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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Lundi 29/08/2023

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-Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf a affirmé, mardi, que l'Algérie qui défend le principe de la multipolarité dans les relations internationales et le rétablissement de la coopération multilatérale, continuera à défendre ces choix avec ses alliés du groupe des BRICS dans d'autres cadres. Le ministre répondait à une question sur la position de l'Algérie vis-à-vis des conclusions du dernier sommet des BRICS à Johannesburg (Afrique du Sud) lors d'une conférence de presse tenue au Centre international de conférences (CIC) "Abdelatif-Rahal", consacrée aux développements en cours dans la région du Sahel, en général, et en République du Niger, en particulier. "Les pays du BRICS sont des Etats amis, voire des alliés de longue date avec lesquels nous entretenions, avant même les BRICS, une coordination concernant nos questions politiques étrangères", a souligné A. Attaf. L'Algérie a de tout temps plaidé en faveur de la multipolarité dans les relations internationales, des rapports équitables, la sécurité internationale et le rétablissement de la coopération multilatérale, a-t-il ajouté, rappelant que ces choix et ces principes "sont au cœur de la politique étrangère de l'Algérie depuis le recouvrement de sa souveraineté nationale". "Nous continuerons à défendre ces choix avec les mêmes alliés dans d'autres cadres comme le Conseil de sécurité de l'ONU, le groupe des 77 et le Mouvement des non-alignés", a soutenu A. Attaf, soulignant que ces "objectifs sont toujours de mise"............................................. -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf, a affirmé, ce mardi, que l'Algérie n'avait aucune responsabilité dans le gel de l'action maghrébine, intervenu suite à une demande formulée par le Premier ministre, ministre des Affaires étrangères marocain de l'époque, Abdellatif Filali. "Le gel de l'action maghrébine est intervenu durant mon premier mandat de ministre des Affaires étrangères, en 1995, suite à une demande écrite du Premier ministre, ministre des Affaires étrangères marocain, M. Filali", a précisé A. Attaf lors d'une conférence de presse au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal (Alger). "L'Algérie n'a aucune responsabilité dans le gel de l'action maghrébine", a-t-il insisté. "Les conditions n'ont pas changé. Elles se sont même détériorées. Aussi, il est difficile aujourd'hui de parler de la relance de l'Union du Maghreb arabe", a soutenu le ministre....................................................... - L’Algérie propose d’instaurer au Niger une période de transition de six mois pour régler la crise sous le contrôle du pouvoir civil, a annoncé mardi le ministre des Affaires étrangères Ahmed Attaf. Le ministre des Affaires étrangères, a affirmé que l’initiative du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, visant à trouver une solution politique à la crise au Niger, s’inscrit dans le cadre d’une vision garantissant le respect du principe de rejet des changements anticonstitutionnels, d’une part, et l’adhésion de toutes les parties autour de l’option pacifique, loin de toute intervention militaire d’autre part. Lors d’une conférence organisée au Centre international de conférences (CIC) « Abdelatif-Rahal », consacrée aux développements en cours dans la région du Sahel, en général, et en République du Niger, en particulier, A. Attaf a insisté sur l’impératif de prioriser la solution politique et d’écarter le recours à la force au regard des répercussions désastreuses que pourrait entrainer cette option sur le Niger et la région toute entière. « Nous avons présenté notre initiative du règlement politique au Niger avec l’établissement d’une période de transition de six mois sous le contrôle du pouvoir civil régi par une personne convenue », a-t-il déclaré, relayé par la chaîne Al 24news. Selon Ahmed Attaf, cette période de transition est destinée à « parvenir à des accords politiques avec la participation de toutes les parties nigériennes sans exception ». « Le Niger se trouve à une étape très sensible, fatidique, de la crise politique, constitutionnelle et institutionnelle », a poursuivi le ministre. « L’Algérie appelle à la reconstruction de l’ordre constitutionnel et au respect des institutions démocratiques au Niger et confirme que Mohamed Bazoum est le président légitime du pays », a souligné le chef de la diplomatie algérienne. Les 6 points : Renforcer le principe de rejet des changements anticonstitutionnels /Définir un délai de six mois pour la mise en œuvre d'une solution politique. processus conduit sous le contrôle d'une autorité civile, conduite par une personnalité consensuelle / Associer toutes les parties au Niger, sans exclusion aucune / Accorder les garanties adéquates à toutes les parties concernées / Entamer des contacts avec toutes les parties au Niger, les pays voisins, la CEDEAO, et des pays qui souhaitent soutenir le processus politique de sortie de crise / Organiser, sous l’égide de l’ONU, une conférence internationale sur le développement au Sahel