Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Economie

Mois du 10/2021

<< octobre 2021 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
25 26 27 28 29 30 1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 31 1 2 3 4 5



  • 17-10-2021
    -Le président de la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC), Sami Agli, n’a pas caché, son inquiétude quant à la situation globale des entreprises. “Nous sommes inquiets. Nos entreprises font face à des difficultés”, a-t-il affirmé, lors d’une conférence de presse organisée au siège de l’organisation patronale à Alger. La crise économique que vit le pays s’est aggravée durant l’année 2020 au point de mettre les entreprises, en particulier les plus petites d’entre elles, les PME, en sérieuses difficultés de trésorerie. “Nous avons vécu une crise multidisciplinaire. 2019 a été une année blanche”, a constaté le président la CAPC, qui évoque aussi l’impact de la crise sanitaire en 2020 qui n’a épargné aucun secteur. “Les entreprises ont subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire, de la Covid-19”, relève Sami Agli. Pour autant, le président de la CAPC se dit optimiste, mettant en avant “les messages de confiance prônés par les plus hautes autorités du pays sur la question de l’économie”. Le président de la CAPC a évoqué, par ailleurs, l’urgence de débloquer l’investissement. Près de 1 500 projets d’investissement sont en souffrance, rien qu’au niveau de l’Agence nationale de développement de l'investissement, a-t-il fait remarquer. 224 dossiers sont en cours de déblocage. M. Agli estime qu’il faut faire confiance au secteur privé lequel peut porter avec l’ensemble du tissu industriel national, la relance économique tant espérée. L’expérience internationale, citant l’exemple de la Chine, a montré que les plus grandes économies du monde doivent leur développement à un secteur privé puissant.
  • 13-10-2021
    -Le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de l’Economie de la connaissance et des Start-ups, Yacine El Mahdi Oualid, a indiqué mercredi à Constantine, lors des travaux de la rencontre régionale sur les start-ups que "63% des start-ups labellisées ont été créées entre 2020 et 2021". "Beaucoup de start-ups ont bénéficié de financement ou d’un accord de financement pour être financées dans les jours à venir", a souligné Yacine Oualid, faisant état de 64 start-ups financées, un chiffre, a-t-il dit, qui sera revu à la hausse au fur et à mesure de l’augmentation du nombre des labels octroyés. Le ministre délégué a fait état, dans ce cadre, de 624 start-ups labellisées à l’échelle nationale et de 6.657 personnes inscrites sur le site officiel des start-ups, dont 2.000 ont demandé le label. Ces statistiques encourageantes reflètent, a-t-il estimé, la performance des mesures gouvernementales mises en place au service des start-ups, considérées comme le maillon fort du projet d’édification d’une économie de connaissance permettant d’avancer vers une Algérie meilleure. Evoquant l’impact qu’ont eu les mécanismes d’accompagnement et d’appui aux start-ups sur l’amélioration de l’écosystème de l’innovation, le ministre délégué a mis l’accent sur l’importance du Fonds de financement des start-ups qui consiste en un financement reposant sur une prise de participation minoritaire dans le capital des start-ups pour une durée limitée. Le nombre des incubateurs d’affaires est passé de 14 à 29 durant les 6 derniers mois, a déclaré Yacine Oualid, ajoutant qu’il s’agit là d’une performance, d’autant que les incubateurs d’affaires sont considérés, selon lui, comme le moteur de l’écosystème des start-ups.
  • 12-10-2021
    -Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la hausse sa prévision de croissance économique pour l’Algérie en 2021, la portant à 3,4% contre 2,9% anticipée en avril dernier. Dans la nouvelle édition de son rapport semestriel sur les perspectives économiques mondiales, publiée mardi, à l'occasion des réunions d’automne du FMI et du Groupe de la Banque Mondiale, le Fonds prévoit une croissance du PIB réel en Algérie de 1,9% en 2022 (contre une prévision de 2,7% dans son rapport d'avril dernier). L’institution monétaire internationale a, également, amélioré son estimation de la croissance faite pour 2020, la situant à -4,9% contre -6% dans l’édition d'avril. Pour ce qui est du déficit de la balance du compte courant, il devrait se situer cette année, selon les mêmes prévisions, à -7,6% du PIB (contre une prévision de -7,7% anticipée en avril). Ce déficit, qui a été de -12,7% en 2020, selon le FMI, devrait descendre à -5,5% du PIB en 2022 (contre -8,7% du PIB prévu en avril dernier).......................................................................... --L'adhésion à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) devrait permettre à l'Algérie de faciliter ses échanges commerciaux et d'"envahir" les marchés étrangers, a estimé, mardi à Alger, le président du Conseil national économique, social et environnemental (CNESE), Rédha Tir. Intervenant lors d'une journée d'étude organisée par le CNESE sous le thème "L'Algérie et l'Organisation mondiale du commerce : quel avenir ?", M. Tir a souligné que les règles de libre échanges "équitables" instaurées par des organisations telle que l'OMC, permettraient à l'Algérie d'"envahir" les marchés étrangers, ce qui nécessitera, selon lui, de provoquer "un choc" dans l'appareil de production.
  • 09-10-2021
    -Décret exécutif n° 21-246 du 21 Chaoual 1442 correspondant au 2 juin 2021 modifiant le décret exécutif n° 95-160 du 4 Moharram 1416 correspondant au 3 juin 1995 portant organisation et fonctionnement du conseil national de la statistique. (Joradp n°45 du 9 juin 2021)…………………………………………………………………………
  • 03-10-2021
    -Les services du FMI, qui viennent d'achever leur mission de consultations de 2021 en Algérie, au titre de l’article IV, ont salué ce dimanche les mesures introduites par les pouvoirs publics pour réduire les restrictions aux Investissements Directs Etrangers (IDE). "La mission salue les efforts des autorités pour réduire les restrictions à l’investissement direct étranger et leurs plans de modernisation du cadre juridique de l'investissement et de la concurrence, ce qui contribuerait à diversifier l'économie et réduire sa dépendance aux hydrocarbures et à favoriser l'investissement du secteur privé et la création d'emplois", ont-ils souligné dans un communiqué de presse. Le communiqué a été lu lors d'une conférence de presse, animée par visioconférence depuis Washington, par Mme Geneviève Verdier, Cheffe de Division au niveau du département Moyen-Orient et Asie Centrale du Fonds, qui a conduit la mission entre le 13 septembre et le 3 octobre. La mission a également salué "les annonces récentes concernant des plans de réduction des charges administratives et les réformes à venir pour réduire la vulnérabilité à la corruption". Concernant l'économie algérienne, la mission du FMI a avancé qu'une "reprise graduelle est en cours", avec un "taux de croissance économique projetée à plus de 3% cette année, soutenue par la reprise des prix et de la production des hydrocarbures". Cependant, malgré le rebond de l’activité économique et la nette amélioration du solde extérieur en 2021, il reste urgent, estima la mission du Fonds, de "rétablir une stabilité macroéconomique et une marge de manœuvre, tout en protégeant les groupes les plus vulnérables et en soutenant la reprise". De l’avis de l’équipe de la mission, la persistance de déficits budgétaires élevés à moyen terme engendrerait "des besoins de financement sans précédent, épuiseraient les réserves de change, et présenterait des risques pour l’inflation, la stabilité financière et le bilan de la banque centrale". Pour y faire face, la mission recommande "un ensemble complet et cohérent de politiques budgétaire, monétaire, et du taux de change" afin de réduire les vulnérabilités de l'économie algérienne. Un "ajustement budgétaire général", qui donne en même temps la priorité aux mesures de protection des plus vulnérables, devrait être entamé en 2022 et s'échelonner sur plusieurs années pour maintenir la viabilité de la dette, ont suggéré les experts du FMI. Quant au financement monétaire, il "devrait être interdit" afin d’endiguer l’augmentation de l’inflation et l'épuisement rapide des réserves de change, selon la mission qui a recommandé "une diversification des sources de financement budgétaire y compris à travers le recours à l’emprunt extérieur". Une "plus grande flexibilité du taux de change" contribuera, selon elle, à renforcer la résilience de l'économie aux chocs externes et un resserrement de la politique monétaire permettra d’endiguer les pressions inflationnistes. L’application de la loi organique relative aux lois de finances constitue une étape importante dans l’amélioration de la gouvernance budgétaire, selon la mission. Il est à souligner que les communiqués de presse de fin de mission expriment les avis des services du FMI ayant réalisé les consultations et ne correspondent pas forcément à ceux du conseil d'administration du FMI. A partir des conclusions préliminaires de la mission, les services du FMI établiront un rapport qui sera présenté au conseil d'administration du Fonds