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Culture (et Religion)

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  • 22-09-2021
    -Le Centre algérien de cinématographie (CAC) a annoncé, ce mercredi, la réouverture des salles de la cinémathèque algérienne au public au niveau national, à partir de ce samedi 25 septembre après deux mois de fermeture, en raison de la pandémie (Covid-19). Les cinémathèques concernées sont celles d'Alger, de Souk Ahras, de Annaba, de Tizi Ouzou, de Batna, de Tlemcen, de Béchar et de Béjaia, a précisé le CAC dans son communiqué publié sur sa page Facebook………………………………………………………………………. - L'Office national de la culture et de l'information (ONCInci) a annoncé, mercredi, la reprise de son programme culturel et artistique dans tous ses espaces à travers le territoire national à partir du 1er octobre prochain, et ce à l'occasion de la rentrée culturelle 2021/2022. A l'occasion de la rentrée culturelle 2021/2022, l'ONCI reprendra "son programme culturel et artistique dans tous ses espaces, à savoir la salle Atlas à Alger, la salle Ahmed Bey à Constantine, la salle des Issers à Boumerdes, le complexe culturel Abdelouaheb Slim Chenoua à Tipasa, les salles Essaâda et Maghreb à Oran et la salle du 8 mai 1945 à Kherrata (Bejaïa)", lit-on dans un communiqué posté sur le site électronique de l'Onci.
  • 17-09-2021
    -L’acteur français Omar Sy figure dans le classement des 100 personnalités les plus influentes de l’année 2021, selon le magazine « Time ». Il fait donc partie du classement des 100 personnalités les plus influentes du monde en 2021, selon le magazine « Time ». Le comédien français, révélé dans l’émission comique « Service après-vente », ne cesse d’enchaîner les succès : « Demain tout commence », « Samba » ou encore le cultissime « Intouchables ». Omar Sy a même prêté sa voix au personnage principal du nouveau film d’animation Pixar, « Soul ». Sans oublier la série « Lupin », qui a dépassé les 76 millions de visionnage sur Netflix. Tant de réussites qui expliquent sa place dans ce classement annuel.
  • 15-09-2021
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décrété, mercredi, la date du 15 septembre, qui coïncide avec l'anniversaire du décès de l'éminent Cheikh Sidi Mohamed Belkebir, Journée nationale de l'imam, mettant en avant le rôle scientifique, culturel et social de l'imam algérien qui donne sens à la citoyenneté.
  • 12-09-2021
    -La Radio algérienne a remporté le premier prix de la 13ème édition du concours de la Musique et de la Chanson arabes, organisé en Tunisie du 6 au 8 septembre en cours, à travers un morceau intitulé "Djawla", composé et distribué par l’artiste Tayeb Drifoul, du cercle musical de la Radio algérienne, lit-on sur le site de la Radio. Pour rappel, l’Egyptien Tarek Abbas a remporté le deuxième prix dans le même concours pour son morceau Nostalgie orientale. Quant au troisième prix, il a été décerné à André El Hadj, de la Radio libanaise intitulée Air de la liberté. Concernant la chanson, la Radio égyptienne s’est emparée du premier prix, pour "je dois exister", composée par Imad Hassen, distribuée par Ihab Abdessalam, avec Midhat Saleh au microphone. Le deuxième prix a été attribué à la Radio omanaise, pour la chanson Rêve de route, composée par Hichem Bennacer Essakri, avec la distribution d’Assâad Raissi et le chant de Nawel El Boussadia. Finalement un prix d’honneur a été décerné à la chanson "nous sommes la vie, nous sommes le pouls de la vie, de la radio palestinienne", composée par Khaled Saker, avec la distribution de Ramy Arafat et le chant de Nour Fritekh.
  • 11-09-2021
    -Trois films algériens représenteront l’Algérie à la 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco 2021), prévu du 16 au 23 octobre prochain, lit-on sur le site officiel du Festival. Deux films algériens participent à ce rendez-vous panafricain dans la catégorie «Documentaire long métrage», à savoir «Fanon, hier et aujourd’hui» du réalisateur franco-algérien, Meziane Hassane, qui renferme des témoignages vivants sur le militant et psychiatre, Frantz Fanon, en hommage à sa contribution à la guerre de Libération nationale, et «Janitou» de Hattou Amine,
  • 08-09-2021
    -L’écrivaine franco-algérienne Lilia Hassaïne fait partie des seize auteurs sélectionnés pour le Prix Goncourt 2021. « Soleil amer », son roman sorti cette année chez Gallimard, risque de décrocher la distinction littéraire française la plus prestigieuse. L’autrice franco-algérienne Lilia Hassaïne est en lice avec son deuxième roman Soleil amer, une sélection qui constitue la grande surprise de cette édition aux yeux des critiques. L’ouvrage traite pourtant de l’une des thématiques fétiches du Goncourt quand il s’agit de littérature maghrébine : la double identité et l’histoire de l’émigration algérienne en France. Lilia Hassaïne l’aborde sous forme de saga familiale entre les années 1960 et 1990. «À la fin des années 50, dans la région de l’Aurès en Algérie, Naja élève seule ses trois filles depuis que son mari Saïd a été recruté pour travailler en France. Quelques années plus tard, devenu ouvrier spécialisé, il parvient à faire venir sa famille en région parisienne. Naja tombe enceinte, mais leurs conditions de vie ne permettent pas au couple d’envisager de garder l’enfant… Avec ce second roman, Lilia Hassaïne aborde la question de l’intégration des populations algériennes dans la société française entre le début des années 60 et la fin des années 80. De l’âge d’or des cités HLM à leur abandon progressif, c’est une période charnière qu’elle dépeint d’un trait. Une histoire intense, portée par des personnages féminins flamboyants», lit-on sur le quatrième de couverture. Née en 1991 en France, elle fait des études en littérature avant de devenir journaliste. Elle travaillera pour Arte, Le Parisien, Le Monde. Elle est actuellement chroniqueuse dans l’équipe de Yann Barthès dans l’émission «Quotidien» sur TMC. Après quatre ans d’écriture, elle publie en 2019 chez Gallimard son premier roman « L’œil du Paon », salué par la critique. Sa sélection dans la longue liste du Goncourt 2021 laisse entrevoir une carrière littéraire à succès.
  • 03-09-2021
    -Les films " Cigare au miel" de Kamir Ainouz et "Leur Algérie" de Lina Soualem ont été primés au Festival international du film d'Amman qui a pris fin mardi dans la capitale jordanienne, indiquent les organisateurs. En compétition avec cinq autres films dans la catégorie des longs métrages documentaires, "Leur Algérie", a décroché le prix "Iris noir", haute distinction de sa catégorie. Sorti en 2020, ce documentaire de 72 mn, une coproduction franco-algérienne-qatari, raconte l'histoire de ses grands parents, séparés après plus de 62 ans de vie conjugale, en plongeant dans la mémoire des premiers migrants algériens en France. En compétition dans la catégorie de longs métrage de fiction, "Cigare au miel" a pour sa part décroché l' "Iris noir" de sa catégorie. D'une durée de 100 mn, ce film relate le quotidien d'une famille algérienne, établie à Paris après avoir quitté le pays en 1993. A travers la vie de Selma, une adolescente de 17 ans qui rencontre Julien, un garçon attachant et provocateur qui l'empêche de s'épanouir, "Cigare de miel" plonge dans la vie des immigrés, confrontés à cohabiter dans une société qui a ses propres "codes" sociaux et religieux. Ouverte le 23 août dernier, la 2ème édition du Festival international du film d'Amman a mis en compétition des films issus de plusieurs pays comme l'Egypte, l'Inde ou encore le Liban. En plus des projections, un programme d'activités en rapport avec l'industrie cinématographique a été au menu de cette édition. Organisé depuis 2020, le Festival international du film d'Amman vise à développer et à promouvoir un cinéma arabe en soutenant les créateurs dans le 7e art.
  • 01-09-2021
    -Le comédien Omar Guendouz est décédé, ce mercredi, à Blida à l'âge de 70 ans des suites de son infection au coronavirus. Le défunt, tout au long d’une carrière qui a duré un demi-siècle, était, il y a quelques années, était très sollicité pour sa bonne humeur et ses bons mots. Au théâtre, il a excellé dans la pièce Babor Ghrak ,une tragi-comédie de plus d’une heure et demie, qui raconte l’histoire de trois rescapés d’un naufrage, l’intellectuel, l’affairiste et l’ouvrier, joués respectivement par Mustapha Ayad, Omar Guendouz et Slimane Benaïssa. La pièce est restée très longtemps à l’affiche ; et, également, dans Boualem zid el goudam et Ya chari Dala. Aux côtés de Farida Saboundji et Nawal Zaâter, Guendouz avait littéralement crevé l’écran. Il fit aussi sensation dans le film El Khourdadji, avec l’actrice Nadia Talbi. En 2017, il était remonté sur scène avec son acolyte Slimane Benaïssa, pour célébrer un demi-siècle de carrière de ce géant du théâtre algérien, par des représentations de la célèbre pièce Babor Ghraq. Doué pour la comédie dès son jeune âge, Guendouz a mis le pied à l’étrier au Conservatoire central d’Alger, où il avait suivi des cours de théâtre et de musique. Il était natif de la Basse-Casbah, d’où il a gardé toute au long de sa vie cet accent et cette gestuelle très caractéristiques. Lors de nombreux hommage qui lui ont été faits de son vivant, on énumérait les nombreux prix qu’il avait reçus de maîtres tels Allal El Mouhib, Henry Van Gray et Mahieddine Bachtarzi.