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Education (et Formation)

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  • 30-10-2024
    -Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a dévoilé le calendrier officiel des vacances universitaires pour l’année académique 2024-2025. Selon le communiqué du ministère, les étudiants bénéficieront de plusieurs périodes de vacances tout au long de l’année. Les vacances d’hiver commenceront le jeudi 19 décembre 2024 au soir et se termineront le samedi 4 janvier 2025 au matin. Les vacances de printemps, quant à elles, sont prévues du jeudi 20 mars 2025 au soir au samedi 5 avril 2025 au matin. Enfin, les grandes vacances d’été débuteront le jeudi 10 juillet 2025 au soir et se termineront le samedi 6 septembre 2025 au matin. Toutefois, le ministère a précisé que les établissements d’enseignement supérieur ayant accumulé des retards dans leurs programmes pourront prolonger l’année universitaire jusqu’au jeudi 24 juillet 2025 au soir. Cette mesure exceptionnelle vise à permettre aux étudiants de ces établissements de rattraper les cours manqués et d’acquérir les compétences requises. Il est important de noter que ce calendrier des vacances ne concerne que les étudiants et n’impacte pas les horaires de travail des personnels administratifs et techniques des universités. Par ailleurs, certaines situations particulières peuvent conduire à des aménagements du calendrier. C’est le cas de l’université des sciences et de la technologie Houari-Boumédiène (USTHB). En effet, le directeur de l’Université a pris la décision d’excuser les absences des étudiants à compter du 28 octobre et ce jusqu’au 31 octobre prochain. Cette mesure exceptionnelle, communiquée aux doyens des facultés, fait suite à la fermeture de l’autoroute Est, jouxtant la Grande Mosquée d’Alger et la promenade des Sablettes. Cette fermeture est liée aux préparatifs de la cérémonie militaire commémorant le 70ème anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre. Dans ce contexte, le directeur de l’université a enjoint aux enseignants de ne pas comptabiliser les absences des étudiants à partir de ce lundi 28 octobre jusqu’à jeudi prochain. Il a également invité les enseignants à adopter un mode d’enseignement à distance durant cette période.
  • 19-10-2024
    Des étudiants en médecine ont organisé ces derniers jours des actions de protestation pour faire entendre leurs voix, mais surtout pour faire état de leur «malaise» quant à leur avenir. Que ce soit en matière de conditions de formation, perspectives d'emploi ou par rapport au nombre limité des postes de concours d'accès au résidanat. Sans parler de la décision du blocage de l'authentification des diplômes, afin que les diplômés puissent avoir des équivalences à l'étranger. Bien que le problème concerne en premier lieu le département de Kamel Baddari, l'avenir des médecins dans le secteur de la santé concerne également le ministère de la Santé. C'est ce qu'a précisé au « Le Quotidien d'Oran », Dr Mohamed Iddir, président du Syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique (SNPSSP). Cette question a besoin d'une « réflexion stratégique » et d'un «pilotage stratégique impliquant le ministère de la Santé»........................................ ; Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a reçu les directeurs d'université et des facultés de médecine, avec la présence des représentants des étudiants en sciences médicales. Le Dr Iddir a souligné que l'évaluation des besoins en formation dépend essentiellement du secteur de l'enseignement supérieur, «dont les responsables doivent répondre à la question de savoir si nos facultés de médecine fonctionnent d'une manière à produire ou à former des médecins pour répondre à un besoin estimé à temps». Il précise avec réserve que «visiblement il y a un décalage entre la production des médecins et les capacités à les faire travailler sur le terrain». Il y a un excédent et apparemment cet excédent n'a pas été absorbé par le secteur privé. Concernant la question de l'authentification des diplômes, le Dr Iddir précise qu'il est vrai que cette décision a été prise peut-être dans l'urgence pour freiner un tant soit peu la fuite des médecins à l'étranger. Cela dit, « personnellement ce que je peux déplorer en tant que militant du secteur public de la santé en tant que syndicaliste, c'est que le départ à l'étranger est devenu la norme». Pour Iddir, le blocage de l'authentification n'est pas la solution. «Pour préserver nos ressources intellectuelles, universitaires et nos médecins, on doit revenir à la source du problème. Répondre aux préoccupations des médecins et universitaires afin de les inciter à rester dans leur pays et à servir le secteur de la santé, notamment le secteur public», dit notre interlocuteur. Et d'appeler à revoir cette politique de création des annexes de facultés de médecine à travers le pays car ceci va générer plus d'excédent. Sans parler, dit-il, des hôpitaux qui sont transformés en CHU, alors que l'encadrement universitaire dans les CHU existant pose déjà problème. Justement la réflexion stratégique doit tourner autour de cette problématique. Il dira qu'on n'est pas contre la création de nouveaux CHU et de facultés de médecine, mais cela doit se faire à condition de prévoir toutes les implications qu'entraînent ce genre de décisions et ou ce genre de projets........................... - Le ministère de l'Education nationale a arrêté le calendrier des examens trimestriels des trois cycles d'enseignement (primaire, moyen et secondaire) au titre de l'année scolaire 2024-2025, indique des comptes rendus de presse citant une correspondance adressée aux directeurs de l'Éducation. Le ministère de l'Éducation nationale a dévoilé les dates officielles des compositions trimestrielles et des examens blancs pour l'ensemble des niveaux scolaires. Les examens blancs du baccalauréat et du Brevet d'enseignement moyen (BEM) auront lieu du 18 au 22 mai, alors que les examens de rattrapage auront lieu à partir du 22 juin 2025. Le ministère de tutelle a également instruit les enseignants pour une correction collective des épreuves en présence de tous les élèves. Selon l'instruction adressée aux directeurs de wilaya de l'Éducation, les épreuves du premier trimestre pour l'enseignement primaire auront lieu entre le 3 et le 12 décembre 2024, alors que celles du deuxième trimestre sont prévues du 4 au 13 mars 2025 et le troisième trimestre du 25 au 29 mai 2025. Concernant le cycle moyen, les compositions du premier trimestre sont fixées du 1er au 5 décembre 2024, tandis que les épreuves du deuxième trimestre sont prévues du 2 au 6 mars 2025. Pour les élèves de première, deuxième et troisième année de collège, les compositions du troisième trimestre se dérouleront du 25 au 29 mai 2025, alors que celles de quatrième année sont prévues entre le 18 et le 22 mai 2025. Pour le secondaire, les élèves de première et de deuxième année passeront leurs examens de premier trimestre du 1er au 5 décembre 2024. Ceux du deuxième trimestre sont prévus entre le 2 et le 6 mars 2025, et pour le dernier trimestre du 25 au 29 mai 2025. Quant aux élèves de troisième année (classes d'examen), ils passeront les épreuves du bac blanc du 18 au 22 mai 2025. Le ministère a également annoncé les dates des examens de rattrapage, fixés pour le mois de juin 2025. Ces épreuves concernent les élèves des trois paliers, avec des sessions prévues entre le 22 et le 26 juin.
  • 15-10-2024
    -La présidente de la République de l'Inde, Mme Droupadi Murmu, a visité ce mardi, le pôle scientifique et technologique "Chahid Abdelhafid-Ihaddaden" à Sidi Abdellah (Alger), et ce dans le cadre de la visite d'Etat qu'elle effectue en Algérie. A cette occasion, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a remis à la présidente de la République de l'Inde le titre de Docteur Honoris causa que lui a décerné le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour ses efforts au service de la science et du savoir, et ce en présence de conseillers du Président, de membres du Gouvernement et de la famille universitaire. Lors d'une conférence qu'elle a animée au niveau de cet édifice scientifique et technologique, la présidente de l'Inde a salué l'accueil chaleureux qui lui a été réservé durant sa visite en Algérie, estimant que l'obtention de ce titre était un honneur pour elle et pour son pays.
  • 14-10-2024
    -Le ministère de l’Éducation nationale a fixé le calendrier des vacances scolaires de l’année 2024-2025. «Conformément aux dispositions de l’article 31 de la loi 08-04 du 15 Moharam 1429, correspondant au 23 janvier 2008, portant loi d’orientation sur l’éducation nationale et l’arrêté du 6 octobre 2024 fixant le calendrier des vacances scolaires de l’année 2024-2025, le ministère de l’Éducation nationale a fixé le calendrier des vacances scolaires de l’année 2024-2025», précise un communiqué du ministère. Ainsi, «les vacances d’automne débuteront le mardi 29 octobre 2024 jusqu’au dimanche 3 novembre 2024. Les vacances d’hiver débuteront le jeudi 19 décembre 2024 jusqu’au dimanche 5 janvier 2025. Les vacances du printemps débuteront le jeudi 20 mars 2025 jusqu’au dimanche 6 avril 2025, et ce pour toutes les régions du pays», précise la même source. Concernant les vacances d’été, elles débuteront, pour les enseignants dans tout le territoire national, le jeudi 10 juillet 2025, et pour le personnel administratif, «après le parachèvement de toutes les opérations relatives à la fin de l’année scolaire, dont les réunions des conseils d’admission et d’orientation, l’annonce des résultats des examens officiels et la remise des différents documents aux élèves, ainsi que toutes les opérations relatives à la rentrée scolaire». Le ministère a également précisé que les vacances d’été, dans les première et deuxième zones, ont été fixées à partir du jeudi 24 juillet 2025, et dans la troisième zone, à compter du 17 juillet 2025
  • 09-10-2024
    -L ’université algérienne occupe la première place au niveau maghrébin et la deuxième au niveau africain dans l’édition 2025 du Times Higher Education World University Rankings, a annoncé le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Ce classement, qui évalue plus de 2.000 établissements universitaires à travers 115 pays, repose sur une série d’indicateurs couvrant cinq grands axes : la qualité de l’enseignement, la recherche, les citations, l’ouverture internationale et l’impact sur l’industrie. Dans cette édition, 26 établissements algériens ont été classés, marquant une progression notable par rapport aux années précédentes. En 2023, ce chiffre se limitait à 13 universités. Parmi ces établissements, «l’Université de Sidi BelAbbès s’est particulièrement distinguée en se classant parmi les 1.200 meilleures du monde, confirmant ainsi l’excellence de l’enseignement supérieur algérien», précise la même source................................................ -Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique vient de lancer un appel à candidature au titre de professeur émérite et professeur hospitalo-universitaire émérite. Les candidats peuvent déposer leurs dossiers de candidature durant la période allant du 10 octobre au 7 novembre prochain. Le département de Baddari a donné instruction d’assurer toutes les facilitations aux candidats par rapport au retrait des documents exigés.
  • 07-10-2024
    -L’Université d’Oran 2 Mohamed-Benahmed a accueilli 5 étudiants russes de l’Université linguistique de Moscou pour un semestre d’échange, a indiqué hier un communiqué de cet établissement de l’enseignement supérieur. L’arrivée de ce groupe d’étudiants russes, en provenance de l’Université linguistique d’Etat de Moscou, entre dans le cadre d’un accord de coopération d’une durée de cinq ans signé entre les deux universités, le 14 août dernier. Les étudiants russes, qui seront présents à la faculté des langues étrangères, seront répartis entre le département de langue française et le centre d’enseignement intensif des langues. En outre, trois étudiants suivront des cours de Licence et Master en langue française, tandis que les deux autres suivront des cours de langue arabe. Les étudiants algériens bénéficieront, à leur tour, de séjours d’études à l’Université linguistique d’Etat de Moscou pour approfondir leurs connaissances dans la langue russe, dans le cadre du même accord de partenariat, ajoute-t-on de même source
  • 03-10-2024
    -Le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed, a inauguré jeudi un lycée régional de mathématiques Sadek Hamani, réalisé dans la cité Daksi Abdeslem, dans la ville de Constantine. Le nouvel établissement d'enseignement secondaire, spécialisé en mathématiques, compte 112 élèves répartis entre six groupes, soit une moyenne de 19 élèves par groupe, selon les explications fournies au ministre, en visite de travail et d'inspection dans la wilaya de Constantine. Supervisant l'inauguration du lycée régional de mathématiques, M. Belaabed a mis l'accent sur l'importance de ce genre d'établissement au regard des opportunités et perspectives prometteuses qu'il offre aux élèves, rappelant les efforts consentis par l'Etat en matière de création d'établissements d'enseignement spécialisés. S'étendant sur 10.805m2, dont 2.226 m2 bâtis, le lycée régional de mathématiques, qui accueille des élèves de 22 wilayas de l'est et du sud-est du pays, encadrés par 21 enseignants, dispose de 15 salles de cours, une bibliothèque, deux salles d'informatique, des laboratoires de physique et de sciences, un stade, une salle de détente et 10 dortoirs.
  • 01-10-2024
    -L'Algérie a définitivement tourné la page sur son adhésion aux BRICS, même si elle est membre de la Banque de ce Groupe, rapporte samedi El Moudjahid citant une source gouvernementale "très au fait de ce dossier". Cette réaction intervient suite à "une rumeur qui court, semant l'idée que des pays membres des Brics auraient encore une fois sollicité l'Algérie pour rejoindre ce Groupe", note El Moudjahid dans son éditorial, tout en s'interrogeant sur "la vérité tapie derrière ces chuchotements annonçant l'Algérie en pôle position dans le futur élargissement des Brics". "En effet, pour les autorités algériennes, le dossier de l'adhésion aux Brics est clos. Mieux encore, l'Algérie a définitivement tourné la page, même si elle est membre de la banque des Brics", relève la même source. Pour le même journal, "les raisons qui ont poussé l'Algérie à tourner le dos à ce conglomérat sont à la fois simples et logiques", alors que l'exclusion de l'Algérie lors du sommet de Johannesburg en août 2023 où six nouveaux membres ont été admis, a été marquée par l'absence d'"arguments plausibles" pour justifier cette décision. "A la surprise générale, le dossier Algérie a été retiré à la dernière minute", observe El Moudjahid qui relève "une incohérence flagrante, tant sur le fond que sur la forme". Cette Organisation (Brics), "censée remettre en question un ordre mondial établi représenté par le FMI et la Banque mondiale, devrait agir avec une approche plus inclusive. Or, elle adopte une logique de sélection absurde, limitant aussi bien son impact que sa portée. Au lieu de ratisser large et d'apporter des solutions globales, elle se contente d'une démarche restrictive", regrette l'édito d'El Moudjahid, rappelant, à cet égard, que l'Algérie "est un pays sans dette extérieure, possédant la plus grande superficie d'Afrique, regorgeant d'importantes ressources minérales et énergétiques et dotée d'infrastructures enviables par tout le continent". Mettant en avant les performances économiques de l'Algérie saluées par le FMI et la Banque mondiale, le journal rapporte que les Brics, qui se présentent comme une alternative économique mondiale, "ont choisi d'ignorer cette reconnaissance". Mais "cette cécité n'a rien de mystérieux, c'est même un secret de Polichinelle", ironise El Moudjahid dans son édito, précisant que l'exclusion de l'Algérie "résulte davantage de manœuvres politiques que de critères économiques", sachant qu'un pays membre y a mis son veto sous l'influence d'un émirat du Golfe. El Moudjahid souligne que l'Algérie, "qui a de tout temps plaidé en faveur de la multipolarité dans les relations internationales et du rétablissement de la coopération multilatérale, continuera à défendre ses choix avec ses alliés des Brics dans d'autres cadres, comme le Conseil de sécurité de l'ONU, le groupe des 77 et le Mouvement des non-alignés".