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Hydraulique (et Ressources en eau)

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  • 24-09-2023
    -La station de dessalement de l'eau de mer de Corso (Boumerdes) est entrée, dimanche, dans sa phase de production intégrale d'une capacité de 80.000 mètres 3/jour, a indiqué dans un communiqué "Algerian Energie Company" (AEC), filiale de Sonatrach. Suite au parachèvement de toutes les étapes mécaniques et d'essai et la vérification que toutes les conditions de sécurité et de conformité aux normes, la station de Corso de dessalement de l'eau de mer est entrée "aujourd'hui à 10h00 dans la phase de production avec sa pleine capacité de 80.000 m3/jour", a précisé le communiqué. Ceci intervient suite au lancement de l'opération de production partielle dans cette station destinée aux wilayas de Boumerdes et Alger le 4 juillet 2023 comme première phase de fonctionnement.
  • 10-09-2023
    -L e Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, annonce la fin du remplissage du Grand barrage de la Renaissance (Gerd) sur le Nil, source de tensions régionales avec l’Egypte et le Soudan situés en aval. «C’est avec grand plaisir que j’annonce que le quatrième et dernier remplissage (d’eau) du barrage de la Renaissance a été réalisé avec succès», a déclaré Abiy Ahmed dans un message sur le réseau social «X» (ex-Twitter), alors que des négociations entre les trois pays avaient repris le 27 août. «Il y a eu beaucoup de défis, nous avons souvent été poussés à faire marche arrière. Nous avons eu un défi interne et des pressions extérieures. Nous avons atteint (ce stade) en faisant face avec Dieu», a-t-il ajouté. «Je crois que nous terminerons ce que nous avons prévu», a affirmé le dirigeant éthiopien. Jugé vital par Addis-Abeba, le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne (Gerd), qui a coûté environ 3,5 milliards d’euros, est au cœur d’un conflit régional depuis que l’Ethiopie a entamé les travaux en 2011, l’Egypte et le Soudan craignant qu’il ne réduise leur part d’eau du Nil. Des négociations entre les trois pays ont repris le 27 août, après près de deux ans et demi d’interruption. Ces discussions visent à parvenir à un accord «tenant compte des intérêts et des préoccupations des trois pays», avait affirmé à cette occasion le ministre de l’Eau et de l’Irrigation égyptien, Hani Sewilam, affirmant qu’«il est important de mettre un terme aux mesures unilatérales». L’Egypte considère ce mégabarrage comme une menace existentielle car elle dépend du Nil pour 97% de ses besoins en eau