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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Mercredi 31/08/2023

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-Les chefs des diplomaties des BRICS ont invité l’Indonésie à rejoindre le groupe, selon la ministre indonésienne des Affaires étrangères. "Des études internes sont toujours en cours pour déterminer quels sont les avantages du côté politique et du côté économique", a-t-elle commenté. La ministre indonésienne des Affaires étrangères Retno Marsudi a déclaré que ses homologues des BRICS avaient adopté une approche visant à inviter l’Indonésie dans le groupe. "Dès le début, les BRICS ont pensé à élargir leur adhésion, tous les ministres des Affaires étrangères des BRICS ont pris contact avec l'Indonésie pour l’inviter à rejoindre les BRICS", a-t-elle déclaré, citée par l’agence de presse officielle ANTARA. Elle a ajouté que son pays n’a pas encore décidé si l'adhésion aux BRICS était avantageuse pour l’Indonésie. "Des études internes sont toujours en cours pour déterminer quels sont les avantages du côté politique et du côté économique", a-t-elle expliqué. Retno Marsudi a ajouté que l'Indonésie n'avait pas encore soumis de lettre de "manifestation d'intérêt" pour devenir membre des BRICS. "Pour rejoindre les BRICS, le pays doit transmettre ce qu’on appelle la lettre d’'expression d'intérêt'. Pour dire qu’il est intéressé à entrer dans les BRICS et ainsi de suite. Jusqu'à présent, nous n'avons rien transmis", a-t-elle détaillé. La ministre a cependant indiqué que l'Indonésie entretenait de bonnes relations avec tous les pays membres des BRICS, comme l'a déclaré le Président indonésien Joko Widodo qui a participé au sommet des BRICS à Johannesburg. Le 30 août, le président de la commission du Parlement indonésien pour les questions économiques Said Abdullah a appelé le gouvernement à accélérer le processus d’adhésion aux BRICS, même si le Président Joko Widodo a déclaré qu’elle devait être réexaminée. "L'esprit des BRICS devrait devenir le nouvel espoir de l'Indonésie d'accroître la croissance économique, de réduire la dépendance à l'égard du dollar américain et de développer les investissements, en fournissant des facilités de financement bon marché ainsi que de nouveaux marchés d'exportation", a-t-il avancé. Lors du récent sommet des BRICS en Afrique du Sud, le groupe a admis six nouveaux membres: l’Arabie saoudite, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, les Émirats arabes unis et l’Iran.............................................................. -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a adressé,ce jeudi, un message de condoléances à son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa, suite à l'incendie qui a fait de nombreux morts (73) et blessés à Johannesburg.............................................. -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf, a reçu, jeudi, un appel téléphonique de la Secrétaire d'Etat adjointe américaine aux Affaires africaines, Molly Phee, lors duquel il a passé en revue les principaux éléments de l'Initiative du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour le règlement de la crise au Niger, indique un communiqué du ministère. "L'appel téléphonique a porté sur les derniers développements de la crise en République du Niger et les perspectives de renforcement de la coopération et de la coordination entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique pour contribuer à la promotion d'une solution politique, et ce, à la lumière de l'Initiative du président de la République, Abdelmadjid Tebboune", lit-on dans le communiqué. Dans ce cadre, ajoute la même source, A. Attaf a passé en revue "les principaux éléments de l'Initiative et la vision globale qu'elle porte pour le règlement de la crise au Niger, dans ses différentes dimensions, dans le cadre d'une approche participative encourageant la contribution de toutes les parties intéressées tant au niveau intérieur, au Niger, qu'aux niveaux régional et international"........................................................... -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a reçu jeudi un appel téléphonique de son homologue suisse, Ignazio Cassis, dans lequel il a déploré la lecture "révisionniste", par la justice suisse, de la bravoure du combat solitaire que l’Algérie a mené contre le terrorisme, indique un communiqué du ministère. En réaction aux propos de son homologue suisse faisant part de la position du gouvernement helvétique à l’égard des derniers développements enregistrés dans le dossier relatif aux poursuites judiciaires engagées contre le Général-major à la retraite, Khaled Nezzar, en l’occurrence le renvoi de cette affaire par le ministère public suisse au tribunal pénal fédéral avec acte d’accusation, le ministre Ahmed Attaf a tenu, d’emblée, à souligner trois données principales à savoir, "que l’indépendance de la justice ne justifie pas l’irresponsabilité et qu’un système judiciaire quel qu’il soit s’arroge le droit absolu pour juger des politiques d’un Etat souverain et indépendant". La seconde, poursuit le communiqué, "que depuis le début de cette affaire, l’Algérie a eu la conviction, et que cette conviction n’a fait que se raffermir avec le temps, que la justice suisse a offert avec beaucoup de légèreté une tribune aux terroristes, à leurs alliés et à leurs soutiens pour tenter de discréditer le combat honorable de notre pays contre le terrorisme, de jeter l’opprobre sur ceux qui lui ont fait face et de souiller la mémoire de ceux qui sont tombés en lui résistant". En dernier, "avec la même légèreté, la justice suisse procède à une lecture révisionniste de l’histoire de notre pays durant les années 90. Elle procède par des accusations outrancières et infondées, par des comparaisons hasardeuses et inappropriées et par des falsifications si flagrantes qu’elles se discréditent elles-mêmes". Sur le fond, A. Attaf a souligné dans le communiqué, que la communauté internationale dans son ensemble reconnaît le combat héroïque et solitaire mené par l’Algérie contre le terrorisme durant les années 90, et que le rôle de notre pays et son expérience en la matière étaient largement appuyés et sollicités aux niveaux régional et international. Il a rappelé que l’Algérie est "le pays-champion au niveau de l’Union africaine (UA) pour la prévention et la lutte contre le terrorisme, que notre pays s’apprête, dans le cadre de sa mandature au Conseil de Sécurité, à assumer la présidence de deux Comités subsidiaires du Conseil sur la thématique du terrorisme, et que l’Algérie co-présidera prochainement avec les Etats-Unis d’Amérique une Conférence sur la lutte contre le terrorisme en Afrique". "Il semble que la planète entière reconnaît que l’Algérie luttait contre le terrorisme, à l’exception de la justice helvétique", a-t-il indiqué. Sur la base de ces données, A. Attaf a déploré "cette lecture révisionniste, par la justice suisse, de la bravoure du combat solitaire que l’Algérie a mené contre le terrorisme". Il a relevé "le caractère singulier de la situation actuelle, dans la mesure où il est permis à une organisation d’anciens terroristes et à leurs alliés d’utiliser la justice suisse pour faire le procès de l’Etat algérien". Il a souligné, enfin, "que l’Algérie trouve inadmissible que la justice suisse s’arroge le droit de porter un jugement sur les choix politiques d’un Etat souverain et indépendant en matière de sécurité nationale". En conclusion, A. Attaf, tout en soulignant que la gratitude de l’Algérie à l’égard de la Suisse demeure intacte s’agissant du rôle qu’elle a joué dans le recouvrement par notre pays de son indépendance, a indiqué que "cette affaire a atteint les limites de l’inadmissible et de l’intolérable et que le gouvernement algérien est déterminé à en tirer toutes les conséquences, y compris celles qui sont loin d’être souhaitables pour l’avenir des relations algéro-suisses". Il a formé le vœu que "tout soit entrepris pour éviter que cette affaire n’entraine les relations entre l’Algérie et la Suisse sur la voie de l’indésirable et de l’irréparable", conclut le communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger....................................................................... -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf, a reçu, jeudi à Alger, les ambassadeurs de pays membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), dans le cadre de la promotion de l'Initiative du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, en faveur d'une solution politique et pacifique à la crise au Niger, indique un communiqué du ministère. "Il s'agit de l'ambassadrice de la République fédérale du Nigeria en Algérie, dont le pays assure actuellement la présidence de la CEDEAO, et des ambassadeurs du Sénégal, de la Côte d'Ivoire et de la Guinée-Bissau", précise la même source................................................... -Une délégation des Etats-Unis d'Amérique, conduite par Joshua Harris, Secrétaire d'Etat adjoint pour l'Afrique du Nord, entame vendredi une visite auprès de la partie sahraouie, dans le cadre des efforts déployés pour relancer le processus de paix parrainé par l'Organisation des Nations Unies (ONU) au Sahara occidental, indique l'Agence de presse sahraouie (SPS). Le programme de la visite prévoit des discussions politiques avec les dirigeants sahraouis et des rencontres avec des groupes de femmes et de jeunes, en sus des visites au niveau de certaines structures, précise l'agence de presse. Le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Secrétaire général du Front Polisario, Brahim Ghali, recevra en audience la délégation américaine au terme de sa visite, selon la même source. A cette occasion, le Front Polisario a réaffirmé sa pleine et constructive coopération avec les efforts de l'ONU et de l'Union africaine (UA) pour accélérer le processus de décolonisation au Sahara occidental, en permettant au peuple sahraoui d'exercer son droit inaliénable et imprescriptible à l'autodétermination et à l'indépendance conformément aux résolutions pertinentes de l'ONU et de l'UA.