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Culture (et Religion)

Journée du Mercredi 28/09/2023

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-La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji a présidé, ce jeudi à Alger, l'ouverture de la réunion du Comité africain de la Confédération internationale des sociétés d'auteurs et compositeurs (CISAC) regroupant 15 sociétés africaines de gestion des droits d'auteurs, placée sous le thème "La numérisation: pour une approche efficace des sociétés africaines de gestion". Organisée par l'Office national de droits d’auteurs et droits voisins (ONDA) en collaboration avec l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (WIPO), la réunion s'étalera du 27 au 29 septembre courant.............................................................................. --Ce jeudi 28 septembre, le scrutin a désigné Amin Maalouf comme le nouveau secrétaire perpétuel de l’Académie français. Il succède ainsi à Hélène Carrère d’Encausse, première femme à la tête de l’institution littéraire. Il est le nouveau secrétaire perpétuel de l’Académie française. Ce jeudi 28 septembre, Amin Maalouf a été élu par les « immortels » à la direction de l’institution fondée au 17e siècle, face à Jean-Christophe Rufin, à 24 voix contre 8. Il devient la 33e personne à occuper cette fonction depuis 1634. Amin Maalouf, écrivain franco-libanais de 74 ans, est membre de l’Académie française depuis 2011. Lauréat du prix Goncourt en 1993 pour son livre « Le Rocher de Tanios », il est devenu une figure du roman historique d'inspiration orientale et a consacré son œuvre au rapprochement des civilisations. Il était alors vu comme le favori de cette élection. Fraîchement élu, l'une de ses tâches cruciales sera d'assurer la pérennité financière, qui, selon un rapport de la Cour des comptes sur l'Institut de France en 2021, n'est pas assurée. L'autre sera d'attirer des candidats de valeur pour revêtir « l'habit vert ». Hélène Carrère d'Encausse n'a en effet pas toujours eu du succès dans ses tentatives de susciter ou faire avaliser les candidatures d'écrivains plus jeunes et populaires. Michel Houellebecq n'a pas répondu à ses appels du pied, et des auteurs comme Frédéric Beigbeder ou Benoît Duteurtre ont été recalés.................................................................................. --«Mon père a été assassiné parce qu’il prônait les belles valeurs de l’Islam pas celles du suicide et des attentats.» C’est sous un tonnerre d’applaudissements retentissants dans la salle Émir-Abdelkader de la Grande Mosquée de Paris que Ahmad Massoud, fils du commandant Chah Massoud assassiné par les Talibans en 2001, entame son discours après avoir reçu le prix du meilleur essai 2023. Pour cette 2e édition du prix littéraire de la Grande Mosquée de Paris consacré à la civilisation musulmane, le jury composé de l’historien Benjamin Stora, le journaliste Jean-Pierre El Kabache et d’autres personnes influentes comme Aïcha Mokdahi directrice de fondation, Chamsseddine Hafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris, a choisi de décerner le prix du meilleur essai à l’auteur de « Notre liberté » qui vient de paraître aux éditions Bouquins. Premier livre du jeune leader de la résistance afghane, à 34 ans seulement, l’auteur mêlera dans cet essai son portrait, des anecdotes, des révélations, sa vision pour son pays, ses batailles pour le respect des droits humains, son plaidoyer pour un islam de tolérance, loin des idéologies sectaires, ainsi que des faits inédits sur la vie de son père. Dans la catégorie roman, le prix a été décerné à Abdelkrim Saïfi, ancien journaliste. Il signe ici et pour la première fois aux éditions « Anne Carrière », un livre auto-biographique racontant l’immigration à travers l’histoire de ses parents partis de Biskra en 1948