin juin 2021, soit une hausse de +3,4 points de pourcentage, a indiqué le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, lors de la présentation du projet de loi de finances 2022 (PLF 2022) devant les députés de l’Assemblée populaire nationale. . Le taux de l’inflation devrait s’établir à 3,7% en 2022 et en 2023 et à 3,8% pour 2024. Basé sur un prix de référence du baril de pétrole à 45 dollars pour la période 2022 à 2024 et un prix du marché à 50 dollars, le PLF 2022 prévoit une croissance économique de 3,3% pour l’année prochaine, avant de se stabiliser autour de 3% en moyenne annuelle en 2023 et 2024. Selon le Premier ministre la balance commerciale s'équilibrerait en 2022 et devrait être excédentaire en 2023 de 1,3 milliard de dollars, sous l’effet combiné de l’évolution graduelle des exportations et de la baisse graduelle des importations. Sur le plan budgétaire, compte tenu du niveau d’évolution de recettes et de dépenses budgétaires sur la période 2022-2024, le déficit budgétaire rapporté au produit intérieur brut (PIB) représenterait -18,1% en 2022, -15,7% en 2023 et -14,6% en 2024, contre -12,7% en prévision de clôture de 2021. En matière d’intervention sociale, le Premier ministre a fait état, entre autres, du soutien aux retraites et aux retraités pour un montant de 213,16 milliards de dinars, “couvrant le différentiel de pensions de retraites pour les moudjahidine, les petites pensions, la contribution au fonds de réserve des retraites ainsi que les indemnités complémentaires de pensions de retraites et d’invalidité), de l’allocation de retraite, de l’indemnité complémentaire de pensions et rentes, de la majoration exceptionnelle de 5% des pensions et allocations de retraite du régime des salariés et non-salariés, et la revalorisation exceptionnelle (introduite en 2012)”.