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Transports

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  • 30-11-2020
    -Les vols de rapatriement d’Algériens bloqués à l’étranger reprendront le dimanche 6 décembre 2020, annonce Air Algérie, dans un communiqué, rendu public ce lundi 30 novembre. Les vols concernent aussi les Algériens ou des personnes d’autres nationalités devant se rendre à l’étranger. Air Algérie exige pour les vols prenant départ à partir d’Algérie que les voyageurs se conforment strictement aux conditions d’entrée du pays de destination (conditions sanitaires). Pour les passagers se rendant en Algérie, ils doivent être détenteurs d’un passeport algérien, être inscrits auprès de représentations algériennes à l’étranger et être en possession d’un billet Air Algérie confirmé sur le vol de rapatriement. De plus, les passagers candidats au rapatriement doivent avoir un test PCR négatif 72 heures avant le vol. Air Algérie a précisé qu’un programme détaillé sera communiqué ultérieurement et les personnes concernées seront contactées par les service de la compagnie nationale de transport aérien. Le Consulat d’Algérie à Montréal a demandé, dimanche 29 novembre, aux algériens bloqués au Canada de s’inscrire sur une plateforme numérique avant le mercredi 2 décembre. Depuis mars 2020, Air Algérie a effectué plus de 150 vols spéciaux de rapatriement ayant transporté près de 31.000 passagers. Le dernier vols remonte au 26 novembre 2020 (Doha Alger). Les vols internationaux de et vers l’Algérie demeurent suspendus en raison de l’urgence sanitaire liée à la pandémie de Coronavirus. WordPress:
  • 27-11-2020
    -Intervenant à l’émission LSA directe du quotidien Le Soir d’Algérie, le ministre des transports, Lazhar Hani, s’est exprimé sur la situation financière de la compagnie aérienne Air Algérie et a indiqué que beaucoup de passagers n’ont pas payé leur place lors des rapatriement. Une facture que l’Etat algérien devra payé. «Air Algérie a rapatrié plus de 32000 personnes (des charges pour 70 milliards)Sur une expédition il y a seulement 30% des passagers qui ont payé leur tickets. Air Algérie présentera sa facture à celui qui l’a réquisitionné en l’occurrence l’Etat Algérien » informe le ministre.
  • 26-11-2020
    -Rien que pour la période allant du 8 au 14 novembre, pas moins de 40 personnes ont trouvé la mort et 1251 autres ont été blessées dans 1096 accidents de la circulation enregistrés à travers le pays, selon un bilan établi, mardi, par les services de la Protection civile. Les accidents de la circulation ont fait plus de 2400 morts et plus de 20 000 blessés dans plus de 16 000 accidents de la route enregistrés au niveau national durant les dix premiers mois de 2020, a indiqué la Délégation nationale à la sécurité routière (DNSR). «Au total, 2422 personnes ont trouvé la mort et 22 003 autres ont été blessées dans 16 171 accidents de la circulation enregistrés, au cours des dix premiers mois de l’année 2020, au plan national en zones urbaine et rurale», lit-on dans le communiqué de la DNSR. Rien que pour la période allant du 8 au 14 novembre, pas moins de 40 personnes ont trouvé la mort et 1251 autres ont été blessées dans 1096 accidents de la circulation enregistrés à travers le pays, selon un bilan établi mardi par les services de la Protection civile. La Délégation nationale de la sécurité routière (DNSR) a toutefois relevé une baisse de 16,86% du nombre des décès par rapport à la même période de l’année 2019 et de -24,83% dans celui des blessés, tandis que le nombre d’accidents a reculé de 23,41%. L’année dernière, 3049 personnes ont trouvé la mort et 29 095 personnes ont été blessées dans 21 109 accidents enregistrés au niveau national, lors des onze premiers mois de l’année 2019. L’année dernière, la courbe des accidents de la route était en baisse de 2,1% par rapport à 2018. Ils avaient néanmoins provoqué la mort de 3270 personnes et des blessures à 31 010 autres. La route est devenue la neuvième cause de mortalité au monde, selon l’OMS. En Algérie, l’estimation globale, de 1970 à 2017, du nombre de tués est de plus de 170 000 personnes et le nombre de blessés dépasse les deux millions de personnes. Dans une étude intitulée «Les accidents de la route, la nécessité d’un diagnostic», trois chercheurs algériens, le Dr Azzeddine Madani de l’université Khemis Miliana, le Dr Tarek Chella de l’ENS et le Pr Abdelmadjid Bouder de l’USTHB, ont tenté de décrypter les données, il s’est avéré que durant la décennie 2007-2017, la moyenne journalière était estimée à 10 morts et de 100 blessés. En Algérie, où le ratio total des voitures en circulation est de 89 automobiles pour 1000 habitants, il est nécessaire aujourd’hui de prendre en considération une série de facteurs pour la prévention routière : contrôle de l’état des véhicules, entretien des réseaux routiers et leur adaptation aux normes internationales, mais également la sensibilisation des usagers de la route souvent montrés du doigt et considérés comme les principales causes des accidents de la circulation.
  • 02-11-2020
    -Une amende sera appliquée à l’encontre des opérateurs économiques dont les conteneurs seront retenus au niveau des infrastructures portuaires au-delà de 30 jours, engendrant des frais supplémentaires en devises liés à l’opération d’importation. «Il y a des frais normaux liés à l’opération commerciale à travers les différentes procédures permettant la réception de la marchandise par l’opérateur, mais il faut que cela soit dans un cadre acceptable», a indiqué le ministre des Transports, Lazhar Hani, lors d’un point de presse Le même responsable justifie cette mesure par le fait que certains conteneurs restent en rétention jusqu’à une année, engendrant beaucoup de frais en devises. M. Hani révèle qu’en 2019, le coût des frais supplémentaires «dus aux surestaries s’est élevé à près de 9,7 milliards de dinars, alors que les importations étaient faibles»……………………………………. -C’est à partir du 1er novembre, que le transfert de la gestion du Métro d’Alger s’est effectué au profit d’une filiale de l’Entreprise du métro d’Alger (EMA), une entreprise nouvellement créée à 100% algérienne qui remplacera l’entreprise française RATP. Le contrat liant l’EMA au partenaire étranger (RATP-El Djazaïr, filiale de la compagnie française RATP-Développement), étant arrivé à son terme le 31 octobre. L’Entreprise du métro d’Alger (EMA) s’engage à préserver l’ensemble des postes d’emploi ainsi que les droits des travailleurs. Comme elle assure également le maintien des salaires des travailleurs, ainsi que leurs droits et avantages sociaux.