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Communication ( et Presse)

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  • 26-08-2024
    -Le Mali a suspendu plusieurs médias français depuis 2022. LCI vient de s’ajouter à la liste pour « des propos de dénigrement, des affirmations gratuites et de fausses accusations », d’après les autorités maliennes. Au Mali, les autorités ont suspendu la diffusion de la chaîne de télévision française LCI pour 60 jours, comme annoncé par la Haute Autorité de la Communication. « Les services de la télévision LCI sont retirés des bouquets de tous les distributeurs de services de radiodiffusion sonore ou télévisuelle autorisés au Mali pour une période de 2 mois » lit-on dans le communiqué. La HAC reproche à la chaîne « des propos de dénigrement, des affirmations gratuites et des fausses accusations d’exactions contre les forces armées maliennes et leurs partenaires russes ». Ces accusations sont liées à l’émission « Wagner décimé au Mali : la main de Kiev » diffusée par LCI le 27 juillet. L’invité, le colonel Michel Goya (photo), a également selon la HAC, appelé à « soutenir ouvertement le terrorisme sous prétexte de soutenir l'Ukraine contre la Russie ». LCI avait déjà été suspendue en juin 2023 au Burkina Faso, pays membre de l’Alliance des Etats du Sahel avec le Mali et le Niger, qui ont tous suspendu RFI et France 24, ainsi que plusieurs autres médias français.
  • 22-08-2024
    -Entre juin et août 2024, l’Institut marocain d’analyse politique a réalisé un sondage sur la liberté d’expression des médias dans le pays. D’après 48% de la population, les médias ne sont pas totalement libres et subissent l’influence des autorités. Au Maroc, près de la moitié de la population doute de la liberté d’expression des médias. C’est ce que conclut une enquête réalisée par l’Institut marocain d’analyse politique (MIPA) entre juin et août 2024, et reprise par plusieurs médias locaux ces dernières heures. Selon 48% des personnes sondées, les médias ne peuvent pas exercer pleinement leur rôle sans subir l’influence des autorités. « Ces chiffres révèlent une inquiétude palpable concernant l’autonomie des médias et leur capacité à informer en toute liberté » commente le MIPA dans son rapport. En janvier dernier, le Parlement européen a critiqué l’influence des autorités marocaines sur les médias du royaume chérifien. Dans un texte non contraignant, les députés européens leur ont demandé de « respecter la liberté d’expression et la liberté des médias ». De son côté, le MIPA a aussi interrogé les sondés sur la nécessité d’une influence de l’Etat sur les médias. 7% des sondés jugent justifiées certaines restrictions pendant que 33% s’opposent fermement à toute forme d’influence sur le travail des médias. Le reste des personnes interrogées a déclaré ne pas avoir d’avis sur la question. Dans le dernier rapport de l’ONG Reporters Sans Frontières sur la liberté de la presse dans le monde, le Maroc est passé de la 144ème à la 129ème place mondiale.
  • 07-08-2024
    -Décret exécutif n° 24-250 du 17 Moharram 1446 correspondant au 23 juillet 2024 fixant les dispositions du cahier des charges générales imposables aux services de communication audiovisuelle (JOradp n°53 du 7 août 2024)
  • 06-08-2024
    -Le conseiller du président de la République, chargé de la Direction générale de la communication, Kamel Sidi Saïd, a présidé, au siège de la Télévision algérienne, l'installation de Adel Salakdji au poste de Directeur général par intérim de l’EPTV en remplacement de Nadir Boukabes, a annoncé la Télévision algérienne sur son site officiel.
  • 05-08-2024
    -Une convention de partenariat a été signée, ce lundi à Alger, entre l'Entreprise nationale de communication, d'édition et de publicité (ANEP), et la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires d'Alger (SGSIA), pour "l'échange d'expertises et la création d'un environnement idoine pour faire face aux défis du marché du travail", indique un communiqué de l'ANEP.