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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Vendredi 19/08/2023

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-«Semestre noir pour les entreprises espagnoles» qui ont vu leurs «ventes à l'Algérie chuter de 816 millions d'euros», lors des six premiers mois de l'année, et ce, «en raison du virage de Sanchez sur la question du Sahara occidental», affirme un article économique du quotidien espagnol «OK Diario» publié vendredi dernier. «Semestre noir pour les entreprises espagnoles exportant vers l'Algérie, qui a imposé un veto commercial à l'Espagne après la décision de Pedro Sánchez, Premier ministre par intérim, de changer la position traditionnelle du pays sur le Sahara occidental et de s'aligner sur les thèses du Maroc», selon l'article. «Sur les six premiers mois de l'année, les ventes à l'Algérie ont chuté de 816 millions d'euros alors que les exportations vers le Maroc n'ont augmenté que de 324 millions», produisant ainsi un «solde négatif pour l'Espagne et ses entreprises exportatrices de fer, d'acier, de carton et d'automobile», ajoute la même source citant des données statistiques de «Icex». Avec plus de détails, «OK Diario» précise que durant la période considérée, «les ventes vers l'Algérie se sont limitées à 95,4 millions, soit à peine 15 millions par mois, contre 911 millions au premier semestre 2022. C'est 90% de moins et de nombreux emplois sont en jeu». Le journal électronique considère, par ailleurs, que si «les relations commerciales avec le Maroc se sont améliorées», elles «n'ont pas pu couvrir les pertes subies en Algérie». En effet, ajoute la même source, «de janvier à juin, les entreprises espagnoles ont vendu 6.291 millions d'euros au Maroc, soit 5% de plus que les 5.967 millions de 2022, ce qui correspond à 324 millions de plus». La publication note que durant cette année (juin 2022 à juin 2023), «les exportations espagnoles vers l'Algérie ont été réduites de 1.640 million d'euros au total». Elle rappelle qu'en juin dernier, «exactement un an s'est écoulé depuis que le gouvernement algérien a décidé de rompre le traité d'amitié avec l'Espagne en raison de la tournure (du gouvernement Sanchez, ndlr) sur le Sahara et d'opposer son veto à toutes sortes de commerce avec l'Espagne, à l'exception du gaz, qui continue d'atteindre Almería via le gazoduc Medgaz», (?) «quoique dans une moindre mesure en raison de la fermeture de l'autre gazoduc (GME, Gazoduc Maghreb-Europe, ndlr). «OK Diario» considère que le bilan de la décision de Sánchez «est négatif pour une partie des entreprises espagnoles, qui ont vu le marché algérien fermé», rappelant que le Premier ministre par intérim «a passé quelques jours en vacances privées cet été au Maroc».......................................................................... -Les participants au 6ème forum des médias BRICS ont souligné, ce samedi à Johannesburg, l’importance de cette rencontre annuelle qui constitue une plate-forme pour la promotion de la voix des BRICS dans le monde, appelant à la création de multiples mécanismes médiatiques pour promouvoir la vision du groupe, le dialogue avec ses partenaires et l’échange culturel. "Nous œuvrons pour un modèle de dialogue ouvert et inclusif avec les différentes civilisations, et ce en harmonie avec les valeurs du fondement du Groupe BRICS ayant pour objectif le développement d’un partenariat et d’une coopération basés sur le principe de solidarité et défendant les valeurs d’un monde multipolaire beaucoup plus juste", ont estimé des intervenants représentant l’agence chinoise de presse Chine nouvelle (Xinhua), organisatrice de ce forum, marqué par la participation de médias des pays de ce groupe, de dirigeants de médias et institutions publics de pays africains, dont l’Algérie représentée par l’ Agence nationale d’information (« Algérie Presse Service ») et le quotidien le « Jeune Indépendant »................................................ -L’Algérie "regrette profondément" que le recours à la violence ait pris le pas sur la voie d’une solution politique négociée au Niger, à un moment où l’intervention militaire dans ce pays se précise, a indiqué ce samedi le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger dans un communiqué. "A un moment ou l'intervention militaire au Niger se précise, l’Algérie regrette profondément que le recours à la violence ait pris le pas sur la voie d’une solution politique négociée rétablissant pacifiquement l’ordre constitutionnel et démocratique dans ce pays frère et voisin", précise le ministère dans son communiqué. L’Algérie "demeure, en effet, animée d’une forte conviction que cette solution politique négociée demeure encore possible, que toutes les voies qui peuvent y conduire n’ont pas été empruntées et que toutes ces possibilités n’ont pas été épuisées", ajoute la même source. Le ministère souligne que "l’histoire de notre région enseigne abondamment que les interventions militaires ont été porteuses d’un surcroît de problèmes que de solutions et qu’elles ont été des facteurs supplémentaires d’affrontements et de déchirements plutôt que des sources de stabilité et de sécurité". "Avant que l’irréparable ne soit commis, et avant que la région ne soit prise dans l’engrenage de la violence dont nul ne peut prédire les conséquences incalculables, l’Algérie appelle toutes les parties à la retenue, à la sagesse et à la raison qui toutes commandent de redonner résolument la plus haute priorité à l’option politique négociée à la crise constitutionnelle actuelle épargnant ainsi au Niger frère et à l’ensemble de la région des lendemains lourds de menaces et de périls dont notamment un regain de vigueur et d’agressivité du terrorisme et des autres formes de criminalité qui affectent gravement la région", conclut le communiqué.