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Energie (et Mines)

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  • 30-09-2021
    -En visite jeudi à Alger, le ministre espagnol des Affaires étrangères José Manuel Albares s'est dit rassuré par les plus hautes autorités algériennes quant à la poursuite de l'approvisionnement de son pays en gaz algérien alors que le contrat d'utilisation d'un gazoduc desservant l'Espagne via le Maroc va expirer le 31 octobre prochain. Le chef de la diplomatie espagnole a, à ce propos, déclaré que "j'ai été rassuré aujourd'hui quant à la continuité de l'approvisionnement" après avoir rencontre son homologue algérien Ramtane Lamamra et reçu par le président de la République Abdelmadjid Tebboune. Pour José Manuel Albares,"l'Algérie est un partenaire énergétique de premier ordre pour l'Espagne. Elle a toujours été aussi un partenaire fiable qui a honoré ses engagements". Le MAE espagnole n'a fourni de précisions si le gaz algérien continuerait d'être livré via le GME ou par d'autres moyens. L'Algérie est le premier fournisseur de gaz naturel de l'Espagne. Un autre pipeline, le gazoduc sous-marin Medgaz, achemine aussi depuis 2011 du gaz algérien jusqu'à l'Espagne mais il opère déjà au maximum de sa capacité de 8 milliards de m3 par an, soit la moitié des exportations algériennes annuelles vers ce pays et le Portugal. "Nous devons aussi continuer à travailler pour que les liens économiques atteignent le niveau souhaité, à la hauteur de la relation et d'une façon mutuellement bénéfique", a poursuivi le ministre espagnol. L'Espagne "est toujours prête à travailler pour un approfondissement" de la relation entre l'Algérie et l'Union européenne, "qui soit bénéfique pour toutes les parties", a ajouté M. Albares. Il a, en outre, annoncé la tenue en Espagne d'une réunion de "haut niveau" qui doit servir à "identifier des secteurs novateurs pour élargir et approfondir" la relation bilatérale algéro-espagnole. A ce propos, un communiqué de la présidence algérienne, l'entretien de M. Albares avec M. Tebboune a porté "sur le renforcement de la coopération bilatérale et son élargissement aux secteurs des énergies renouvelables, de l'agriculture et de la construction navale, en soutien au partenariat économique étroit qu'il convient de hisser au niveau des relations privilégiées entre les deux pays voisins"…………………………………………….. --Le groupe Sonelgaz a signé un mémorandum d'entente avec la Société nigérienne d'électricité "Nigelec", visant à définir des domaines de coopération entre les deux parties, a indiqué jeudi un communiqué du groupe. Ce document a été signé hier, mercredi, dans le cadre de la visite d'une délégation algérienne de haut niveau au Niger, conduite par le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Kamel Beldjoud, et de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab……………………………………. -A Niamey , Mohamed Arkab, ministre de l’Energie et des Mines, a confirmé le lancement de production au bloc pétrolier de Kafra, exploité par Sonatrach à travers sa filiale SIPEX. Situé à la frontière nigéro-algérienne, ce bassin pétrolier a été découvert par Sonatrach en novembre 2018. Le groupe pétrolier algérien avait décroché en 2005 un permis de prospection à Kafra qui a évolué en Contrat de partage de production (CPP) en 2015, révisé en 2021. Vaste de près de 24.000 km2, le Kafra jouxte le bloc de Tafassasset au sud de l’Algérie. Le Niger projette d’atteindre une production de 110.000 barils par jour en 2022 après l’entrée en production du bloc de Kafra. La China national Petroleum corporation (CNPC), exploite déjà un autre champ pétrolier dans l’Agadem, au sud-est du Niger, depuis 2011. Une partie de la production sera exportée par un oléoduc à partir du Cameroun. « L’Algérie sera le premier pays partenaire du Niger dans la production des hydrocarbures », a déclaré, jeudi 30 septembre, ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, en visite officielle à Niamey, en compagnie du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Kamel Beldjoud.
  • 28-09-2021
    -La demande pétrolière mondiale va continuer à progresser d'ici 2045, a indiqué l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) estimant que l'essentiel de cette hausse sera concentrée sur la décennie actuelle. Dans son rapport annuel sur les perspectives de la demande pétrolière mondiale publié mardi, l'Opep anticipe une demande accrue de 17,6 millions de barils par jour (mb/j) entre 2020 et 2045, pour atteindre 108,2 mb/j à cet horizon. C'est légèrement moins que ce que prévoyait l'organisation basée à Vienne l'an dernier. En prenant pour référence 2019, avant la crise de la Covid-19 et l'effondrement de la demande enregistrée l'an dernier, la croissance apparaît toutefois moins importante, autour de 8,2 mb/j d'ici 2045. "Les demandes pour l'énergie et le pétrole ont rebondi de manière significative en 2021, après la chute énorme enregistrée en 2020, et une expansion continue est prévue pour le long terme", souligne le Secrétaire général de l'Opep, Mohammed Barkindo, dans son introduction à ce rapport à 2045. Pour cette organisation, la demande sera tirée par les pays en développement, tandis qu'elle déclinera dès 2023 dans les pays riches appartenant à l'OCDE. Au niveau mondial, la croissance de la demande devrait être importante les premières années, avant de ralentir progressivement pour finir par atteindre un quasi plateau après 2035. Après 100 mb/j en 2019, puis 90,6 mb/j l'an dernier pendant la crise, la demande devrait ainsi remonter à 103,6 mb/j en 2025, 106,6 mb/j en 2030, puis 107,9 mb/j en 2035. La croissance est ensuite quasi nulle jusqu'aux 108,2 mb/j attendus en 2045, prévoit l'Opep. Mohammed Barkindo assure pour par sa part que des "investissements énormes" seront nécessaires pour répondre à la demande. "Sans les investissements nécessaires, de nouveaux épisodes de volatilité et un manque d'énergie à l'avenir sont possibles, ce qui n'est pas dans l'intérêt des producteurs ou des consommateurs", juge-t-il.
  • 27-09-2021
    -Les cours du pétrole brut ont enchaîné sur une cinquième séance de hausse d’affilée ce lundi, le Brent frôlant même les 80 dollars, dans un marché à l’offre durablement contrainte et qui voit s’accumuler les facteurs d’augmentation de la demande. Le contrat à terme sur le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a fini à 79,53 dollars, en hausse de 1,84% ou 1,44 dollar par rapport à la clôture de vendredi, à Londres. Le Brent est monté jusqu’à 79,90 dollars en séance, un niveau qu’il n’avait plus atteint depuis fin octobre 2018. A New York, le baril de WTI américain pour livraison le même mois a lui gagné 1,98% ou 1,47 dollar, à 75.45 dollars.
  • 25-09-2021
    -Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a indiqué ce samedi que 32 minerais non exploités avaient été recensés en Algérie, appelant à l’intensification des investissements dans le secteur minier. Participant à un atelier sur «les voies et moyens de redynamisation de l’investissement et de création de richesse et d’emplois durables», Arkab a souligné la nécessité de mettre en place des projets structurels dans chaque wilaya et d’aller rapidement vers l’exploitation énergétique en accord avec les potentialités du pays. Le ministre a fait savoir que les investisseurs étaient conviés, dans les 15 prochains jours, pour la présentation des potentialités minières du pays, notamment les minerais disponibles, affirmant que le secteur s’employait à attirer des investissements privés
  • 24-09-2021
    -Propulsés par les perturbations touchant la production alors que la demande s'annonce plus forte, les prix du baril de Brent flirtaient, vendredi, avec leur plus haut niveau de l'année. Ainsi, dans la matinée d’aujourd’hui, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 77,52 dollars à Londres, soit en augmentation de 0,35% par rapport à la clôture de jeudi. A New York, le baril de WTI pour le même mois progressait de 0,22% à 73,46 dollars. Il est à noter que pour sa part, le Brent a atteint 77,74 dollars en début de séance asiatique, s'approchant ainsi de son précédent plus haut à 77,84 dollars enregistré le 6 juillet. Pourrait-il le dépasser ? Cette éventualité renverrait le contrat de référence européen à un niveau plus vu depuis près de trois ans, le 29 octobre 2018, estiment des obsevateurs.
  • 23-09-2021
    -Les prix du pétrole se sont redressés ce jeudi atteignant un niveau relativement élevé pour l'année, portés par les perspectives jugées solides de la demande américaine et une offre toujours diminuée dans le pays. Avant midi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 76,15 dollars à Londres, en baisse de 0,05% par rapport à la clôture de la veille. A New York, le baril de WTI pour le même mois abandonnait 0,14% à 72,13 dollars. Les deux références restent en terrain positif sur la semaine..................................................... --Le ministre du pétrole de la République du Nigeria, Timipre Sylva, a annoncé que son pays allait entamer la construction d'un gazoduc pour transporter le gaz nigérian vers l'Algérie, qui à son tour l'exportera vers d'autres pays. Dans une interview à la chaîne CNBC Arabiya, T. Sylva a déclaré: "Nous avions l'intention de réaliser un gazoduc pour exporter du gaz nigérian depuis longtemps. Nous avons rencontré quelques difficultés à ce sujet, mais nous, au Nigeria, avons commencé la mise en œuvre de ce projet". Et d'ajouter: "Nous avons commencé la construction d'un gazoduc du sud du pays vers le nord dans le but de transporter le gaz nigérian vers l'Algérie", qui l'exportera, après accord avec elle. Dans ce contexte, il a souligné que l'opération de construction avait effectivement commencé.
  • 17-09-2021
    -Le ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a reçu ce jeudi à Alger le ministre l'Etat indien auprès du ministère des Affaires étrangères, Shri V. Muraleedharan, avec qui il a discuté du renforcement de la coopération bilatérale dans les domaines des énergies et des mines, mais aussi dans le domaine du dessalement de l'eau de mer.
  • 14-09-2021
    -Le Sahara Blend, le brut de référence algérienne, a occupé la quatrième place du brut le plus cher du panier de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) en août dernier, selon les données publiées par l’organisation. «La moyenne mensuelle des prix du brut algérien est passée de 75,34 dollars en juillet dernier à 71,05 dollars en août, soit une baisse de 5,7 %, occupant la quatrième place du brut le plus cher de la composante du panier de l’Opep (13 bruts) durant le mois dernier, après le Saoudien Arab light (71,36 dollars/baril), le Nigerian Bonny light (71,23 dollars/baril) et Kuwait Export vendu à 71,06 dollars/baril, a précisé l'Opep dans son dernier rapport mensuel. Le prix du brut algérien est établi en fonction des cours du Brent, brut de référence de la mer du Nord, côté sur le marché de Londres avec une prime additionnelle pour ses qualités physico-chimiques appréciées par les raffineurs.
  • 13-09-2021
    -Présentant le Plan d'action du gouvernement devant les députés de l'APN, le Premier ministre a indiqué que son Gouvernement "œuvrera à poursuivre les investissements dans l'extraction et le développement dans le secteur des hydrocarbures, en les augmentant de 7,4 mds USD en 2021 à près de 10 mds USD en 2023, ce qui permettra d'augmenter la production commerciale primaire dans la filière hydrocarbures de 187 millions de tonnes d'équivalent pétrole (TEP) en 2021 à 195,9 millions TEP en 2023". Dans le même contexte, il a affirmé que les efforts du Gouvernement abonderont, dans le cadre de son plan d'action, au développement des secteurs qui constituent des leviers pour la croissance économique et le développement, d'autant plus que les réformes entamées par l'Etat en vue du développement du secteur de l'énergie et des mines se poursuivront, à travers la valorisation des ressources naturelles, grâce à l'augmentation du transfert dans le secteur des hydrocarbures de 30% actuellement, à 50% en 2022........................................................................ - -Le Pdg du groupe pétrolier public algérien, Sonatrach, Toufik Hakkar, a indiqué,ce lundi à Alger, que l'étude de faisabilité du projet du gazoduc transsaharien (TSGP), reliant le Nigeria à l'Europe à travers l'Algérie et le Niger, est terminée et soumise aux entreprises des deux pays africains. Intervenant lors du Forum de la Chaîne I de la Radio nationale, M. Hakkar a précisé que cette faisabilité est liée, notamment à la demande sur le gaz et surtout à l'étude du marché au vu de la baisse du prix du gaz, soulignant que le prix de ce dernier est passé de 10 dollars l'unité calorique il y a 10 ans à moins d'un dollar en 2020. Ce qui pourrait, selon lui, "influer sur la prise de décision de lancer un tel investissement", d'où la démarche de lancer une étude du marché pour déterminer la demande sur le gaz avant de trancher sur l'opportunité de s'engager dans ce projet. Selon le Pdg de Sonatrach, qui a réalisé l'étude de faisabilité, l'étude technique du projet est "ficelée et le tracé du gazoduc défini". Le ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, avait récemment indiqué que l'Algérie accordait un "intérêt particulier" à la concrétisation "rapide" du projet TSGP visant à connecter les gisements de gaz naturel nigérians à l'Europe via le réseau de gazoduc algérien. "Nous accordons un intérêt particulier à la concrétisation rapide de cet important projet qui donnera un nouvel élan aux relations entre nos deux pays, en termes de coopération technique et de renforcement des capacités", soulignait M. Arkab. Le projet induira, selon lui, des retombées socio-économiques importantes dans les pays de transit, dans le respect de la protection de l'environnement et du développement durable. A cet effet, le ministre avait ainsi réitéré le souhait de la partie algérienne de voir le Nigéria ratifier l'accord intergouvernemental relatif au projet TSGP signé en 2009 à Abuja. Le projet est inscrit au programme du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD)
  • 09-09-2021
    -Le président directeur général de la Sonatrach, Toufik Hakkar, a procédé, jeudi à la nomination de Mourad Menouar à la tête de l’entreprise Naftal, apprend t-on de source proche du Groupe. Il faut souligner que Mourad Menouar, 55 ans, a été désigné en qualité de Dg intérimaire, en remplacement de Kamel Benfriha. Enfant de la maison, ingénieur d’Etat, avait rallié Sonatrach où il a gravi tous les échelons. Il était membre d u Conseil d’administration de Naftal depuis 2020.
  • 07-09-2021
    -L’Algérie et le Niger entendent redynamiser tous les mécanismes de coopération et engager des consultations sur le gazoduc Trans-saharien (Nigal). Ce gazoduc, qui relie le Nigéria à l’Algérie, traverse le Niger du sud au nord pour transporter du gaz naturel vers l’Europe occidentale. Il s’étend sur plus de 4100 km entre Warri, au sud du Nigéria, et Hassi R’mel, en Algérie. Il aura une capacité annuelle de 30 milliards de mètres cubes. La société nigérienne du pétrole détient 10 % dans ce gazoduc, les 90 % restants sont partagés par la Sonatrach et la Nigerian National Petroleum Corporation(NNPC). « L’objectif est de mettre à disposition de l’Europe du gaz canalisé nigérian. La viabilité technique et commerciale de ce projet est cependant étudiée à travers une étude de faisabilité réalisée par un consultant pour le compte de la NNPC et de la Sonatrach », précise la NNPC sur son site.
  • 05-09-2021
    -Le groupe Sonatrach enregistre une progression remarquable dans son classement de l'Indice de gouvernance des ressources naturelles pour l'année 2020, publié par le Natural Resource Governance Institute (Institut de gouvernance des ressources naturelles) de New York (États-Unis), a indiqué, ce dimanche, un communiqué du groupe. «Dans une évaluation intermédiaire de l'indice de gouvernance des ressources naturelles pour l'année 2020, publié par le Natural Resource Governance Institute, le groupe Sonatrach a enregistré une progression remarquable dans son classement, avec une augmentation de 18 points par rapport à 2017, et ainsi sa performance est considérée comme satisfaisante et positive», précise le communiqué. L'indice est validé en envoyant une enquête à 150 experts dans 81 pays, qui recherchent les questions soulevées dans l'enquête, compilent des documents et remplissent l'enquête. Ensuite, la qualité des données de l'enquête est évaluée par l'Institut et enrichie de plus de données. Pour rappel, le groupe national pétrolier Sonatrach table sur une recette se situant entre 30 et 33 milliards USD pour l'année 2021, a affirmé récemment son Président-directeur général (P-dg) Toufik Hekkar.
  • 01-09-2021
    -Le panier de l’OPEP, constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, dont le Sahara Blend algérien, a terminé le mois d'août à plus de 71 dollars, a indiqué mercredi l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) sur son site web. "Le panier de référence de l'OPEP de treize (13) bruts s'élevait à 71,43 dollars le baril mardi (31 août), contre 71,88 dollars lundi dernier", a précisé la même source. Le prix moyen du panier de l'OPEP (ORB) avait augmenté en juillet dernier de 1,64 dollars (+2,3%) par rapport au mois de juin, pour s'établir à 73,53 dollars/baril. Il s'agissait du niveau le plus élevé depuis octobre 2018 pour le panier de l'OPEP. Depuis le début de l'année, l'ORB était en hausse de 25,43 dollars (+63,8% par rapport à la même période l'an dernier), pour une moyenne de 65,27 dollars/baril, selon les données de l'OPEP. Le maintien de brut de l'OPEP à plus de 71 dollars intervient dans un contexte d'amélioration des prix de brut à quelques heurs du 20eme sommet des 23 pays signataires de la Déclaration OPEP et non OPEP. Dans la matinée de ce mercredi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, valait 71,95 dollars à Londres, en hausse de 0,31% par rapport à la clôture de mardi. Les pays de l'OPEP+ avaient décidé fin juillet dernier d'augmenter, dès août, leur production de 400.000 barils par jour chaque mois, jusqu'à l'annulation complète du quota de réduction restant, estimé à 5,8 MBJ. Mardi, l'OPEP a tenu la 54eme réunion du Comité technique (JTC), par visioconférence, pour examiner les développements du marché pétrolier et préparer les réunions de mercredi (JMMC et OPEP+), selon un tweet de l'Organisation. Le JTC est le groupe de réflexion technique du Comité ministériel conjoint de suivi (JMMC)................................................................... --Le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar, a effectué, ce mercredi, en compagnie de hauts cadres de la compagnie, une visite d'inspection au projet de la quatrième unité de pression de gaz, afin de hisser les capacités de production du gaz naturel vers la péninsule ibérique via Medgaz à Béni Saf (Aïn Témouchent) de 8 à 10,5 milliards de mètres cubes (M3), a indiqué la société nationale des hydrocarbures, dans un communiqué. Le rythme des travaux «avance considérablement», et l'unité devra entrer en vigueur en novembre, note la même source.