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  • 29-09-2020
    -Le président du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), Mohcine Belabas, a déclaré lors de son passage lundi soir (28/9) sur « Berbère télévision », qu’il attend la convocation de la justice pour s’expliquer sur l’affaire du décès d’un ouvrier de nationalité marocaine dans son domicile et qu’il n’ira pas à la commission des affaires juridiques de l’APN pour la procédure de levée de son immunité parlementaire. «Si le tribunal m’appelle demain (aujourd’hui mardi NDLR) j’irai sans problèmes. Et il doit m’appeler ! J’attends la convocation pour aller me défendre parce qu’ils ont essayé de salir mon image à travers des déclarations et ont même livré des détails de l’affaire. Il y a clairement une violation du secret de l’instruction et une atteinte à la présomption d’innocence», dénonce Mohcine Belabas. Il en veut d’autant plus que l’affaire à pris des allures «graves». «Je sais ce qu’ils ont dit…que j’ai tué, que je me suis tu exprès…Tout çà participe d’une stratégie visant à salir Mohcine Belabas et partant le RCD par ce qu’ils ont paniqué de voir des jeunes rejoindre notre parti dans plusieurs régions du pays dans le sillage du Hirak», explique –t-il. Transition faite, l’actuel président du RCD a répondu directement mais avec beaucoup de tact et de respect à son prédécesseur Said Sadi qui déclarait lundi dernier sur le même plateau, que son ex parti a «dévié de sa ligne politique» et qu’il «n’assume plus sa laïcité». Visiblement très à l’aise et s’attendait à la question, Mohcine Belabas, a balayé l’accusation par une réponse nette et précise : «le RCD est un parti laïc depuis sa création et ce n’es t pas moi qui vais changer cela. Ceci est une conviction. Je tiens en revanche à corriger que c’est grâce à notre travail et notre redéploiement dans plusieurs régions que les algériens découvrent notre parti». Nullement impressionne par les allusions «déviationnistes» de son ex mentor i, Mohcine Belabas a, au contraire, écorné la stratégie de son prédécesseur à qui il reproche une vision passéiste. «Moi je ne dis pas que je suis «Soumamien» ou que parce que les anciens l’ont dit donc moi aussi je le ferai. Moi je défends un principe tout simplement parce que j’en suis convaincu aujourd’hui !» tranche le chef du RCD. Autre pique évidente de Mohcine Belabas à Said Sadi : «Moi je milite pour, je ne milite pas contre… !», assène Mohcine Belabas, dans une allusion à la stratégie de son prédécesseur qui, lui, se pose en s’opposant. L’invité de Berbère télévision qu’il a été personnellement en tant que membre du Conseil national du RCD, contre la concorde civile mais également contre le fait que le parti rejoigne le gouvernement de Bouteflika. « A l’époque, j’ai pris la parole et exprimé mon opposition à la concorde civile et à la participation au gouvernement mais je devais respecter la discipline du parti puisque la majorité avait voté pour», révèle Mohcine Belabas.
  • 28-09-2020
    -Le président du MSP, Abderrazak Makri est revenu ce lundi sur la décision de son parti de voter «Non» au référendum saur la révision de la constitution le 01 novembre prochain. Dans une conférence de presse qu’il a animée au siège du MSP, Makri a motivé la décision du Majliss Echoura (conseil consultatif) par le fait que la mouture finale de la constitution «n’est pas consensuelle» et que la commission qui l’a élaborée n’est pas représentative». Et pour boucler al boucle, Makri rappelle que le projet a été adoptée par «les députés de la majorité favorable au pouvoir». Abderrazak Makri argué également du fait que les propositions de son parti n’ont pas été prises en considération, notamment a-t-il précisé, «celles relatives à la nature du régime et la désignation d’un chef du gouvernement issu de la majorité». Aussi, le chef du mouvement islamiste, relève l’existence de «disposition empoisonnées qui menacent l’identité nationale à l’instar de la neutralité de l’école» Makri a en outre dénoncé le maintien de l’article 67 régissant les fonctions supérieurs de l’Etat et qu’il a qualifié de «blague» Pour autant et malgré ses réserves, le MSP par la voix de son président appelle les algériens à se rendre «massivement» aux urnes pour…rejeter le projet de loi de révision de la constitution...........................................................................................................; - Le président de l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) a rappelé lundi que la sensibilisation des citoyens, dans le cadre de la campagne électorale pour le référendum du 1er novembre, qui débutera le 07 octobre, est du seul ressort de son instance. Un rappel qui sonne comme une sorte de mise au point à certains partis politiques, soucieux de gagner les bonnes grâces de pouvoir, qui se proposent de faire un travail de sensibilisation et de pédagogie pour convaincre les citoyens à voter en masse. La campagne électorale pour le référendum sur la révision constitutionnelle débute officiellement le mercredi 7 octobre 2020. « Il y a un vide juridique à propos de l’organisation d’une campagne électorale pour un référendum. Je ne sais pourquoi cela n’a pas été prévu auparavant. Nous allons combler ce vide. J’ai pris une décision, qui sera prête dans 48 heures, pour prendre en charge tous les aspects liés à la la campagne électorale. Cette décision aura la même force qu’un décret exécutif », a annoncé Mohamed Charfi, président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), à la chaine Une de la radio nationale, ce lundi 28 septembre. Il a précisé que la campagne se déroulera sans la tenue de meetings électoraux en salle en raison de la pandémie de la Covid-19. « La campagne sera adaptée à la situation dans le pays. Il y aura des activités qui seront organisées en concertation avec les partis et les associations. Rien n’a été négligé », a ajouté Mohamed Charfi qui annoncera les détails du programme de la campagne plus tard. Corps électoral en baisse Mohamed Charfi a, par ailleurs, annoncé la baisse du corps électoral après l’assainissement du fichier électoral. « L’opération a été sérieuse cette fois-ci. Nous avons trouvé des personnes décédées depuis quinze ou vingt ans dans le fichier. Près de 300.000 noms ont été supprimés », a-t-il précisé. Avant l’élection présidentielle de décembre 2019, l’ANIE avait annoncé que le corps électoral était de 24.474.161 électeurs inscrits. « Il est aujourd’hui de plus de 23.000.000 électeurs, nous allons poursuivre l’opération, probablement avant les élections législatives, si la date n’est pas trop rapprochée », a indiqué Mohamed Charfi.
  • 27-09-2020
    - Le secrétaire général du FLN, Abou El Fadhl Baji, a appelé dimanche les militants de son parti à voter "Oui" pour le projet de révision de la Constitution, à l'occasion du référendum du 1er novembre prochain. Lors d'une réunion tenue au Centre international des Conférences, avec les responsables de wilayas du parti, Badji a mis en avant dans son intervention "les articles du texte qui consacrent plus les droits de l'Homme, les libertés individuelles et collectives ainsi que l'indépendance de la Justice"' Poursuivant son propos, Baji ajoute que "le nouveau projet pose les fondements d'une nouvelle république, érige la loi en norme et soumet l''accès au pouvoir à l'urne transparente", ajoutant que "le parti va mobiliser ses structures locales et nationales pour prendre part à la campagne d'explication du texte e à l'effort pédagogique pour le rendre lisible aux citoyens" Par ailleurs, le chef du FLN a promis de mener une croisade contre les personnes qui ont investi les structures du parti en utilisant l'argent sal, un propos qui fait écho au discours du président de la République avec lequel le chef du FLN tient à être raccord sur toute la ligne.
  • 26-09-2020
    -Le MSP, réunissant son Madjliss Echoura, décide de voter "Non", lors du prochain référendum sur la révision constitutionnelle, selon un communiqué rendu public samedi, au terme des travaux. Le communiqué précise aussi que le parti appellera ses militants à participer au référendum, mais avec la consigne de voter contre le projet du président de la République. Pour rappel, le MSP, qui a participé au débat par des propositions remises à la présidence, a boycotté le vote du projet à l'APN, le semaine dernière, pour protester contre la décision des autorités de court-circuiter le débat en plénière…………………………….. -Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Makri, accuse le courant laïque, dont les idées et la doctrine sont , pour lui, pesantes dans la version finale du projet de révision constitutionnelle, de s’adonner à «un jeu double» : appeler au boycott du référendum du 1er novembre prochain portant justement sur ce projet, tout en souhaitant son passage en force……………………………..Il en appelle au peuple à l’effet de «prendre ses responsabilités», pour faire échec à ce projet de nouvelle Constitution qui, selon lui, fait la «part belle au courant laïque qui n’a aucune chance dans la démocratie ou encore dans une quelconque compétition électorale». Un courant qui s’appuie, ajoutera Makri, sur les lobbies financiers et médiatiques pour attenter à l’identité du peuple».Pour le président du MSP, «l’Algérie a une fois de plus raté l’occasion de réaliser un consensus».......................................................................... - Fatma Zohra Zerouati est devenue la nouvelle présidente du parti politique Tajamou Amel el Jazair, ce samedi au terme du congrès extraordinaire du parti organisé ce samedi au Centre international des conférences (CIC) à Club des Pins. Le dernier poste qu’elle a occupé fut celui de ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables au sein du dernier gouvernement nommé par Abdelaziz Bouteflika. Élue député du parti de Taj en 2017, Zerouati avait été nommé ministre du gouvernement dans le gouvernement d’Ouyahia et Bedoui et succède aujourd’hui à Amar Ghoul qui est actuellement en prison, après son implication dans des affaires de corruption. Le TAJ tente ainsi de se régénérer et de se positionner dans le nouveau paysage politique. Pour rappel le TAJ fait partie, au même titre que le FLN et le RND, de l’ancienne Alliance présidentielle qui avait soutenu le 5e mandat avorté de l’ex-président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
  • 24-09-2020
    -La campagne électorale, en prévision du référendum constitutionnel du 1et novembre se déroulera du 08 au 28 octobre, a déclaré ce jeudi Mohamed Charfi, président de l'ANIS qui parle aussi de "parfaite coordination entre les différents ministères pour réunir les meilleures conditions matérielles pour la réussite du rendez-vous avec les urnes. Au sujet de la révision exceptionnelle des listes électorales, le président de l'Autorité électorale évoque "un intérêt des citoyens pour cette opération", indiquant que 128.000 citoyens se sont déjà inscrits, contre 33.800 radiations. " …………………………………………………. - Le bureau de l’assemblée populaire nationale (apn) a tenu, ce jeudi 24 septembre, une réunion présidée par Slimane Chenine. Lors de le réunion, le bureau de l’Apn a examiné une demande d’activation les procédures de levée de l’immunité parlementaire de président de Rassemblement pour le culture et le démocratie (Rcd), Mohcine belebbas. Le bureau a également une demande d’activation les procédures de levée de l’immunité de l’ancien ministre les Travaux publics, Abdelkader Ouali. Après avoir examiné leurs dossiers, le bureau de l’Apn a décidé de les renvoyer à le Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés…………………………………………. -Réagissant à la dénonciation par le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) du refus de la tenue de la réunion de son conseil national, les services de la wilaya d'Alger ont affirmé jeudi dans un communiqué que l'organisation de rassemblements publics dans la conjoncture actuelle était soumise à des mesures et procédures préventives relevant d'un protocole sanitaire spécial garantissant la protection des participants de tout risque de contamination à la Covid-19. En effet, les services de la wilaya d'Alger réagissaient à un communiqué rendu public mercredi par le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) "dénonçant l’avis défavorable émis par les services de la wilaya au sujet de la demande d’organisation d’un rassemblement public pour la tenue de la session ordinaire du Conseil national, prévu le 25 septembre 2020 à l’hôtel El Riadh à la commune de Staoueli (circonscription administrative de Zéralda)". "La demande introduite par le parti pour la tenue d’un rassemblement public a été refusée, car portant sur la participation de près de 250 personnes en sus des chargés de la couverture médiatique, au niveau d’une salle ne pouvant accueillir que 200 personnes dans le respect des mesures préventives devant être respectées pour prévenir la propagation de la Covid-19", ont indiqué les services de la wilaya. Les services de la wilaya d’Alger "continuent à recevoir et à étudier toute demande de rassemblement public, à condition de se conformer aux mesures de prévention nécessaires", a conclu la même source.
  • 23-09-2020
    -Le RCD a indiqué ce mercredi dans un communiqué sur sa page Facebook que la réunion de son Conseil national, prévue initialement vendredi 25 décembre à l'hôtel Riadh d'Alger, après avoir obtenu l'accord préalable de la direction de la structure hôtelière le 02 septembre ,vient d'être interdite par les autorités.
  • 20-09-2020
    -Le mouvement El Islah annonce avant tous les partis y compris ceux du pouvoir, le PFLN et le RND, sa décision de voter «Oui» lors du référendum sur la révision de la constitution prévu le 01 novembre prochain. Dans un communiqué rendu public ce dimanche, le mouvement El Islah justifie sa décision par le fait que le projet présidentiel «consacre l'Etat des droits et des libertés et les institutions légales dans le cadre d'un large consensus national». On y apprend ainsi que lors de la 11eme Université d'été du mouvement tenue ce weekend (les 17 et 18 septembre), le mouvement El Islah a tenu la 9e session ordinaire de son Conseil consultatif qui a «élaboré sa décision finale sur le référendum autour de la révision de la Constitution et la majorité écrasante a approuvé le vote en faveur du projet de révision de la Constitution soumis à référendum le 1e novembre» .
  • 16-09-2020
    -Joradp n° 54 du 16/9/2020 : Décret présidentiel n° 20-251 du 27 Moharram 1442 correspondant au 15 septembre 2020 portant convocation du corps électoral pour le référendum relatif au projet de révision de la Constitution. Texte annexé : PROJET DE REVISION DE LA CONSTITUTION. Extrait : Article 1er. — Les électeurs et les électrices sont convoqués à l’effet de se prononcer, par voie de référendum, sur le projet de révision de la Constitution, le dimanche 1er novembre 2020. Art. 2. — Il est mis à la disposition de chaque électeur, deux (2) bulletins de vote. La question posée aux électeurs et aux électrices est : « Etes-vous d’accord sur le projet de révision de la Constitution qui vous est proposé ? ». — Si vous êtes d’accord : répondez par « OUI » (bulletin blanc). — Si vous n’êtes pas d’accord : répondez par « NON » (bulletin bleu). Art. 3. — Le projet de révision de la Constitution est annexé au présent décret. Art. 4. — Une révision exceptionnelle des listes électorales est ouverte, à compter du dimanche 20 septembre 2020, elle est clôturée le dimanche 27 septembre 2020.………………………………………………… -L'opération de révision exceptionnelle des listes électorales en prévision du référendum sur la révision constitutionnelle, sera lancée à partir de dimanche 20 septembre jusqu'au 27 septembre 2020, a annoncé, mercredi, l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), dans un communiqué. "Suite à la signature du décret présidentiel fixant la date de la convocation du corps électoral pour le référendum sur la révision constitutionnelle, le 1er novembre 2020, l'ANIE informe l'ensemble des citoyennes et citoyens que la période de révision exceptionnelle des listes électorales est de 8 jours à partir du 20 septembre jusqu'au 27 septembre 2020 et ce, conformément à l'article 14 de la loi organique 16-10 du 25 août 2016, relative au régime électoral, modifiée et complétée", précise la même source. "A cet effet, les citoyennes et citoyens, non inscrits dans les listes électorales, notamment ceux qui auront 18 ans le jour du scrutin, soit le 1er novembre 2020, sont invités à s'inscrire auprès de la commission communale au niveau de leur commune de résidence, laquelle travaille sous la supervision de l'ANIE", ajoute le communiqué. "Les électeurs ayant changé de lieu de résidence doivent, quant à eux, se rapprocher de la commission de révision des listes électorales de leur nouvelle commune de résidence", a ajouté la même source précisant que la demande d'inscription doit être appuyée par la présentation de deux documents, l'un justifiant l'identité et l'autre justifiant la résidence, a précisé le ministère. Les bureaux de la commission chargée de la révision des listes des élections au niveau des communes sont, ainsi, ouverts tous les jours de la semaine, de 9:00 à 16:30, à l'exception du vendredi. Les citoyens membres de la communauté nationale établie à l'étranger doivent, quant à eux, se rapprocher des représentations diplomatiques ou consulaires pour s'inscrire, selon les mêmes procédures".
  • 15-09-2020
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a signé mardi, un décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour le référendum sur la révision de la Constitution prévu dimanche 1 Novembre 2020, indique un communiqué de la Présidence de la République. "En application de l'article 149 de la loi organique 16-10 du 22 Dhou El Kaâda 1437, correspondant au 25 août 2016, relative au régime électoral, le Président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, a signé mardi le 15 septembre 2020, le décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour le référendum sur le projet de révision de la Constitution". Le décret présidentiel fixe, en vertu de l'article 14 de ladite loi organique, "la date de la révision exceptionnelle des listes électorales, au 20 septembre courant, pour une durée de 08 jours".
  • 14-09-2020
    -Journée internationale de la démocratie, fêtée le 15 septembre de chaque année à l'initiative de l'Assemblée générale des Nations Unies en 2007.
  • 12-09-2020
    -Les membres du Conseil de la Nation viennent de plébisciter le projet de révision de la constitution avec 127 voix sur les 128 sénateurs présents, avec une seule abstention et zéro vote négatif, selon le décompte des voix présenté par Salah Goudjil, le président par intérim. Avant ce vote, les Premier ministre puis le porte-parole de la commission des Affaires juridiques se sont succédés à la tribune pour une présentation de l'économie générale du texte en le situant dans la continuité de la construction de l'Algérie dont le fondement principal est la Déclaration du 1er novembre 1954. le porte-parole de la commission des Affaires juridiques a fini son intervention en lançant un appel aux sénateurs et au peuple algérien à plébisciter le texte qui "ouvrira de nouvelles perspectives au pays". …………………………………. -Le Premier ministre, en ouverture de la séance plénière en vue du vote du projet de révision constitutionnelle, a prononcé une allocution pour évoquer devant les sénateurs la portée et la signification du projet de révision de la constitution "en application des engagements pris par le président Abdelmadjid Tebboune." "Cette nouvelle constitution vise à moraliser l'action politique dans notre pays, lutter contre le pouvoir personnel et les dérives monarchiques qui ont failli précipiter notre pays dans la chaos", souligne Djerad en rendant un hommage au Hirak qui a , selon lui "arrêter pacifiquement cette dérives dangereuse" Pour le premier ministre, cette nouvelle constitution se veut un "écho" aux revendications portées par les jeunes du Hirak et leur "offre toutes les conditions pour exprimer leur compétences et leur permettre d'être les futures acteurs de la scène politique, à travers une réhabilitation du rôle de la société civile". Parlant de l'économie, Djerad souligne que cette nouvelle constitution va asseoir un nouveau paradigme économique qui privilégie, la ressources humaines, l'économie de la connaissance, la libre entreprise dans le respect des lois et la fin de l’économie de la rente". Cette constitution, en sanctuarisant les éléments constitutifs de notre identité nationale, met le pays à l'abri des manœuvres et des manipulations qui risquent de mettre en péril son unité dans un contexte régional et international trouble", ajoute le Premier ministre pour qui ce projet une fois adopté "va permettre au pays un saut qualitatif dans la construction d'une Algérie nouvelle, issue de l'appel du 1er Novembre".
  • 10-09-2020
    - Le premier ministre Abdélaziz Djerrad s’est 'exprimé devant le députés , en prélude à la séance de votre sur le projet de révision constitutionnelle. "Cette nouvelle constitution répond à la volonté du peuple exprimée par le Hirak béni et traduit aussi un des engagements majeur du président de la République pour construire une Algérie nouvelle, loin des dérives et du pouvoir personnel", dit-il. Décrivant, le contenu de la nouvelle constitution, il explique qu'elle "renforce et sanctuarise les éléments de l'identité algérienne que sont l'Islam, l'Arabité et 'Amazighité et se réapproprie son histoire millénaire tout en aspirant à la construction d'un état moderne" Djerad met en exergue aussi "la séparation des pouvoirs" tout en offrant une assise à une collaboration entre l’exécutif et le législatif, chacun selon ses prérogatives au service de l'Algérie et de sa reconstruction selon une nouvelle approche" Le Premier ministre, qui a dit sa "pleine confiance" dans le plébiscite du projet par les algériens, le 1er novembre "une date qui nous unit" assure que cette constitution permettra d'asseoir "une nouvelle Algérie de la compétence , la méritocratie, la transparence , la compétence, loin de tout clientélisme, népotisme et régionalisme" Djerad ajoute que la nouvelle constitution "favorisera l’émergence d'une nouvelle économie qui mettra fin à la dépendance aux hydrocarbures au profit d'une économie diversifiée qui permet la libre initiative dans le cadre du respect de la loi" ……………………………………………………………… -Les députés adoptent le projet de révision constitutionnel en votant à la majorité des présents(256) et 63 procurations et une seule abstention, , sur un total de 462 , dans un hémicycle marqué aussi par l' absence d'un grand nombre de députés , même si le quorum est largement atteint, comme l'a souligné le président de l'APN, Slimane Chenine.
  • 09-09-2020
    -Abdelaziz Djerrad était ce mercredi matin au siège de l'APN pour défendre le projet de révision constitutionnelle qui doit être voté demain matin en plénière par les députés , évincés du débat. El alors que le tribunal de Sidi Mhamed venait juste de prononcer son verdict contre Baha Ediine Tliba, condamné à huit ans de prison ferme et la saisie de tous ses biens, le Premier ministre, en écho à ce qui venait de se produire au tribunal de Sidi M'Hamed, a soutenu que "la majorité n'est pas corrompue,, elle est propre et saine" Des propos qui ont un effet de baume sur les députés, accablés ces derniers temps par les accusations de corruption, largement amplifiées par les déclaration de Tliba, Ould Abbas et son fils devant le juge au sujet de l'achat des sièges lors des législatives de mai 2017. ................................................................. - -Dans une lettre adressée au président Abdelmadjid Tebboune, publiée mercredi sur sa page Facebook, l’avocat Mostefa Bouchachi rejette dans la forme et dans le fond un projet de révision constitutionnelle qui institue un “pouvoir personnel” et fait du président un “empereur” s’immisçant tous les pouvoirs sans « être responsable ni politiquement, ni pénalement »………………… Sur la forme, l’ancien président de la LADDH – qui répondait à une invitation du président à « enrichir » le projet – estime que cette proposition de révision ne déroge pas à la règle d’une quête de continuité du régime et que le procédé n’est pas démocratique. Or, ajoute-t-il, ”la fondation d’une Algérie démocratique exige que la Constitution soit le fait du peuple Algérien à travers une institution élue quelle que soit sa dénomination.” Me Bouchachi relève par ailleurs que les gouvernements du monde entier orientent leurs moyens économiques et financiers dans la lutte contre la pandémie et reportent les questions non-urgentes. ”Votre idée de discuter et d’enrichir le projet est inappropriée compte tenu des circonstances de la crise sanitaire et du confinement”. L’avocat estime que le chef de l’Etat aurait pu traduire son engagement électoral à réviser la Constitution en organisant une « conférence nationale avec la participation de toutes les sensibilités et l’ensemble du spectre politique et de la société civil » pour sortir avec un document consensuel (………………… ).
  • 08-09-2020
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu ce mardi l’ancien chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, indique un communiqué de la présidence de la République.. Abdelaziz Belkhadem avait occupé également le poste de ministre des Affaires étrangères …………………………………………. - Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad a présenté, mardi, le projet portant révision de la Constitution devant la Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés à l’Assemblée populaire nationale (APN), en présence de Slimane Chenine, président de l'APN. A l'issue de cette présentation, les membres de la Commission procéderont au débat de ce texte qui se poursuivra mercredi avant sa soumission, jeudi prochain, au vote des députés lors d'une séance plénière. Lors de cette séance, il sera procédé à la présentation du projet portant révision de la Constitution par le représentant du gouvernement ainsi que du rapport de la Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés à l'APN, avant de procéder au vote.
  • 06-09-2020
    -L'aménokal de l'Ahaggar Ahmed Idaber a appelé ce dimanche les algériens à participer en force au prochain référendum sur la révision de la Constitution. Dans une déclaration à l'APS, M. Idaber a appelé, au nom des chefs de tribus de l'Ahaggar et des notables de la région de Tamanrasset, l'ensemble des algériens, et les habitants de Tamanrasset en particulier, à participer massivement au prochain référendum sur la révision constitutionnelle, appelée à dessiner les contours de l'Algérie nouvelle''.
  • 03-09-2020
    -Le parti Tajamoue Amel El Jazair (TAJ) a affirmé son adhésion au processus d'instauration de l'Algérie nouvelle où régnera l'Etat de droit et libertés à travers une Constitution consensuelle répondant aux aspirations du peuple", a indiqué jeudi un communiqué du parti. Affirmant son adhésion au processus d'instauration de l'Algérie nouvelle où règnera l'Etat de droit et libertés à travers une Constitution consensuelle répondant aux aspirations du peuple, TAJ a réitéré son "attachement aux lois de la République notamment en ce qui concerne l'organisation des partis et de la vie politique ainsi que la moralisation de la vie politique". Par ailleurs, la même formation politique a salué les efforts consentis par le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune dans le but de booster le développement et l'économie en dépit des séquelles de la pandémie covid-19".
  • 01-09-2020
    - Les membres du bureau politique du parti du Front de libération nationale (FLN) issu de la dernière session du Comité central (CC) du parti, ont été installés ce mardi. La nouvelle composante du bureau politique comporte 18 membres: Hadj Mustapha Amad, Farida Ilimi, Sid Ahmed Temamri, Mahmoud Khoudri, Abdelkrim Korichi, Nacer Bettiche, Messaoud Chihoub, Rachid Assas, Ahmed Khennafou, Ferhat Arghib, Mohamed Nacer Ferrah, Djamal Madi, Mohamed Sebbahi, Naima Boucif, Mohamed Allioui, Said Bouhadja, Mohamed Si Fodil et Ahmed Bennai. Lors de la cérémonie d’installation, il a été procédé à la répartition des missions aux nouveaux membres en prévision des prochaines échéances dont le référendum populaire sur l’amendement de la Constitution prévu le 1er novembre.