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Hydraulique (et Ressources en eau)

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  • 28-10-2024
    -S elon les responsables de l’Agence nationale des barrages et transferts (ANBT), durant l’épisode pluvial allant du début du mois de septembre jusqu’au 20 du mois d’octobre, l’ANBT a enregistré un volume de plus de 1,9 milliard m³ d’eau au niveau des 81 barrages. Les dernières précipitations ont relativement augmenté le niveau de plusieurs barrages. C’est ce qu’a affirmé Mourad Heglouane, de l’Agence nationale des traitements de barrages, lors d’une rencontre organisée par le laboratoire de recherche pour la préservation et la protection des ressources en eau. Dans sa communication sous le thème «La gestion des barrages en Algérie dans le contexte des changements climatiques», Mourad Heglouane explique que la capacité initiale de stockage des 81 barrages et de 9.220, 28 millions de mètres cubes de la capacité totale. Le dernier lever bali-métrique est de 7,7 milliards de mètres cubes, alors que la réserve actuelle totale mobilisée au niveau des 81 barrages est de 27,470 millions de mètres cube, soit un taux de remplissage de 35,66%.
  • 24-10-2024
    -Le ministre de l'Hydraulique, Taha Derbal, a affirmé, ce mercredi à Ljubljana (Slovénie), que les eaux de surface transfrontalières dans l'ouest de l'Algérie étaient négativement impactées par les pratiques destructrices du Maroc, ayant provoqué plusieurs catastrophes environnementales. Ces pratiques ont provoqué des catastrophes environnementales, telles que la détérioration de la qualité des eaux du barrage "Hammam Boughrara" dans la wilaya de Tlemcen, à cause de la contamination des eaux entrantes des territoires marocains, et de la forte réduction des eaux de l'oued "Ghir" affluant vers le territoire algérien, à cause des barrages construits du côté marocain de la frontière, ce qui a entrainé l'assèchement prolongé du barrage Djorf-Torba sur le territoire algérien. Ces mauvaises pratiques, sont à l'origine de l'impact négatif subi par la région de la Saoura dans le sud-ouest de l'Algérie, à savoir l'effondrement des écosystèmes et de la biodiversité dans la région, affectant notamment la faune et la flore, outre les répercussions économiques et sociales graves sur les habitants des régions frontalières algériennes affectées, selon le ministre. En sus de l'aggravation de la sécheresse et la dégradation du couvert végétal du côté algérien, ces dommages ont, également, entrainé la disparition de 43 espèces d'oiseaux et d'animaux rares, ainsi qu'une perturbation des routes migratoires des oiseaux migrateurs. Le ministre a rappelé que l'Algérie avait initié l'action de consacrer des mécanismes de coopération en ce qui concerne les eaux transfrontalières, consistant en l'accord tripartite entre l'Algérie, la Tunisie et la Libye portant création d'un mécanisme de concertation sur la gestion des eaux souterraines communes dans le Sahara septentrional, signé le 24 avril dernier à Alger, affirmant que cette démarche "est un exemple à suivre en matière de solutions basées sur la coordination entre les Etats". Tenue du 23 au 25 octobre en cours, la 10e Réunion des Parties à la Convention sur la protection et l'utilisation des cours d'eaux transfrontalières et des lacs internationaux est organisée sous le slogan : "Nos eaux, notre avenir : la coopération dans le domaine des eaux transfrontalières pour renforcer la résilience face aux changements climatiques", en présence de plusieurs ministres et hauts responsables concernés par l'eau dans de nombreux pays et organisations. Bien que l'Algérie ne soit pas partie à la convention mentionnée, elle a été invitée à participer à cette réunion de haut niveau pour discuter de la question des eaux transfrontalières, au vu de leur impact majeur sur les écosystèmes et les changements climatiques auxquels est confronté le monde.