Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Mois du 09/2021

<< septembre 2021 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
28 29 30 31 1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 1



  • 30-09-2021
    -Le président Abdelmadjid Tebboune a reçu jeudi, le ministres de Affaires étrangères du Koweit, , Nasser El Mohamed Essabah, quia entamé mercredi une visite officielle en Algérie, selon un communiqué de la Présidence de la République. Le MAE koweitien a remis au président Tebboune une lettre écrite de sa main par l'émir du Koweit, Cheikh Nawfal, Ahmed El Djaber Essebah, ajoute le communiqué. La rencontre entre le président Tebboune et le ministre du Koweit a porté sur l'état des relations bilatérales et l'évaluation du travail des différentes commissions mixte contre Alger et Koweit. Pour rappel, dans la matinée, le MAE koweitien s'est longuement entretenu avec Ramtane Lamamra, au cous d'une longue audience qui s'est terminée par un point de presse commun............................................................................ --Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu aujourd'hui le ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la coopération du Royaume d'Espagne, M. José Manuel Albares Bueno, qui effectue une visite en Algérie, accompagné de la Secrétaire d'Etat à la coopération internationale et de la Secrétaire d'Etat à l'Energie. La rencontre a porté "sur le renforcement de la coopération bilatérale et son élargissement aux secteurs des énergies renouvelables, de l'agriculture et de la construction navale, en soutien au partenariat économique étroit qu'il convient de hisser au niveau des relations privilégiées entre les deux pays voisins".La rencontre s'est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra, du directeur de Cabinet à la présidence de la République, Abdelaziz Khellaf et du Ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, ajoute la même source………………………………… -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, a eu jeudi à Alger des entretiens bilatéraux avec le ministre des Affaires étrangères du Koweït, Cheikh Ahmed Nasser Al-Mohammed Al-Sabah, élargis par la suite aux délégations des deux pays. M. Lamamra avait reçu, mercredi, Cheikh Ahmed Nasser Al-Mohammed Al-Sabah, qui effectue une visite officielle de deux jours en Algérie. Cheikh Ahmed Nasser Al-Mohammed Al-Sabah, est arrivé en Algérie, porteur d’un message de la part de l’émir du Koweit, Cheikh Nawaf Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah à son frère le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. La visite en Algérie du chef de la diplomatie koweitienne, à la tête d’une importante délégation, entre dans le cadre du renforcement des relations fraternelles et historiques qui lient les deux pays frères. Elle sera également l’occasion de se concerter autour des voies et moyens à même de consolider les relations de coopération dans divers domaines et de fixer les prochaines échéances bilatérales..................................................................... --Le ministre français de l'intérieur Gérald Darmanin conditionne la levée des restrictions relatives à la délivrance des visas pour les Algériens, les Tunisiens et les Marocains par le retour au laisser passer consulaire aux ressortissants de ces pays en situation irrégulière en France. "A la demande du Président de la République, la France a drastiquement réduit le nombre de visas accordés aux Algériens, Marocains et Tunisiens tant que ces pays refuseront le retour de leurs compatriotes en situation irrégulière sur notre sol", a déclaré hier devant le parlement. La réponse de Gérald Darmanin intervenait alors l'Algérie a vivement protesté contre cette mesure en convoquant l'ambassadeur de la France à Alger "pour lui notifier une protestation formelle du Gouvernement algérien suite à une décision unilatérale du Gouvernement français affectant négativement la qualité et la fluidité de la circulation des ressortissants algériens à destination de la France". Le représentant du gouvernement français insiste ainsi sur cette condition à l'adresse des trois pays du Maghreb ce "document exceptionnel de voyage délivré à tout ressortissant algérien, marocain ou tunisien non immatriculé, pour lui permettre de rentrer en Algérie, en cas de perte ou de vol de son passeport"..................................................................................... -- Lors d’une rencontre jeudi dernier avec des jeunes – binationaux, Algériens ou français d’origine algérienne -, le président français Emmanuel Macron, a eu, selon le récit qu’en fait le journal Le Monde, des jugements particulièrement tranchés sur le système algérien, la nation algérienne et l’histoire. Le président français qui a évoqué ce qu’il appelle une «haine de la France » a affirmé que le problème ne se posait pas avec la «société algérienne dans ses profondeurs mais du système politico-militaire qui s’est construit sur cette rente mémorielle. On voit que le système algérien est fatigué, le Hirak l’a fragilisé. J’ai un bon dialogue avec le président Tebboune, mais je vois qu’il est pris dans un système qui est très dur». Au sujet de la question de visas – la France a annoncé la réduction de 50% de l’octroi des visas aux Algériens -, le président français affirme que cela ciblera surtout le « milieu dirigeant ». « Il n’y aura pas d’impact sur ce qu’on évoque. On va s’attacher à ce que les étudiants et le monde économique puissent le garder. On va plutôt ennuyer les gens qui sont dans le milieu dirigeant, qui avaient l’habitude de demander des visas facilement ». L’objectif, a-t-il dit, indique le Monde est de dire aux «dirigeants » que « si vous ne coopérez pas pour éloigner des gens qui sont en situation irrégulière et dangereux, on ne va pas vous faciliter la vie ». Macron veut écrire l’histoire en arabe pour contrer la « version turque »! A propos de l’histoire, le président français s’en prend à une «histoire officielle » algérienne qui serait, selon lui, « totalement réécrite » et qui ne «s’appuie pas sur des vérités » mais sur un discours qui « repose sur une haine de la France ». Emmanuel Macron a appelé une production éditoriale, en arabe et « plus offensive …portée par la France » pour contrer au Maghreb une « désinformation » et « propagande » qui serait portées par les Turcs. Le président français se hasarde aussi sur le terrain de la contestation de l’existence d’une nation algérienne avant la colonisation. « Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? Ça, c’est la question. Il y avait de précédentes colonisations. Moi, je suis fasciné de voir la capacité qu’a la Turquie à faire totalement oublier le rôle qu’elle a joué en Algérie et la domination qu’elle a exercée. Et d’expliquer qu’on est les seuls colonisateurs, c’est génial. Les Algériens y croient.» Même s’il s’inscrit clairement – tout comme les restrictions sur les visas – dans une campagne électorale largement entamée en France, ces propos du président français sont sans précédent et devraient provoquer des polémiques et probablement une forte crispation des relations entre Alger et Paris.
  • 29-09-2021
    -Le Président tunisien Kais Saied a chargé mercredi 29 septembre Najla Bouden de former le nouveau Gouvernement dans les plus brefs délais, deux mois après le limogeage de Hichem Mechechi, sur fond de crise politique. “Le Président de la République Kais Saied a chargé ce mercredi 29 septembre, Najla Bouden, de former un gouvernement dans les plus brefs délais”, a indiqué la présidence tunisienne dans un communiqué. Najla Bouden, directrice de cabinet du président Saied, devient ainsi la première femme tunisienne et dans le monde arabe à occuper le poste de Premier ministre. Pour rappel, le Président tunisien Kais Saied a limogé en juillet dernier le Premier ministre Hichem Mechichi, tout en procédant au gel des activités du parlement présidé par le chef islamiste de Nahda , Mohamed El Ghenouchi. L'action du président Saied, est qualifié de "putsch" par ses adversaires notamment les partis siégeant dans le parlement, mais il bénéficie en revanche du soutien d'une grande partie de la rue exacerbée par les querelles puériles d'une classe politique engluée dans le formalisme démocratique, pendant que la crise économique, sociale et sanitaire, s'exacerbait................................................................................................................. --Décision du Président français, Emmanuel Macron, de faire réduire de 50% les visas d’entrée en France pour les Algériens. L’Algérie a fermement réagi à «une décision qui est intervenue sans consultation préalable avec la partie algérienne comporte l'anomalie rédhibitoire d'avoir fait l'objet d'un tapage médiatique générateur de confusion et d'ambiguïté quant à ses motivations et à son champ d'application», stigmatise, d’emblée, le ministère des affaire étrangères et de la communauté nationale à l’étranger (MAECNE), dans un communiqué rendu public, ce mercredi. Le communiqué souligne que le Secrétaire général du ministère, Rachid Chakib Kaid «a convoqué aujourd'hui l'ambassadeur de France en Algérie pour lui notifier une protestation formelle du Gouvernement algérien suite à une décision unilatérale du Gouvernement français affectant négativement la qualité et la fluidité de la circulation des ressortissants algériens à destination de la France», est-il précisé La même source ajoute que Chakib Kaid a mis en évidence «la place centrale de l'élément humain dans la relation algéro-française et souligné la nécessité d'une gestion équilibrée, transparente et conforme aux instruments juridiques bilatéraux et universels du phénomène des mobilités des personnes», avant de conclure que «l'Algérie déplore cet acte malencontreux qui frappe de précarité et d'incertitude un domaine sensible de coopération postulant la confiance ainsi que le respect de la dignité des personnes humaines et des engagements pris parles deux gouvernements»…………………………………………………….. -Le Tribunal de l'Union européenne a annulé mercredi deux accords sur la pêche et l'agriculture liant le Maroc à l'Union européenne (UE) et étendus au Sahara Occidental occupé, affirmant en outre que le Front Polisario est le seul représentant légal du peuple du Sahara Occidental.
  • 28-09-2021
    -La décision de la France de durcir les conditions de délivrance de visas aux ressortissants algériens est "disproportionnée" et "malencontreuse", a déploré mardi Amar Belani, envoyé spécial chargé de la cause du Sahara Occidental et des pays du Maghreb Arabe. "Nous prenons acte de cette décision disproportionnée et nous la déplorons", a déclaré M. Belani à l'APS. "Dans la forme, elle est malencontreuse car elle intervient à la veille du déplacement d’une délégation algérienne à Paris dans le but de faire le point sur tous les cas en suspens et de déterminer le mode opératoire le plus satisfaisant en vue de renforcer la coopération dans le domaine de la gestion de l’immigration irrégulière", explique l'envoyé spécial. Et " sur le fond, la dimension humaine est au cœur des spécificités de la relation algéro-française et du partenariat d’exception qui lie les deux pays", précise -t-il ajoutant que " la gestion des flux humains postule une coopération franche et ouverte et elle suppose une gestion commune dans un esprit de partenariat et non pas de fait accompli qui relève de considérations unilatérales propres à la partie française". Le gouvernement français a décidé de durcir les conditions d'obtention des visas à l'égard de l'Algérie, de la Tunisie et du Maroc évoquant le "refus" de ces trois pays de délivrer les laisser-passer consulaires nécessaires au retour des immigrés refoulés de France. "C'est une décision drastique, c'est une décision inédite", a reconnu mardi le porte-parole du gouvernement français Gabriel Attal.
  • 27-09-2021
    -La France va durcir les conditions d'octroi des visas à l'égard du Maroc, de l'Algérie (de 50%) et de la Tunisie (de 30%) face au refus de « ces pays de reprendre des ressortissants que nous ne souhaitons pas et ne pouvons pas garder en France », a annoncé mardi le porte-parole du gouvernement français Gabriel Attal. Intervenant sur les ondes de la radio française Europe 1, Gabriel Attal confirme la baisse du nombre de visas délivrés aux Algériens, Marocains et Tunisiens en réponse aux obstructions des autorités de ces pays dans les procédures d'expulsions : "On met cette menace à exécution C'est une décision drastique, c'est une décision inédite, mais c'est une décision rendue nécessaire par le fait que ces pays n'acceptent pas de reprendre des ressortissants que nous ne souhaitons pas et ne pouvons pas garder en France", a t-il justifié.L'attitude de ces pays "freine l'efficacité des reconduites effectives" à la frontières une fois les obligations de quitter le territoire français délivrés, " poursuit le porte parole du Gouvernement français. Sur les 6 premiers mois de l’année 2020, environ 63.000 visas ont été délivrés, pour 96.000 demandes, soit un taux de délivrance de 65%. Un chiffre qui a augmenté sur les 6 premiers mois de l’année 2021 pendant lesquels plus de deux demandes de visas sur trois émanant de l’Algérie ont été satisfaites par la France. Emmanuel Macron a donc demandé aux services consulaires du Quai d’Orsay de délivrer pour les 6 prochains mois, 31.500 visas maximum, soit une division par deux. L’année 2019 avait d’ailleurs atteint des records avec 275. 000 visas accordés à l’Algérie. La France a donc choisi d’appliquer une mesure de rétorsion rendue possible par le code communautaire de Schengen. Le refus des pays du Maghreb de reprendre leurs ressortissants en situation irrégulière ne semble être qu’un prétexte. Cette décision drastique permet à Macron de corriger son bilan migratoire. un sujet sensible pour les Présidentielles française de 2022. Macron, à qui le temps fait défaut sur ce dossier a décidé de durcir drastiquement les conditions d’octroi des visas pour les Maghrébins. Pour les six premiers mois de l’année 2021, la France a émis 7731 décisions de quitter le territoire français. Les autorités algériens, n’ont pour leur part, délivré que 31 laissez-passer consulaire. Seules 22 expulsions ont été réellement effectuées soit un taux de 0,2%. Pour la même période, ils ont été 11 815 Algériens à demander des visas pour la France, 8726 demandes ont été acceptées, soit un taux de 74%. Avant la pandémie du Covid et la fermeture des frontières, sur 504.173 visas demandés par les Algériens, 274 555 ont été délivrés soit un taux de 54%................................................................................................ --L'Algérie, par la voix de son chef de la diplomatie Ramtane Lamamra, a réaffirmé lundi à New York son soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination, appelant à l'organisation d’un référendum libre et équitable au Sahara Occidental occupé. "Avec la même détermination, l’Algérie réaffirme son soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et appelle l’ONU à assumer ses responsabilités juridiques envers le peuple sahraoui et à garantir ses droits inaliénables", a déclaré le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger devant l'Assemblée générale de l'ONU. "L’organisation d’un référendum libre et équitable pour permettre à ce vaillant peuple de déterminer son destin et décider son avenir politique, ne peut demeurer à jamais l'otage de l’intransigeance d’un Etat occupant qui a failli à plusieurs reprises à ses obligations internationales, en particulier celles découlant du Plan de règlement élaboré par l’Organisation des Nations Unies en partenariat avec l’Organisation de l’unité africaine de toutes les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale", affirme le ministre. Et rappelle que " le droit et la légalité internationale se sont exprimés sur cette question à travers les résolutions du Conseil de sécurité, ainsi que l'avis juridique consultatif rendu par la Cour internationale de Justice il y a quatre décennies, pour témoigner de la vraie nature du conflit au Sahara occidental, en ce qu’il est une question de décolonisation qui ne peut trouver de solution qu'à travers l'application du principe de l’autodétermination". Avant d'ajouter que "l'Algérie, pays voisin et observateur du processus politique, œuvre, sur la base de ce principe, à être une source de paix, de sécurité et de stabilité pour son voisinage, considérant que le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination est inaliénable, non négociable, et imprescriptible". A ce titre Lamamra réaffirme, l'appui de l'Algérie à "la décision du Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine de lancer des négociations directes entre le Royaume du Maroc et la République arabe sahraouie démocratique, deux pays membres de l’Union africaine".
  • 26-09-2021
    -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra a tenu, samedi à New York, une séance de travail avec le SG de l'ONU, Antonio Guterres, au cours de laquelle ils ont discuté des derniers développements dans la région, notamment les efforts de l'Algérie pour promouvoir des solutions pacifiques aux crises en Libye, au Mali et dans la région du Sahel ainsi que la décolonisation au Sahara occidental. "Une séance de travail avec le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, au cours de laquelle nous avons discuté des derniers développements dans la région, notamment les efforts de l'Algérie pour promouvoir des solutions pacifiques aux crises en Libye, au Mali et dans la région du Sahel et du Sahara", a indiqué le chef de la diplomatie algérienne dans un Tweet. "Nous avons également passé en revue les défis auxquels est confronté le processus de décolonisation au Sahara occidental", a ajouté M. Lamamra. ………………………………………. -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra s’est entretenu samedi avec le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, rapporte, dimanche un communiqué de l’organisation onusienne. La même source précise que les discussions entre les deux hommes ont porté essentiellement les questions régionales, marquées notamment par la situation qui prévaut au Sahara occidental, en Libye et au Mali. L’occasion pour le SG de l’ONU d’exprimer à son interlocuteur sa satisfaction «pour les efforts continus de l’Algérie en faveur de la paix et de la sécurité en Afrique du Nord et dans la région du Sahel», est- il souligné dans le même communiqué.
  • 25-09-2021
    -Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a donné vendredi "un an" à l'entité sioniste pour se "retirer des territoires palestiniens occupés", menaçant dans le cas contraire de ne plus la reconnaître dans les frontières de 1967. Dans son discours virtuel à l'Assemblée générale annuelle des Nations unies, le dirigeant a une nouvelle fois appelé le secrétaire général de l'organisation mondiale, Antonio Guterres, à "convoquer une conférence internationale sur la paix"............................................ --113 membres du parti ont annoncé hier leur démission du parti d’obédience islamiste, rapporte l’AFP citant un communiqué de ces membres. Ils ont dénoncé «les mauvais choix» du président du parti, Rached Ghannouchi, qui ont alimenté, selon eux, la crise politique secouant la Tunisie depuis des mois. Les membres démissionnaires ont évoqué, dans un communiqué, «l’échec du président (Ghannouchi, ndlr) qui a refusé tous les conseils». «La direction actuelle est responsable de l’isolement (du mouvement) et en grande partie de la dégradation de la situation générale dans le pays», ont-ils estimé. Aussi, ils ont fustigé «les mauvais choix politiques de la direction du mouvement», notamment des accords de coalition noués ces dernières années avec d’autres partis au Parlement, pour avoir la majorité des sièges.
  • 23-09-2021
    -Face à la dégradation de la situation économique et sanitaire en Tunisien, le président Kaïs Saïed a suspendu le Parlement, le 25 juillet dernier. Avec les pouvoirs exécutif et législatif désormais en main, le dirigeant prépare une réforme de la Constitution mal perçue par l’opposition. Nouveau tour de vis du président tunisien Kaïs Saïed (photo). Dans un communiqué publié le mercredi 22 septembre, il a détaillé de nouvelles mesures concernant sa gestion du pays. « Le président Kaïs Saïed promulgue un décret présidentiel prolongeant le gel du pouvoir parlementaire et la levée de l'immunité parlementaire, et mettant fin aux salaires et privilèges accordés aux députés et au président du Parlement », a indiqué la présidence tunisienne. Et d’ajouter : « des mesures exceptionnelles organisant les pouvoirs législatif et exécutif sont édictées. Le préambule de la Constitution, les chapitres 1 et 2, et toutes les autres dispositions, non en conflit avec les mesures exceptionnelles, sont toujours en vigueur ».
  • 22-09-2021
    - Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra s’est entretenu, mercredi à New York, en marge des travaux de l’AG de l’ONU, avec son homologue français, Jean-Yves Le Drian, avec lequel il a évoqué l’état des relations bilatérales et les derniers développements sur la scène régionale............................................................................ --L'Algérie a décidé de la "fermeture immédiate" de son espace aérien à tous les aéronefs civils et militaires marocains ainsi qu'à ceux qui portent un numéro d'immatriculation marocain, à partir de ce mercredi, et ce à l'issue de la réunion du Haut Conseil de sécurité présidée par le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune. La réunion du Haut Conseil de sécurité a été consacrée à l'examen "des développements aux frontières avec le Royaume du Maroc, au regard de la poursuite des provocations et pratiques hostiles du côté marocain", précise un communiqué de la Présidence de la République. "Le Haut Conseil de Sécurité a décidé de la fermeture immédiate de l'espace aérien de l'Algérie à tous les aéronefs civils et militaires marocains ainsi qu'à ceux qui portent un numéro d'immatriculation marocain, et ce à partir de ce jour", conclut le communiqué.
  • 21-09-2021
    -«L'Algérie est à équidistance des belligérants en Libye et ne soutient aucune partie, à l'exception du peuple libyen», a déclaré le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra. «C’est faux, l'Algérie ne soutient aucune partie en Libye, à l'exception du peuple libyen lui-même», a déclaré le chef de la diplomatie algérienne, dans une interview accordée à CNN International, en est à équidistance de tous (les protagonistes) en Libye, c'est précisément l'Algérie, donc j'estime que cela doit être corrigé», a-t-il affirmé, en réponse à une question sur des allégations marge de sa participation à la 76e session de l'Assemblée générale de l'ONU. «S'il y a un pays dans la région qui contre l'Algérie, selon lesquelles Alger ne serait pas un «intermédiaire honnête» dans le processus de règlement de la crise en Libye, car soutenant une partie opposée à l'autorité actuelle.
  • 20-09-2021
    - Les Etats-Unis apprécient les efforts de l'Algérie en faveur de la paix et de la sécurité régionales, a déclaré lundi la sous-secrétaire d'Etat américaine aux affaires politiques, Victoria Nuland. "Les Etats-Unis apprécient les efforts de l'Algérie pour promouvoir la paix et la sécurité régionales ", a tweeté la responsable américaine à l’issue de son entretien à New York avec le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, M. Ramtane Lamamra. Qualifiant ses discussions avec le chef de la diplomatie algérienne de "constructives", Mme Nurland a indiqué qu’elles ont porté sur " le Sahara Occidental, la Libye et le Mali ". Les deux responsables ont également évoqué les investissements américains dans le secteur des énergies en renouvelables Algérie, selon la sous-secrétaire d'Etat américaine. Cet entretien s'est tenu en marge de la participation de M. Ramtane Lamamra à la 76eme assemblée générale de l'ONU............................................................ --Le président français Emmanuel Macron a demandé pardon, ce 20 septembre 2021, aux harkis au nom de la France. « Au nom de la France, je dis aux Harkis et à leurs enfants, à voix haute et solennelle, que la République a contracté à leur égard une dette. Aux combattants, je veux dire notre reconnaissance. Nous n’oublierons pas. Aux combattants abandonnés, à leurs familles, qui ont subi les camps, la prison, le déni, je demande pardon », a-t-il déclaré lors d’une cérémonie à l’Élysée, à Paris. C’est la première fois qu’un chef d’Etat français demande pardon aux Harkis, des Algériens qui avaient choisi de combattre aux côtés de l’armée coloniale française durant la guerre de libération nationale (1954-1962). Après les accords d’Evian le 18 mars 1962, près de 60 000 harkis ont été admis en France. Avec leurs descendants, leur communauté est estimée à plus 500 000 personnes aujourd’hui. Et près de 60.000 harkis sont restés en Algérie après l’indépendance du pays. « Le souvenir des harkis, l’honneur des harkis, doit être gravé dans la mémoire nationale. Cette Histoire nous la racontons, nous l’enseignons et nous continuerons d’en panser les plaies tant qu’elles ne sont pas refermées par des paroles de vérités, des gestes de mémoire et des actes de justice », a-t-il ajouté. Il a annoncé la préparation d’un projet de loi sur « la reconnaissance et la réparation » à l’égard des harkis. Il est question également de revalorisation des pensions des harkis et leurs ayants droits…………………………………………………………………….. -Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a reçu ce soir un appel téléphonique du président français Emmanuel Macron, selon un communiqué de la présidence de la République. Les deux chefs d'Etat ont abordé, lors de cet entretien, les relations algéro-françaises, ainsi que les questions d'ordre régional, dont la situation en Libye et dans la région du Sahel. ………………………………………………………………………………………… ;;;;; -La Libye replonge de nouveau dans la crise politique. Et pour cause, le Gouvernement d' Abdelhamid Dbiba, fruit d'un accouchement au forceps, est tombé mardi suite à un retrait confiance de la majorité des membres de la Chambre des représentants. Selon Abdellah Bellihak , qui s'exprimait au nom de de la Chambre des représentants, à partir de Tobrouk où se trouve son siège, un total de 81 parlementaires sur les 113 ont voté mardi le retrait de confiance. Ce retrait de confiance au Gouvernement de Dbiba intervient deux semaines aprés le vote par cette même chambre parlementaire d'une loi électorale très controversée, qui réveille à nouveau les divisions fratricides entres les différents acteurs de la scène politique libyenne, pays où des puissances étrangères se livrent une guerre par procuration. Avec le retrait de confiance au Gouvernement de Abdellhamid Débiba, censé préparer ,entre autres, la présidentielle du mois de décembre prochain, qui parait désormais compromise, c'est la perspective d'un règlement politique de la crise politique libyenne qui s'éloigne. …………………………………………….. -L'envoyé spécial chargé de la question du Sahara occidental et des pays du Maghreb, Amar Belani a pointé les "mensonges" et la "manipulation grossière" de l'ambassadeur du Maroc à Genève après ses propos au sujet d'une prétendue "présence d'instructeurs du Hezbollah dans les camps de réfugiés à Tindouf". "L'étoffe de certains diplomates marocains est un tissu de mensonges qu'ils tricotent inlassablement, notamment lorsqu'ils sont acculés par les appels pressants émanant des groupes de soutien à la cause juste du peuple du Sahara occidental", a déclaré Amar Belani à l'APS en réaction à une lettre adressée, le 14 septembre courant, par l'ambassadeur du Maroc à la 48ème session du Conseil des droits de l'Homme à Genève.
  • 19-09-2021
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu, ce dimanche, des messages de condoléances de nombre de Rois et Présidents, suite au décès de l'ex-Président de la République, le moudjahid Abdelaziz Bouteflika, selon la Présidence de la République. Ces messages émanent du Serviteurs des deux Lieux Saints de l'Islam, le Roi Salmane Ben Abdelaziz, de son Prince héritier, Mohamed Ben Salmane, du Roi du Maroc, Mohamed VI et du Président tunisien Kais Saied………………………………………………………. -Le président français, Emmanuel Macron, a qualifié l'ex-président algérien Abdelaziz Bouteflika, dimanche 19 septembre, de "figure majeure" de l'Algérie contemporaine durant ses vingt années au pouvoir. Dans un communiqué publié, ce dimanche, par l'Elysée, le chef de l'Etat français a adressé "ses condoléances au peuple algérien" et déclaré rester "engagé à développer des relations étroites d'estime et d'amitié entre le peuple français et le peuple algérien". "Engagé dans la lutte pour l'indépendance de son pays, il a ensuite incarné la politique étrangère ambitieuse de l'Algérie. Devenu chef de l'Etat, Abdelaziz Bouteflika fut un partenaire exigeant pour la France avec laquelle il a voulu engager une relation nouvelle", ajoute Emmanuel Macron……………………………………………………. -Le coup d'envoi de la "Semaine de l'Indonésie 2021" a été donné dimanche à Alger avec une exposition polyvalente à l'image de la grandeur de l'histoire et des multiples facettes culturelles du "plus vaste archipel du monde". Programmée à l'Hôtel Radisson Blu, sis au quartier de Hydra à l'occasion des célébrations du 76 anniversaire de l'indépendance de l'Indonésie, "La semaine de l'Indonésie 2021" intervient également dans le cadre des relations et des échanges amicaux qu’entretiennent l’Algérie et l'Indonésie..................................................................... -.-Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, participe à New York au Segment de haut niveau de la 76ème session de l’Assemblée Générale des Nations Unies du 20 au 28 septembre 2021, à indiqué ce dimanche un communiqué du ministère. "Sous la présidence de M. Abdulla Shahid, ancien ministre des Affaires étrangères des Maldives, cette session est placée sous le thème : +Miser sur l’espoir pour renforcer la résilience face au COVID-19, reconstruire durablement, répondre aux besoins de la planète, respecter les droits des personnes et revitaliser l'Organisation des Nations Unies+", précise le ministère............................................................................................................. --Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, a présenté, ses condoléances à la famille Bouteflika. « Le destin a décidé de faire disparaître Abdelaziz Bouteflika avec l’ouverture de la session de l’Assemblée générale des Nations Unies pour nous rappeler son rôle important et ses succès diplomatiques, notamment lors de sa présidence de la 29e session », a-t-il écrit dans un tweet, ce dimanche 19 septembre 2021. La 29ème session des Nations Unies s’est déroulée entre 1974 et 1975 à New York, présidée par Abdelaziz Bouteflika, alors ministre des Affaires étrangères de l’Algérie. Lors de sa session, Bouteflika avait réussi à obtenir de la communauté internationale la mise à l’écart du régime de l’Apartheid d’Afrique du Sud. Ramtane Lamamra, pour rappel, a été le dernier ministre des Affaires étrangères d’Abdelaziz Bouteflika, avant sa démission le 2 avril 2019, après des marches populaires réclamant son départ et rejetant le projet d’un cinquième mandat présidentiel, défendu à l’époque par le FLN. Le 13 mars 2019, Ramtana Lamamra a été nommé vice-premier ministre, en plus de son poste de ministre des Affaires étrangères, pour assister Noureddine Bedoui, alors dans l’embarras en raison des manifestations de rue particulièrement hostiles à Bouteflika et à son clan. Lamamra a été également désigné, pendant un mois entre février et mars 2019, ministre d’Etat, conseiller spécial auprès du président de la République pour les Affaires diplomatiques.
  • 18-09-2021
    -Le Représentant permanent de l'Algérie auprès de l'ONU, l'ambassadeur Sofiane Mimouni, a été, à nouveau, nommé en qualité de co-facilitateur du processus d'examen du fonctionnement du système redynamisé des coordonnateurs résidents par M. Abdulla Shahid, président de la 76ème session de l’Assemblée Générale de l’ONU. Le processus d'examen du fonctionnement du système redynamisé des Coordonnateurs Résidents revêt une importance capitale dans la mesure où il permettra de mettre en œuvre les réformes promises par le Secrétaire Général de l'ONU, Antonio Guterres, concernant le Système de Développement des Nations Unies telles que reflétées dans la résolution 72/279 de l’Assemblée Générale de l’ONU. Ce processus intergouvernemental, qui est en phase finale, devrait aboutir à l’adoption d’une résolution de l’Assemblée générale qui mettrait l’accent sur l’importance du système et renforcerait le rôle et le leadership des coordonnateurs résidents en vue d’assurer une meilleure coordination entre les différentes agences onusiennes et une plus grande efficacité de l’action onusienne dans le domaine de developpement
  • 17-09-2021
    -Le représentant du Front Polisario en Espagne, Abdallah Laarabi considère que la nomination prévue de Staffan de Mistura en tant que nouvel émissaire pour le Sahara occidental constitue une nouvelle opportunité à saisir par l'ONU pour accorder au peuple sahraoui le droit à l'autodétermination à travers l'organisation d'un référendum au Sahara Occidental………………………………………………… -Les Etats-Unis ont lancé avec l’Australie et le Royaume-Uni ont scellé un pacte de sécurité dans l’Indo-pacifique. Il s’agit d’un vaste partenariat de sécurité dans la zone indo-pacifique face à la Chine. Ce pacte comprend la livraison de sous-marins à propulsion nucléaire à Canberra, jugée jeudi « irresponsable » par Pékin et annulant du coup le plus grand marché de l’autre allié: la France! Cette annonce a été, naturellement, fustigée par la France, qui voit torpillé un gigantesque contrat de fourniture de sous-marins conventionnels à l’Australie. « La première grande initiative de (ce nouveau pacte appelé) +AUKUS+ sera de livrer une flotte de sous-marins à propulsion nucléaire à l’Australie », a annoncé le Premier ministre australien Scott Morrison, La Chine a réagi en qualifiant d' »extrêmement irresponsable » la vente de sous-marins américains à propulsion nucléaire à l’Australie. La Chine n’a pas été mentionnée dans le communiqué conjoint des dirigeants australien, américain et britannique, qui évoque la « paix et la stabilité dans la région indo-pacifique ». Mais il ne fait aucun doute que la nouvelle alliance vise d’abord à faire face aux ambitions régionales de Pékin. La France, qui voit un contrat de 90 milliards de dollars australiens (56 milliards d’euros) pour fournir 12 sous-marins à propulsion conventionnelle (non nucléaire), parfois qualifié de « contrat du siècle », échapper à son industrie navale, a fustigé une remise en cause « de la parole donnée » de la part de Canberra, par la voix de la ministre des Armées, Florence Parly. Les sous-marins à propulsion nucléaire sont notamment plus autonomes que les sous-marins à propulsion conventionnelle (diesel-électrique). « Pour des générations » Comme Joe Biden, qui a qualifié Paris de « partenaire clé », le Royaume-Uni s’est voulu conciliant: « Nous n’avons pas l’intention de faire quoi que ce soit qui puisse contrarier les Français », a promis le ministre britannique de la Défense, Ben Wallace. Mais dans les faits, le nouveau partenariat de sécurité inflige un revers majeur à la stratégie de Paris dans la zone indo-pacifique, fondée sur des partenariats avec l’Inde et l’Australie. Le pacte « AUKUS » prévoit aussi une collaboration des trois pays en matière de cyberdéfense, d’intelligence artificielle et de technologies quantiques. La Nouvelle-Zélande, qui interdit ses eaux à tout navire à propulsion nucléaire depuis 1985, a annoncé que les futurs sous-marins de son voisin et allié australien ne seraient pas les bienvenus chez elle.
  • 16-09-2021
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu, ce jeudi, le vice-président du Conseil présidentiel libyen, Moussa Al-Kouni, en visite officielle en Algérie à la tête d'une délégation, dans le cadre "de la concertation continue entre les deux pays frères", selon un communiqué de la Présidence de la République.
  • 15-09-2021
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu mercredi au siège de la Présidence de la République, les lettres de créance des ambassadeurs de Malaisie, du Royaume de Suède, du Royaume d'Arabie Saoudite ainsi que de l'ambassadeur, chef de la délégation de l'Union européenne auprès de l'Algérie, indique un communiqué de la Présidence de la République. "Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune a reçu, ce jour, les lettres de créance de quatre nouveaux ambassadeurs accrédités auprès de l'Algérie. Il s'agit de: • Son Excellence, l'Ambassadeur de Malaisie, M. Mohammad Faizal Razali. • Son Excellence, l'Ambassadeur du Royaume du Suède, M. Björn Häggmark. • Son Excellence, l'Ambassadeur du Royaume d'Arabie Saoudite, M. Abdullah bin Nassir Abdullah al-Bassiri. • Son Excellence, l'Ambassadeur, Chef de la délégation de l'Union Européenne auprès de l'Algérie, M. Thomas Eckert", précise le communiqué. "La cérémonie de remise des lettres de créances s'est déroulée en présence du ministre de Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, M. Ramtane Lamamra et du Directeur de Cabinet de la Présidence de la République, Noureddine Bardad Daïdj", conclut le communiqué.
  • 14-09-2021
    -Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a reçu, mardi à Alger, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le Prince Fayçal Ben Farhan, qui lui a transmis un message de son frère le Serviteur des Lieux saints de l'Islam, le Roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud..................................................... -- A l'unanimité, les MAE arabes réunis dans le cadre de la 156ème session du Conseil de la Ligue arabes le 9 septembre courant, ont exprimé leur rejet et leur déception à la suite de la décision du président de la Commission de l'UA d'accorder le statut d'observateur d'Israël à l'organisation continentale", dans une lettre envoyée ce mardi par la délégation permanente de l'UA auprès de la Ligue arabe (AUPD) à Moussa Faki. "En effet, la réaction des ministres était d'autant plus vive que le soutien traditionnel, inconditionnel et ferme de l'Afrique à la cause du peuple palestinien dans le conflit qui l'oppose à l'entité sioniste, était perçu comme un grand sujet de fierté par les peuples et les Etats arabes", écrit la délégation dans sa lettre. "Dans les coulisses de la réunion, on s'accorde à considérer que l'entrée d'Israël à l'UA, après des tentatives vaines depuis deux décennies, risque de saper la relation stratégique qui fonde les relations entre les deux Organisations régionales basées sur le combat commun contre le colonialisme et la discrimination raciale ainsi que la promotion de la paix et la coopération", poursuit-elle. "L'essentiel des débats autour du sujet se sont déroulés au cours du huis clos qui précède traditionnellement l'inauguration officielle de la session. Dans l'esprit des délégations présentes, on estime que les normalisations entre certains pays arabes et Israël ne doivent pas détourner les amis du peuple palestinien de poursuivre leur soutien en faveur de la consécration des droits légitimes de ce dernier à savoir la fin de l'occupation des territoires palestiniens et la création d'un Etat palestinien indépendant dans les frontières du 5 Juin 1967 avec pour capitale El-Qods", note la délégation. La décision, en juillet dernier, de Moussa Faki d'accorder à l'entité sioniste le statut d'observateur auprès de l'organisation panafricaine a suscité plusieurs réactions de la part des pays africains pour lesquels accorder le statut d'observateur à une puissance occupante est contraire aux principes et objectifs de l'Acte constitutif de l'UA, en particulier au moment où Israël multiplie ses actes d'oppression en violation totale du droit international et au mépris des droits de l'Homme du peuple palestinien". L'Algérie est parvenue, par voie diplomatique, à inscrire la décision du président de la Commission de l’UA à l'ordre du jour du prochain Conseil exécutif de l'UA, pour statuer sur les réserves exprimées par les Etats membres ayant rejeté l'admission de l'entité sioniste à l'UA en tant qu'observateur.
  • 13-09-2021
    -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, M. Ramtane Lamamra a accordé une audience au Directeur d'Anadarko-Algérie, Warren Murdoch, qui a permis de passer en revue les projets de cette compagnie pétrolière en Algérie et les perspectives de les consolider à l'avenir.
  • 11-09-2021
    -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, en sa qualité d’envoyé spécial du président de la République, qui a effectué une visite de travail de deux jours en République du Congo, a " été longuement reçu en audience à Brazzaville par M. Denis Sassou Nguessou Président de la République du Congo, à qui il a transmis un message cordial d’amitié de la part de son frère le président de la République Abdelmadjid Tebboune ", précise-t-il. …………………………………………………………………. -Touristes et New-Yorkais se recueillent à Ground Zéro. À cet endroit, il y a vingt ans jour pour jour, les tours jumelles, attaquées par des avions de ligne détournés, s'effondraient. Ces attentats ont transformé la politique internationale et les relations diplomatiques. Le matin du mardi 11 septembre 2001, les Etats-Unis sont la cible d'une attaque coordonnée et minutieusement préparée par l'organisation dirigée par Oussama Ben Laden. Elle frappe New York et le Pentagone près de Washington, symboles de la puissance économique et militaire de l'Amérique. Ces attentats, les plus sanglants de l'Histoire avec 2.977 morts, furent conduits par 19 pirates de l'air (également tués dans les attaques), qui détournèrent quatre avions de ligne partis d'aéroports de la côte Est - Boston, Washington et Newark - à destination de la Californie. Deux appareils percutèrent successivement les tours jumelles du World Trade Center au sud de Manhattan, qui s'effondrèrent en moins de deux heures, un troisième éventra le Pentagone. Un quatrième appareil - qui visait peut-être le Capitole, siège du Congrès, ou la Maison Blanche - s'écrasa dans une zone boisée de Shanksville, en Pennsylvanie, après que des passagers eurent tenté de résister.
  • 10-09-2021
    -L’homme d’affaires marocain Aziz Akhannouch a été nommé vendredi 10 septembre chef du gouvernement et chargé de former le nouvel exécutif par le roi Mohammed VI après la victoire de son parti libéral, le Rassemblement national des indépendants, aux élections législatives. Propriétaire de nombreux journaux, Aziz Akhannouch est réputé extrêmement soucieux de son image. Chaque année, le Ministère de l’Agriculture achète plusieurs millions de dirhams de publicité massive dans tous les journaux du pays. Si jamais un journal se permet de critiquer Akhannouch, ou de critiquer son plan Maroc Vert, il se voit immédiatement couper les publicités et également les publicités de la holding Akwa. En 2017, il attaque en justice 3 journalistes du site d’information Badil pour l’avoir critiqué. Il exige qu’ils lui versent 1 million de dirhams. Il est l’un des actionnaires principaux d’Akwa Group. Sa fortune personnelle est estimée à 2,0 milliard de dollars d’après le classement 2019 du magazine américain Forbes. Le parti de Aziz Akhannouch, le Rassemblement national des indépendants (RNI), grand vainqueur du scrutin, a empoché 102 sièges au Parlement sur un total de 395, loin devant le Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste modéré) qui n’en a obtenu que 13, selon les résultats du ministère de l’Intérieur après dépouillement de l’ensemble des bulletins. Le RNI est dirigé depuis 2016 par Aziz Akhannouch, une des premières fortunes du royaume et ministre de l’Agriculture depuis 2007. Ce parti considéré proche du palais a pris part à toutes les coalitions gouvernementales depuis 23 ans, sauf pendant une brève période entre 2012 et 2013. Pour la première fois, les quelque 18 millions d’électeurs marocains ont choisi leurs 395 députés le même jour, mercredi, que leurs représentants communaux et régionaux. La formation de Aziz Akhannouch est également arrivée en tête des communales avec 9995 sièges (sur un total de 31.503) et régionales avec 196 sièges (sur 678). La déroute historique du parti islamiste aux législatives au Maroc s’est confirmée avec les élections communales et régionales où il est passé de 5021 sièges à 777 aux communales et a aussi dégringolé aux régionales avec 18 sièges contre 174 lors des précédentes élections locales en 2015. Le parti islamiste était à la tête du gouvernement au Maroc depuis 2011 dans le sillage du Printemps arabe, sans contrôler les ministères clés. À cette époque, le Maroc avait adopté une nouvelle Constitution accordant de larges prérogatives au Parlement et au gouvernement………………………………. -Après treize mois de pénibles tractations, le Liban s’est doté, ce vendredi 10 septembre, d’un nouveau gouvernement, dirigé par Nadjib Mikati.
  • 09-09-2021
    -Le ministre des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra s'est entretenu jeudi au Caire (Egypte) avec son homologue palestinien, Riyad al-Maliki, des développements de la question palestinienne et des points inscrits à l'ordre du jour de la réunion des ministres arabes des affaires étrangères. Dans un tweet sur son compte officiel, R. Lamamra a écrit: "J'ai rencontré mon frère Riyad al-Maliki, ministre des Affaires étrangères de l'Etat frère de Palestine, avant le début des travaux de la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères, pour nous concerter sur les développements de notre question majeure et fondamentale, ainsi que sur les points inscrits à l'ordre du jour de la réunion". Pour rappel, R. Lamamra prend part, jeudi au Caire, aux travaux de la session ordinaire du Conseil de la Ligue arabe au niveau ministériel, avait indiqué mercredi un communiqué du ministère des Affaires étrangères……………………………………………… - Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra a eu, jeudi au Caire, une série de rencontres avec ses homologues arabes, et ce en marge des travaux de la session ordinaire du Conseil de la Ligue arabe, tenue au niveau ministériel, a indiqué un communiqué du ministère
  • 08-09-2021
    -Le Parti de la Justice et du Développement (PJD, islamiste) a perdu les élections générales (législatives, régionales et communales) du 8 septembre 2021 au Maroc. Le PJD a dominé le Parlement marocain pendant dix ans après ses victoires électorales en 2011 et en 2016. Selon les résultats provisoires, annoncés par le ministère de l’Intérieur dans la soirée de mercredi 8 septembre, le PJD, qui est symbolisé par la lampe, n’a obtenu que 12 sièges sur les 365 que compte le Parlement. Lors des dernières élections législatives en 2016 ce parti islamiste a obtenu 125 sièges. Une perte de 113 sièges. Le PJD a dénoncé des irrégularités et des dépassements qualifiés de graves lors des élections. Il a notamment évoqué le refus de certains chefs de bureaux de vote de remettre les procès verbaux des dépouillements des voix. Il a également dénoncé l’usage « massif » d’argent pour « acheter » des voix. Le ministère de l’intérieur a, pour sa part, minimisé ces accusations et évoqué l’existence « d’actes isolés ».
  • 07-09-2021
    -L’Algérie et le Niger entendent redynamiser tous les mécanismes de coopération et engager des consultations sur le gazoduc Trans-saharien (Nigal). Ce gazoduc, qui relie le Nigéria à l’Algérie, traverse le Niger du sud au nord pour transporter du gaz naturel vers l’Europe occidentale. Il s’étend sur plus de 4100 km entre Warri, au sud du Nigéria, et Hassi R’mel, en Algérie. Il aura une capacité annuelle de 30 milliards de mètres cubes. La société nigérienne du pétrole détient 10 % dans ce gazoduc, les 90 % restants sont partagés par la Sonatrach et la Nigerian National Petroleum Corporation(NNPC). « L’objectif est de mettre à disposition de l’Europe du gaz canalisé nigérian. La viabilité technique et commerciale de ce projet est cependant étudiée à travers une étude de faisabilité réalisée par un consultant pour le compte de la NNPC et de la Sonatrach », précise la NNPC sur son site............................................................................................................................................ --Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra a été reçu à son arrivée, mardi à Nouakchott, en qualité d'Envoyé spécial du Président de la République, par le président mauritanien, Mohamed Ould CheikhEl-Ghazaouani, a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. R. Lamamra a transmis au président mauritanien " les salutations fraternelles et un message de son frère, le Président de la République, M.Abdelmadjid Tebboune". A son tour, le Président mauritanien a chargé le ministre Lamamra de "transmettre ses sincères salutations, ainsi que sa profonde estime à son frère, le Président Abdelmadjid Tebboune", ajoute-t-on dans le communiqué. La rencontre a constitué, selon le communiqué, "une occasion de passer en revue les relations bilatérales et réaffirmer les liens fraternels et historiques entre deux pays et les deux peuples frères".
  • 06-09-2021
    -Réagissant au coup d’Etat opéré, hier en Guinée (Alpha Condé – qui effectue un troisième mandat après avoir amendé la Constitution qui prescrivait deux) déposé par le colonel Mamady Doumbouya, chef du Groupement des forces spéciales (GPS) , l’Algérie affirme suivre «avec une profonde préoccupation la situation prévalant actuellement en République de Guinée», écrit un communique du ministère des affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger (MAECNE), rendu public, ce lundi. Le document souligne que l’Algérie «réaffirme son attachement aux principes cardinaux de l’Union Africaine, notamment le rejet de tout changement anticonstitutionnel de Gouvernements tel qu’énoncé par la Décision d’Alger de 1999 et réaffirmé par la Charte Africaine de la Démocratie, des élections et de la Gouvernance ». «L’Algérie considère que les causes qui ont provoqué ce changement anticonstitutionnel doivent trouver des solutions consensuelles issues d’un dialogue responsable ayant pour objectif d’assurer le respect de la souveraineté, de l’indépendance, de l’intégrité territoriale et de l’unité nationale de la Guinée ainsi que tous les acquis du peuple guinéen frère», poursuit la même source. Et de faire savoir que « L’Algérie coordonnera avec les autres pays membres du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine dans le contexte de la mise en œuvre de l’Acte Constitutif de l’organisation continentale et de ses positions pertinentes en la matière», non sans formuler, enfin, le vœu que «la République de Guinée surmontera rapidement cette épreuve et réitère l’assurance de sa solidarité fraternelle avec le peuple guinéen avec lequel elle entretient des relations historiques marquées du sceau de l’amitié et de la coopération», a conclu le communiqué……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. - Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, M. Ramtane Lamamra, a été reçu, dés son arrivée dimanche à Niamey, par le président nigérien Mohamed Bazoum, dans le cadre de sa visite de travail en République du Niger en qualité d'envoyé spécial du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. A cette occasion, M. Lamamra a transmis au président Bazoum, un message d’amitié et de considération de la part de son frère le président Tebboune, portant sur la réaffirmation de la nature stratégique et exceptionnelle des relations bilatérales ainsi que sur la disponibilité et la volonté des deux pays de conjuguer leurs efforts aux plans bilatéral et multilatéral pour faire face aux défis communs du continent en général et de la région sahélo-saharienne en particulier. Les deux parties se sont félicitées de l’excellente qualité des relations historiques d’amitié, de coopération, de solidarité et de bon voisinage liant les deux pays, tout en réaffirmant leur engagement et leur détermination à poursuivre les efforts en vue de promouvoir la coopération bilatérale dans le prolongement des conclusions ayant marqué la récente visite du président Bazoum en Algérie. En outre, l’audience a donné lieu à un échange fructueux sur la situation prévalant dans la bande sahélo-saharienne marquée par la recrudescence de la menace terroriste et les voies et moyens susceptibles de renforcer les réponses qui y sont apportées aux niveaux régional et continental. Les deux parties ont également abordé les crises prévalant en Libye et au Mali, ainsi que les questions d’actualité sur l’agenda de l’Union africaine(UA). Les échanges ont été marqués par une large convergence des vues et une volonté commune d’œuvrer au renforcement de la tradition de consultations et de coordination sur toutes les questions d’intérêt commun entre les deux pays.
  • 05-09-2021
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décidé de la création de sept postes d'envoyés spéciaux, sous l’autorité directe du ministre des Affaires étrangères, chargés de conduire l'action internationale de l'Algérie sur sept axes d'efforts essentiels reflétant ses intérêts et ses priorités. Il s'agit de Amar Belani, qui sera chargé de la question du Sahara Occidental et des pays du Maghreb, de Ahmed Benyamina, chargé des questions de sécurité internationale, de Boudjemaa Delmi, chargé de questions africaines, en particulier de la géostratégie de l'espace sahélo-saharien et de la présidence du comité de suivi de l’application de l’accord d’Alger sur la paix et la réconciliation au Mali. Il s'agit également de Mme Taos Haddadi-Djellouli, chargée de la communauté nationale établie à l’étranger, de Abdelkrim Harchaoui, chargé de la diplomatie économique, de Noureddine Aouam, chargé des pays arabes, et de Mme Leila Zerrougui, chargée des grands partenariats internationaux. Ces cadres supérieurs de la Nation qui sont tous de purs produits de l'Algérie indépendante ont eu des parcours marqués du double sceau du patriotisme et du professionnalisme. Amar Belani a occupé plusieurs postes d'ambassadeur dont le plus récent auprès du royaume de Belgique et auprès de l'Union européenne et de l’OTAN, il a été également porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Ahmed Benyamina a aussi occupé le poste d’ambassadeur, successivement au Pakistan, en Grande-Bretagne, en Grèce et au Royaume du Maroc. Boudjemaa Delmi a exercé dans d'importantes capitales de la diplomatie multilatérale, notamment à Addis Abeba, Genève, ainsi qu'à Tokyo. Fille d'émigré, Taos Haddadi-Djellouli, a été la cheffe de cabinet du secrétaire d’Etat chargé de la Communauté nationale établie à l’étranger et elle a longtemps travaillé sur le dossier des relations algéro-francaises avant d'exercer en qualité d’Ambassadrice d’Algérie en Roumanie. Abdelkrim Harchaoui a exercé notamment les fonctions de ministre des Finances et de ministre du Commerce, cadre de grande compétence. Il est un parfait connaisseur des institutions économiques, financières et commerciales internationales. Ancien secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Noureddine Aouam est actuellement ambassadeur en Allemagne. Il a été Ambassadeur à Addis Abeba auprès de l’Union Africaine. Leila Zerrougui, a quant elle, accompli une longue carrière de fonctionnaire internationale qui a culminé avec sa nomination au poste de secrétaire générale adjointe des Nations Unies et cheffe de la mission de stabilisation de l’ONU en République démocratique du Congo (MONUSCO). Il s’agit, en l’occurrence, de cadres qui ont engrangé une vaste expérience qui devrait leur permettre d'accompagner utilement et collectivement le ministre des Affaires étrangères. Ils l'accompagneront notamment en matière d'analyse et d’anticipation dans la perspective tracée par le Chef de l’Etat concernant une diplomatie réellement dynamique et proactive, qui puisse être en mesure de disposer de capacités d'initiative sur les grands dossiers régionaux et internationaux et de s’inscrire dans une logique d’influence pour conforter le rôle de l'Algérie en tant que puissance médiane productrice et exportatrice de paix, de stabilité et de sécurité.
  • 04-09-2021
    -Le Soir d’Algérie : Les provocations marocaines se poursuivent, lancées par les mêmes centres qui ont fini par mener à la rupture des relations entre Alger et Rabat . Ces provocations sont encore le fait de l’ambassadeur du Maroc aux Nations-Unies. Au cours de la semaine écoulée, et lors d’une réunion organisée par le comité spécial chargé du dossier de la décolonisation des Caraïbes, Omar Hilal a de nouveau évoqué la Kabylie dans une réponse à l'ambassadeur algérien qui venait d’achever une intervention dans laquelle il rappelait que la question de la décolonisation du Sahara Occidental était inscrite depuis 1963 à l'ONU. «Il semble oublier que dans son propre pays, il y a des populations qui réclament le droit de pouvoir bénéficier de l’autodétermination», dit-il. Sa déclaration est suivie de propos plus graves puisqu’il réclame la présence du MAK aux réunions du comité spécial sur la décolonisation.
  • 03-09-2021
    -Dans la perspective des Législatives, des régionales et des communales du 8 septembre prochain : les Marocains sont appelés aux urnes pour ces trois scrutins qui décideront du futur gouvernement. Dans ce contexte, nous confie une source très informée, l’Union africaine a décliné l’invitation du Maroc à déployer des observateurs pour suivre le déroulement desdites élections devant avoir lieu le 8 Septembre 2021. L’UA a ainsi validé la position de la RASD soutenant l’illégalité de l’opération électorale marocaine étendue aux territoires occupés de la RASD , ajoute -t-on
  • 02-09-2021
    -La réunion ministérielle, tenue à l’initiative de l’Algérie, des pays voisins avec la Libye achevée, les Etats- Unis ont été les premiers à réagir, s’alignant résolument sur les positions d’Alger. «Les Etats-Unis saluent les résultats de la réunion ministérielle des pays voisins de la Libye comme une étape importante en faveur de la stabilité régionale»,a , ainsi twitté, ce jeudi, l'ambassade US, ajoutant que «Les Etats-Unis réitèrent également leur appel au retrait de toutes les forces et combattants étrangers de Libye et à la tenue d'élections générales comme prévu le 24 décembre».