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Energie (et Mines)

Mois du 09/2020

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  • 30-09-2020
    -Les prix du pétrole poursuivaient leur baisse ce mercredi, après un plongeon la veille, manifestant l'inquiétude des investisseurs sur l'excédent d'or noir, avant la publication par l'EIA des stocks de brut américains plus tard dans la journée. Dans la matinée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre, dont c'est le dernier jour de cotation, valait 40,37 dollars à Londres, en baisse de 1,61% par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril américain de WTI pour le même mois perdait 1,22% à 38,81 dollars.La veille, les deux indices de référence ont cédé plus de 3%, le WTI perdant même plus de 5% en séance...................................................................................; -Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a reçu hier un appel téléphonique du chef du gouvernement libyen d'union nationale (GNA), Fayez al-Sarraj, sur l’évolution de la situation en Libye, indique un communiqué de la Présidence de la République. Le Président Tebboune a répondu favorablement à la demande d’aide d’urgence formulée pour la réparation de la centrale électrique alimentant Tripoli. Le Président Tebboune a ordonné au ministre de l’Energie de former une équipe technique composée de techniciens de Sonelgaz qui se dirigera aujourd’hui vers la capitale libyenne, a ajouté le communiqué.
  • 28-09-2020
    -Dans le cadre du suivi de la conformité industrielle de ses installations, le groupe Sonatrach installe un comité dédié à ces questions. Les membres de ce comité ont été installés par le P-DG du groupe Toufik Hakkar, "Dans le cadre de la prise en charge de la problématique empiétement sur les périmètres de protection des installations et ouvrages d’hydrocarbures de Sonatrach, le P-DG de la compagnie a procédé, lundi 28 septembre, à l’installation d’un Comité de suivi dédié aux questions liées à la conformité réglementaire" lit-on dans un communiqué (Sonatrach). Ce Comité aura pour mission d’établir un état des lieux sur la situation et superviser la concrétisation des plans d’actions destinés à limiter les risques pour les riverains et la protection des installations de l’entreprise contre les risques induits par les empiétements, précise la même source. Cette action intervient dans le cadre du "renforcement des mesures de protection et de maîtrise des risques majeurs" associés aux activités industrielles de Sonatrach, a conclu le communiqué. .................................................................................................................................... -Le magistrat instructeur, en charge de l'affaire dite des 40 conteneurs, a ordonné, la mise en détention préventive d'un opérateur privé qui a tenté d'exporter illégalement de grandes quantités de carburant qu'il a acquis comme il a prétendu, pour les besoins de son usine de fabrication de diluant. L'affaire remonte au mois de mars de l'année en cours, lorsque le mis en cause a déclaré aux services de la Douane qu'il s'agissait de solvant pour la peinture ce qui lui a permis d'acheminer sa marchandise, sans attirer l'attention, en direction du port de Skikda, pour pouvoir les embarquer ensuite à bord d'un navire et procéder à leur exportation. Manque de pot pour l'exportateur indélicat, le produit conditionné dans des fûts remplis, disposés dans 40 conteneurs n'arrivera pas à destination puisqu'il a été intercepté juste avant son embarquement. En effet le service des Douanes alerté, a procédé au blocage du produit pour prélever des échantillons aux fins d'analyses pour déterminer sa nature exacte. Et les soupçons des douaniers se sont avérés fondés puisque les résultats ont montré qu'il s'agissait de gasoil, un tout autre produit que celui déclaré par l'exportateur qui du coup a détourné la matière première qu'il achetait pour ses besoins, vers l'exportation. Les enquêteurs ont réussi à faire la lumière sur cette affaire qui a atterri devant le parquet de Skikda qui a saisi le magistrat instructeur. Poursuivi pour pratique d'un commerce frauduleux par la revente de matière première en l'état, trafic de carburant portant atteinte à l'Economie nationale et établissement de documents attestant de faits contraires à la réalité et après audition, le prévenu a été placé en détention préventive.
  • 27-09-2020
    -Selon les estimations de Fonds monétaire international fmi, cité par le site spécialisé « Oil price », l’Algérie a besoin d’un baril à 157,2 dollers afin de pouvoir rééquilibrer son budget pour l’année 2020. Le Fmi évalue le seuil de rentabilité de brut algérien à 157,2 usd le baril, et c’est le raison qui fait que l’Algérie reste un fervent partisan de l’action conjointe Opep + pour faire grimper à nouveau les prix, précise le site. Cette estimation a été revue à le hausse suite à le propagation de l’épidémie de coronavirus qui vient ajouter son lot de soucis économiques, liés principalement au « décombres de régime de Bouteflika », et au fait que l’Algérie « doit coninuellement apaiser une population toujours plus exigeante », selon le Fmi. D’ailleurs, lors de le précédente estimation, le Fond avait fixé le prix d’équilibre de baril, pour cette année de 2020, à 92 dollars. Or, ce même prix d’équilibre a été revu à le baisse par l’organisation pour l’année prochaine. Ceci dit, il convient de noter que le ministre de l’Energie Abdelmadjid Attar avait déclaré, à « Lsa direct » de Soir d’Algérie que le pays a besoin d’un prix d’équilibre de 60 dollars le baril sur une période de deux ans, pour qu’il puisse équilibrer ses budgets.................................................................................................. --Le ministère de l'Energie a annoncé ce lundi, dans un communiqué, la suppression à compter de 2021 de la commercialisation de l'essence super avec plomb au niveau des stations services, précisant que ce carburant est "nuisible à l'environnement". L'essence super avec plomb ayant l'indice d’octane 92, produite par les raffineries algériennes, "n’est plus produite ou utilisée dans la majorité des pays", a précisé la même source. Ce type de carburant va être supprimé en grande partie ou reformulé avec retrait du plomb pour être transformée en super sans plomb avec un indice d’octane supérieur à 92, ce qui permettra de mettre fin à l’importation d’essence sans plomb, a ajouté le communiqué. Le ministère de l'Energie a assuré également qu'à compter de 2021 deux types d'essence seront commercialisées sur le marché, à savoir l'essence normale et super sans plomb. "L'essence normale, qui a un indice d’octane entre 86 et 89. Elle est consommée surtout par des véhicules ne nécessitant pas une qualité avec un indice d’octane supérieur. Le marché national peut être approvisionné à 100% par nos raffineries", a fait savoir le communiqué. Quant à l'essence super sans plomb avec un indice d’octane 95, le ministère a expliqué que "nous ne produisons pas assez", mais l'Algérie "a besoin en ce moment d’importer des volumes de compensation". L’arrêt de son importation sera compensé sur le marché national par le traitement et la reformulation de l’essence super avec plomb, a tenu à souligner encore le ministère. S'agissant de la consommation de carburants en Algérie en 2019, elle avait atteint, selon le communiqué, une quantité de 15 millions de tonnes dont 10,4 millions de tonnes (69%) en gas oil, 3,9 millions de tonnes (26%) en essences de catégorie normale et super, ainsi que 750.000 de tonnes (5%) en GPLc. Font partie de ces volumes consommés, des importations qui ont atteint 578.000 tonnes d’essence super sans plomb, et 913.000 tonnes de gas oil, a-t-on indiqué de même source.
  • 26-09-2020
    -Le président de l’Autorité de Régulation des hydrocarbures (ARH), Rachid Nadil, a annoncé ce samedi, l’abandon progressif de la distribution d’essence super à partir de janvier 2021. S’exprimant dans l’émission de la rédaction de la chaîne 1 de la Radio Algérienne, Nadil a indiqué : "Sonatrach va commencer ce jeudi des expériences pour abandonner progressivement l’essence super dans les raffineries". Nadil a également indiqué que l’Algérie a déjà commencé à mener des expériences dans les raffineries pour éliminer le plomb. Le président de (ARH) a précisé que le processus de distribution d’essence super se poursuivra dans les stations-service à l’heure actuelle, avant de souligner les effets négatifs de ce type de carburant sur l’environnement et la santé des citoyens.
  • 25-09-2020
    -Le montant des factures impayées par les clients de la Sonelgaz est de l’ordre de 142 milliards de dinars. « C’est l’équivalent de 1,2 milliards de dollars. Cela est un fardeau pour la Sonelgaz. Heureusement que le trésor public est là pour l’appuyer financièrement. Il y a aussi des aides au niveau local », a déclaré, ce vendredi 25 septembre, Abdelmadjid Attar, ministre de l’Énergie, lors d’une visite à Annaba et à El Tarf. Ce montant est le double de ce qui a été annoncé, fin juillet 2020, par Chaher Boulekhras, PDG de Sonelgaz. Il avait annoncé le chiffre de 61 milliards de dinars. Le patron de l’entreprise publique n’avait-il pas tous les chiffres des créances ? Selon lui, ces créances sont réparties « à égalité » entres les administrations, sociétés et institutions publiques et les foyers. « Ce niveau de créance est l’équivalent du déficit financier du groupe », a-t-il précisé...............................................................
  • 23-09-2020
    - Les prix du pétrole étaient relativement stables mercredi, avant la publication par l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) des stocks de brut aux Etats-Unis plus tard dans la journée. Dans la matinée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 41,94 dollars à Londres, en hausse de 0,53% par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril américain de WTI pour le même mois, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, gagnait 0,35% à 39,94 dollars
  • 21-09-2020
    -Le ministre des Mines, Mohamed Arkab a annoncé,ce lundi, que la production nationale d'or ne dépasserait pas 58 kg en 2020, considérant cette production de "très faible" par rapport au stock national de ce précieux métal qui dépasse actuellement 121 tonnes. Invité de la Radio nationale, M. Arkab a précisé que la moyenne de production d'or en Algérie est estimée à 60 kg/an, ajoutant que son secteur comptait relancer l'activité aurifère minière et artisanale dans le Grand Sud pour augmenter la production à 240 kg/an dans une première étape. Cet objectif sera réalisé à travers la mise en place, depuis trois mois, de 95 micro-entreprises dans l'exploitation aurifère dans les régions d'Illizi et de Tamanrasset au profit de 1.500 jeunes. Il a fait savoir que son département avait élaboré, en collaboration avec le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des micro-entreprises, un cahier des charges qui couvre cette opération et prend en charge la pose de jalons et de bases qui permettent la création de ces micro-entreprises où les jeunes et artisans sont formés dans ce domaine. Des experts de l'Agence nationale des activités minières (ANAM) ont récemment effectué, en compagnie de spécialistes du service de la cartographie minière et géologique, une action de terrain pour déterminer les régions où de l'or avait été découvert, ce qui a permis de recenser 95 régions jusqu'à présent allant de 6 à 400 ha. M.Arkab a salué le rôle du ministère de la Formation professionnelle qui participe à la relance de cette activité, à travers la formation des jeunes dans le cadre d'un programme d'exploitation artisanale optimale de l'or dans les régions du Sud. Le cahier des charges relatif à la création de ces micro-entreprises prévoit des conditions rigoureuses qui interdisent aux jeunes activant sur le terrain d'exploiter les produits chimiques, au vu de leurs da,ngers sur leur santé et sur l'environnement. De même qu'elles leur interdisent le concassage des roches contenant de l'or. L'activité de ces jeunes se limite à la collecte des roches sédimentaires contenant de l'or, à remettre à l'Entreprise d'exploitation des mines d'or (ENOR) pour exploitation.
  • 17-09-2020
    -Tout ministre des énergies renouvelables qu’il est, le Pr Chitour ignorait curieusement pourquoi le gouvernement Djerad à décidé contre toute attente et après avoir signé un mémorandum d’entente avec les allemands de «tuer» le prometteur projet Desertec. «Votre collègue de l’énergie (Abdelmadjid Attar NDLR) a annoncé la fin du projet Desertec. On s’attendait à ce que le ministre des énergies renouvelables que vous êtes, nous explique cette décision de dire on arrête ou en fait une pause…interroge Hakim Laâlam, animateur du LSA Direct de notre confrère le Soir d’Algérie. Visiblement très gêné et la mine défaite, Chams Eddine Chitour répond : «A ma grande honte je ne sais pas ! assène-t-il. Et d’enfoncer le clou : «dans cette affaire là, honnêtement, je ne suis pas dans les secrets des dieux. Il y a peut être des secrets et il y a peut être des dieux … » Autre question importante : l’abandon du projet Desertec porte t-il la griffe personnelle d’Abdelmadjid Attar qui n’a pas encore bouclé trois mois à la tête du département de l’énergie, alors que le mémorandum d’entente pour élaborer une «vision commune de coopération» avec les allemands a été signé en avril dernier par son prédécesseur Mohamed Arkab ? Il est en effet surprenant de constater que le gouvernement ait changé subitement de stratégie d’exploitation des énergies renouvelables en trois mois. Ceci d’autant qu’un choix aussi délicat que vital pour le pays est censé faire l’objet d’un large débat au sein du gouvernement et en Conseil des ministres. Y a–t-il eu un arbitrage entre les visions de Chitour et Attar sur le modèle énergétique que le pays doit adopter, et qui semblent pour le moins divergentes ? Et pour ajouter une couche à ce flou ambiant, Abdelmadjid Attar avait précisé lors de l’annonce de la mort de Desertec, que Desertec nécessitait des «investissements énormes» et que son collègue des énergies recouvrables et de la Transition énergétique, Chittour en l’occurrence, va bientôt proposer au gouvernement un «programme différent et qui va se concentrer sur l’économie d’énergie … ». Or, au micro du Soir d’Algérie, le Pr Chitour qui siège dans le même gouvernement qu’Attar semblait tomber des nues….................................... - Le ministre de l'Energie, Abdelmadjid Attar, a réitéré ce jeudi la nécessité d'atteindre un taux de conformité de 100 % par l'ensemble des pays Opep et non-Opep, signataires de l'accord de réduction de la production pétrolière. "Je réitère l'importance d'atteindre un taux de conformité de 100 % par tous", a souligné A. Attar, également président de la Conférence de l'OPEP, à l'ouverture des travaux de la 22ème réunion du Comité ministériel mixte de suivi OPEP/non-OPEP (JMMC), tenue par visioconférence. Il a ainsi estimé que les coupes de production, intervenues dans le cadre de l'accord Opep+ d'avril dernier, portant sur une baisse de 7,7 millions de barils/jour (mbj) en août, après des réductions de 9,6 mbj en juillet et de 9,7 mbj en mai et juin, ont été "des décisions opportunes et courageuses". "Aujourd'hui le JMMC discute des fruits de nos efforts. En effet, nous constatons un marché moins volatil contrairement aux turbulences du deuxième trimestre 2020", a noté A. Attar soulignant "les perspectives positives" pour les marchés, notamment face aux signaux de reprise économique, d'amélioration de l'activité transport et de recul des stocks mondiaux. Cependant, il a appelé à maintenir la vigilance et l'engagement de l'ensemble des membres de l'accord, d'autant que la pandémie du coronavirus reprend dans certaines régions du monde. "L'année 2020 a été éprouvante pour nous tous. En revanche,notre union et notre détermination nous permettront de surmonter les défis actuels", -t-il estimé.
  • 14-09-2020
    - L'Opep révise à la baisse la demande mondiale de pétrole cette année et en 2021, en raison de la faiblesse persistante dans certains pays asiatiques à la suite de la pandémie de Covid-19. pandémie de Covid-19. Sa prévision de l'évolution de la demande a été révisée en baisse de 0,4 million de barils par jour (mb/j) par rapport au mois d'août, indique l'Organisation des pays exportateurs de pétrole dans son rapport mensuel sur le pétrole. La demande mondiale cette année doit ainsi reculer plus fortement qu'anticipé jusqu'à présent, de 9,5 mb/j, pour atteindre 90,2 mb/j en raison de la crise sanitaire et économique liée à la pandémie de Covid-19. Celle-ci a notamment pesé lourdement sur le secteur des transports, en particulier aérien. «Les risques restent élevés et orientés à la baisse, particulièrement en ce qui concerne l'évolution des cas d'infection au Covid-19 ainsi que de potentiels traitements», juge le rapport. Cette révision est notamment liée aux difficultés que connaissent certains pays d'Asie. «Jusqu'à présent, la demande pétrolière en Inde, en Indonésie, en Thaïlande et aux Philippines a été bien moins solide que ce qui avait été attendu initialement», explique l'Opep. Cette conjoncture négative dans certains pays asiatiques devrait se encore faire sentir au premier semestre de l'an prochain. Par conséquent, les prévisions concernant la demande mondiale pour 2021 ont aussi été revues en baisse, de 0,4 mb/j par rapport au mois dernier. Cette demande doit ainsi rebondir de seulement 6,6 mb/j en 2021 pour s'établir à 96,9 mb/j, selon les dernières prévisions de l'Opep. L'organisation est engagée avec ses alliés, dont la Russie, dans une politique de restriction volontaire de sa production afin de soutenir les cours du brut. Les pays membres de l'Opep ont toutefois pompé plus au cours du mois d'août par rapport à juillet, selon des sources secondaires (indirectes) citées dans le rapport. L'Opep a ainsi produit 763.000 barils par jour de plus............................................................................... --Les prix du pétrole se sont repris mardi, aidés par une production industrielle chinoise en hausse et l'ouragan Sallyqui menace une partie de l'offre dans le Golfe du Mexique. Le baril de pétrole américain (WTI) pour livraison en octobre a conclu en hausse de 2,73% (+1,02 dollars) à 38,28 dollars contre 37,26 dollars lundi. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre, coté à Londres, a fini à 40,63 contre 39,61 dollars lundi, en hausse de 2,32% (+0,92 dollars). Il est repassé ainsi au-dessus de la barre des 40 dollars pour la première fois depuis cinq séances.
  • 08-09-2020
    -Le groupe Sonatrach a annoncé ce mardi avoir attribué des contrats d’un montant total de 67 milliards de dinars à des groupes algériens pour le développement des champs pétroliers et gaziers dans le sud-ouest du pays. Au total, le groupe pétrolier a signé des contrats avec six entreprises : ENGCB, Sarpi, ENGTP, Enac, Kanaghaz et Cosider Canalisations. Ces contrats portent sur la construction des réseaux de collecte et des lignes d’expéditions du projet de développement des champs gaziers du Sud-Ouest du pays et qui totalisent une longueur de plus de 700 km. « Vu l’importance de ce projet, nous l’avons divisé en plusieurs projets pour permettre un gain de temps. L’autre objectif est d’assurer un plan de charge au profit des filiales de Sonatrach et des entreprises algériennes surtout après le contexte suscité par la crise sanitaire« , a déclaré le PDG de Sonatach Toufik Hakkar lors d’un point de presse en marge de cette cérémonie, rapporte l’agence officielle. Ces projets devraient créer 3000 emplois, selon Hakkar. Le groupe Sonatrach a en outre confié à la société Sarpi/Safir un contrat relatif au développement des champs pétroliers Ouest de Touat- Phase 2. « Ce projet permettra d’alimenter la raffinerie d’Adrar à raison de 6.000 barils/j de pétrole brut d’ici 2022« , a expliqué M. Hakkar. Sonatrach a également signé avec Cosider Canalisations un contrat relatif à la mise en conformité des systèmes de détection/extinction et des réseaux anti-incendie des installations de transport de RTO « Zone d’Arzew« . Un autre contrat a été signé entre Sonatrach et l’entreprise ENAC, concernant la fourniture, installation et mise en service de nouveaux systèmes de protection cathodique pour la nappe de canalisations (Hassi R’Mel – Arzew) de la région transport ouest « RTO »…………………………………………………………………………………………………………….. ; -Le PDG de Sonatrach, Tewfik Hakkar a assuré, mardi, qu'ucun impact n'a été enregistré sur les eaux sous-terraines à ce jour suite à la fuite au niveau de l'oléoduc OK1 à El-Oued. S'exprimant devant la presse en marge de la cérémonie de signature de plusieurs contrats entre Sonatrach et des entreprises algériennes, M. Hakkar a fait savoir que les eaux souterraines n'ont enregistré "aucun impact" à ce jour suite à la fuite au niveau de l'oléoduc OK1 à El-Oued, survenue jeudi dernier, et dont le pompage a repris depuis lundi matin. "Nous allons suivre cette opération de façon régulière pendant une année afin d'assurer la sécurité des eaux et offrir le traitement nécessaire en cas d'impact", a-t-il souligné.
  • 07-09-2020
    -L e Groupe Sonatrach annonce,ce lundi, la reprise du pompage de pétrole brut à partir du Bassin rouge (Hassi Messaoud) vers la raffinerie de Skikda et ce après la fin de l’opération de maintenance de l’oléoduc OK1 à El Oued qui a enregistré, jeudi dernier, un incident suite aux intempéries ayant causé une fuite du pétrole.
  • 05-09-2020
    -Le groupe Sonatrach a fait état, samedi dans un communiqué, de plusieurs mesures et décisions prises pour remédier aux dégâts de la fuite de pétrole survenue jeudi dernier en raison des intempéries, au niveau de l'oléoduc OK1 à El Oued. "A l'issue de la visite d'inspection effectuée dans la région d'El Baaj, vendredi 4 septembre 2020 dans la soirée, par le P-DG de la Sonatrach, accompagné d'une délégation, plusieurs mesures et décisions ont été prises pour remédier aux dégâts dus à la fuite de pétrole", a-t-on relevé de même source. Des mesures qui consistent à diligenter une enquête complémentaire pour déterminer d'autres raisons derrière cet incident et dépêcher une équipe multidisciplinaire pour établir un diagnostic global tout le long de l'oued afin d'évaluer l'ampleur des dégâts potentiels sur l'environnement. Il a été décidé ainsi de mobiliser, dans l'immédiat, l'ensemble des moyens et filiales du Groupe pour l'absorption des eaux polluées le long de l'oued, le traitement de toutes les flaques d'eau contaminées et le terrassement de certains tronçons qui feront l'objet de traitement par des unités spécialisées de l'entreprise, ajoute-t-on dans le communiqué. De même qu'il a été institué d'effectuer, durant une année entière, un contrôle périodique de la qualité des eaux souterraines via le matériel de la Sonatrach, en mobilisant ses laboratoires pour mener à bien cette mission. Pour ce faire, la société nationale procèdera au forage de puits d'appréciation dans la région où s'est produit l'accident. "L'ensemble des moyens ont été mobilisés pour pallier les séquelles de cet incident et la situation est totalement sous contrôle", assure la Sonatrach. Le Groupe public avait fait état, vendredi soir dans un communiqué, de deux fuites de pétrole survenues, jeudi, au niveau du pipeline OK1 dans la région d'El Baaj (El Oued), reliant le bassin rouge (Hassi Messaoud) et Skikda, rassurant que des équipes techniques spécialisées de Sonatrach avaient procédé, dès les premières heures de la journée de vendredi, à une opération d'absorption de la quantité de pétrole répandue, et entamé les travaux d'entretien au niveau de la partie endommagée par les inondations. La Sonatrach a indiqué que les mauvaises conditions météorologiques qui ont touché les régions du sud seraient à l'origine de ces fuites. La première fuite a été enregistrée à la sortie de la station de pompage SP2 à Djaamaa, dans la commune d'El Oued, point 190 + 200 (PK), contrôlée par les équipes de maintenance de Sonatrach, a indiqué le communiqué, affirmant que des travaux d’entretien sont en cours. La deuxième fuite a été, quant à elle, enregistrée au point PK 263 dans la région d'Al-Baaj, dans la wilaya déléguée d'El M'gheir. Le document note que la compagnie a procédé à l'isolement des deux points kilométriques (PK) 233 et (PK) 264+300 et a mis en place toutes les mesures nécessaires pour contrôler la situation, dont l'arrêt provisoire de pompage via cet oléoduc. Des équipes techniques spécialisées "ont été mobilisées pour la réparation des dégâts, et ce, dans les plus brefs délais, tout en assurant la sécurité des individus et des installations, et en tenant compte de la préservation de l'environnement", a assuré le Groupe Sonatrach.......................................................................................................................................... --Les doléances des éleveurs et agriculteurs affectés par la fuite survenue jeudi sur l’oléoduc OK1 au niveau de la région de Chahmi, localité d’El-Bâadj, commune d’Oum-Tiour (170 km Ouest d’El-Oued) seront « prise en charge » a rassuré samedi, le ministre de l’intérieur, Kamel Beldjoud.Le ministre a précisé qu’une enquête administrative approfondie sera enclenchée pour déterminer les circonstances et les cause de l’incident. Le ministre de l’intérieur, accompagné de ses collègues de l’énergie, de l’environnement, des ressources en eau et de l’agriculture, a assuré que des équipes techniques spécialisées relevant du groupe Sonatrach sont à pied d’œuvre et travaillent sans relâche depuis l’apparition de la fuite pour réparer l’oléoduc dans les 48 heures, endiguer « les éventuels risques et dissiper les appréhensions de la population. » S’agissant de l’enquête, il a déclaré que « des commissions seront dépêchées (ce dimanche), pour mener une enquête technique spécialisée au niveau de tous les secteurs concernés par cet incident et œuvreront, avec l’appui de citoyens et sur la base de leurs préoccupations, en vue de déterminer les responsabilités et les risques ainsi que les solutions radicales à apporter Ces rapports permettront d’établir les listes des agriculteurs et éleveurs affectés par cet accident en vue de prendre en charge leurs préoccupations………………………………………………………………………………………………………
  • 03-09-2020
    - La Sonatrach a annoncé jeudi 3/9 soir l'arrêt du pompage sur l'oléoduc Haoud El Hamra (Hassi Messouad)-Skikda en raison des fuites survenues à hauteur des deux stations Djammaa et Meghier dans la wilaya d'El Oued. Dans un communiqué le groupe pétrolier indique que cette mesure a été prise suite à ces fuites signalées sur l'oléoduc OK1 reliant Haoud El Hamra (Hassi Messouad) à Skikda dans la wilaya d'El Oued, l'une au niveau de la station de pompage SP2 de la commune de Djamaa et du PK 362 dans la commune d'El Meghaïer. A l'origine de ces fuites les fortes pluies orageuses qui se sont abattues sur cette région provoquant le débordement du cours d'eau. Le groupe Sonatrach précise que ses équipes ont réussi à maîtriser l'incident et elles travaillent pour la réparation des dégâts occasionnés.