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Communication ( et Presse)

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  • 28-08-2021
    -Samir Gaid a été installé samedi dans ses nouvelles fonctions de Directeur général de l'Agence Algérie Presse Service (APS) en replacement de Fakhreddine Beldi. "Dans le cadre de la réorganisation du secteur, le ministre de la Communication, Pr. Ammar Belhimer a procédé, samedi 28 août 2021, à l'installation de Samir Gaid au poste de Directeur général de l'Agence Algérie Presse Service (APS), en remplacement de Fakhreddine Beldi",lit-on dans le communiqué, Le nouveau DG de l'APS est journaliste et a occupé le poste de directeur régional Ouest de l'APS à Oran", indique un communiqué du ministère de la communication.
  • 25-08-2021
    - Le rapport de la société américaine "Graphika" sur l'Algérie, qui est une "évidente" ingérence", cherche à créer une nouvelle agitation malsaine" dans la vie politique du pays, a estimé l'universitaire Ahmed Bensaada, soulignant qu'actuellement l'Algérie est sous le feu nourri d’une guerre de quatrième génération.Dans une étude publiée dimanche 22 août 2021 dans la revue Afrique-Asie, sous le titre "Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l’Algérie", M. Bensaada a souligné que le rapport de ladite société spécialisée dans l'analyse de réseau, qui est "une évidente ingérence dans la politique intérieure de l’Algérie cherche à créer une nouvelle agitation malsaine dans la vie politique du pays".M. Bensaada s'interroge sur le timing du rapport Graphika, estimant qu'"il est quand même étrange que sa publication intervienne juste après le scandale Pegasus qui a ciblé l’Algérie. De victime, l’Algérie est présentée comme coupable par Graphika", a-t-il souligné. "Pourquoi l’Algérie? Pourquoi maintenant? Quel est le but recherché? Qui a commandé l’étude? Qui l’a financée? Et qui a collaboré avec eux pour leur fournir les détails nécessaires?", s'est questionné l'auteur de l'étude, ajoutant que si "Graphika s’est intéressée à l’Algérie, c’est que ce pays représente un enjeu géostratégique important pour les Etats-Unis". Le chercheur a révélé également qu'en plus de "l’institution présidentielle, c’est l’institution militaire algérienne qui a été dénigrée", par le rapport Graphika, en estimant que l'Algérie, comme tous les pays du monde, "a ses institutions étatiques et s’exprime dans les médias qu’elles jugent adéquats à son message".Il a estimé dans la même étude que le rapport de Graphika critique le "droit à l’institution militaire de faire des reportages sur les ‘fake news’ et de dénoncer les agissements de certains groupes qui menacent la sécurité et la souveraineté de l’Algérie".Pour ce qui est des conclusions tirées de cette étude, l'universitaire a affirmé que "des sites jugés "indésirables" sont supprimés sur recommandation de Graphika qui fait de la politique et non de l'analyse de réseaux", selon Bensaada."La démarche constitutionnelle adoptée par l’Etat algérien pour sortir de l’impasse ne plait pas à Graphika", conclut l'étude d'Ahmed Bensaada, ajoutant que la même société américaine "supporte la politique du "Yetnahaw Gaa" prônée en particulier par les Ongistes, formés et financés par les organismes américains d’"exportation" de la démocratie."Graphika se positionne, selon la même étude, "contre les institutions de l’Etat algérien et soutient les groupes cités précédemment", dont deux sont considérés comme des organisations terroristes.Le réseau social Facebook "encourage" les manifestations en ligne pour ceux qui militent pour la phase de transition en Algérie, mais ferme les comptes de ceux qui soutiennent la démarche constitutionnelle, affirme encore la même étude. Par ailleurs, l'étude de l'universitaire Ahmed Bensaada est revenue longuement sur le rôle de ces organismes américains d’"exportation" de la démocratie, dans le chaos qui prévaut aujourd'hui dans plusieurs pays arabes.L'étude a mis l'accent aussi sur les sources de financement de ces ONG, dirigées par des hommes politiques influents et des membres des grandes agences du renseignement américain, dont la société Graphika qui est financée par "des entités directement ou indirectement reliées à l’administration américaine, à l’administration britannique, à l’OTAN ", est-il souligné.
  • 24-08-2021
    -L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a adressé, ce mardi, "un avertissement sévère" à l'Entreprise publique de télévision (EPTV) suite à une faute grave commise par le présentateur du bulletin d'information de la matinée du 24 août. "Lors de la diffusion par l'EPTV du bulletin de la matinée du 24 août 2021 annonçant le procès des accusés dans l'affaire du chahid Djamel Bensmain, une faute grave a été commise par le présentateur qui a qualifié une région du pays de terroriste", précise le communiqué de l'ARAV. L'ARAV considère cette faute "comme un manquement impardonnable notamment en cette conjoncture exceptionnelle et sensible que connait le pays et qui requiert davantage de discernement et de clairvoyance dans le traitement de tels sujets d'autant que l'Algérie est sujette à une campagne féroce sans précédent visant sa sécurité et son unité". Par conséquent, l'Autorité de régulation de l'audiovisuel souligne "avoir adressé un avertissement sévère à l'EPTV et espère que les mesures disciplinaires appropriées soient prises à l'encontre des responsables de cette faute". Elle a rappelé à ce propos qu'"elle met toujours en garde contre de tels dérapages qui pourraient entrainer de graves conséquences", affirmant "l'impératif de respecter les règles d''éthique et de déontologie professionnelles". L'ARAV sera intransigeante face à de telles bévues qu'elles émanent des institutions médiatiques audiovisuelles publiques ou privées", ajoute la même source. Consciente de son erreur, la direction de l’ENTV a réagi sur son site internet et sur sa page facebook en s’excusant officiellement de cette erreur et a promis des sanctions disciplinaires contre l’auteur de cette bourde monumentale.
  • 23-08-2021
    -Le ministère de la communication a décidé le retrait de l’agrément de la télévision privée El Bilad TV et la suspension de la diffusion de ses programmes pour une semaine sur recommandation de l’autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV). La décision de suspension sera applicable à partir du 24 août à minuit. Selon le communiqué conjoint de l’ARAV et du ministère de la Communication la chaine privée El Bilad TV ne dispose pas de filtres protégeant les enfants. Pis, la chaine est coupable d’avoir diffusé en boucle les vidéos de la mort atroce de Djamel Bensmail. Une infraction, selon le communiqué du ministère aux « engagements légaux et éthiques de la chaine de télévision ». Le communiqué conjoint rappelle les professionnels des médias audiovisuels sur la nécessité de « protéger les enfants durant cette période de confinement des contenus susceptibles de le mettre en danger ». Une mise en garde, affirme-ton, qui leur a déjà été adressé en date du 02 juin dernier. Pour rappel, les mêmes autorités avaient décidé le 16 aout dernier la fermeture définitive de la télévision privée Lina TV. Le département de Ammar Belhimer avait affirmé alors que « la chaine qui ne dispose pas d’agrément ni d’autorisation d’émission dans le secteur de l’audiovisuel ». Le ministère de la Communication a ordonné, de ce fait, « la fermeture immédiate et définitive » de la chaine.
  • 16-08-2021
    -Le ministère de la Communication a décidé ce 16 août la fermeture « immédiate » et « définitive » de la chaine de télévision Lina TV. Dans un communiqué publié sur sa page facebook , le ministère de la communication affirme que « la chaine qui ne dispose pas d’agrément ni d’autorisation d’émission dans le secteur de l’audiovisuel ». Le ministère de la Communication ordonne, de ce fait, « la fermeture immédiate et définitive » de la chaine. Le ministère de la communication ajoute que cette décision, émane du ministère mais aussi de l’autorité de régulation de l’audiovisuel ARAV et saisi « les autorités compétentes pour appliquer incessamment cette décision ». Pour rappel, Lina TV a été lancé le 1 octobre 2020, en diffusion expérimentale sur le satellite NileSat. La télévision qui avait choisi le slogan «Télévision lina ou likoum» (une télévision pour nous et pour vous) est une chaîne privée dirigée par Samir Boudjadja, ancien responsable à Echourouk TV et El Djazairia. « Lina TV est une chaîne généraliste destinée à tous les Algériens et à la région maghrébine, ambitionne d’apporter un plus visuel et culturel à travers des programmes variés qui expriment la diversité et la richesse du patrimoine culturel algérien », était-il souligné dans le communiqué du lancement. Ses initiateurs la voulait une chaine de débat interactif qui contribuera à « construire une conscience chez le téléspectateur » en phase avec les ambitions des algériens. Lina TV rassemble des journalistes et présentateurs connus de l’espace audiovisuel algérien comme Leila Bouzidi, Rochdi Redouane et Younes Saber Chérif.
  • 12-08-2021
    -Le tribunal de Tamanrasset, a annoncé ce jeudi 12 aout son verdict dans le procès du journaliste Rabah Karèche. Le journaliste écope d’une peine d’un an de prison, dont 8 mois ferme. Il reste en prison. Le journaliste Rabah Karèche est en prison depuis le 19 avril dernier. La chambre d’accusation près la Cour de Tamanrasset avait confirmé le mardi 27 avril 2021 sa mise en détention provisoire par le tribunal de la même ville le 19 avril dernier. Rabah Kareche est accusé de «et gestion d’un compte Facebook pour publication d’informations ayant pour but racisme et haine dans la société », de la « publication et diffusion au public de fausses informations pouvant porter atteinte à la sécurité et ordre public » et de « travailler avec n’importe quel moyen pour atteinte à l’unité nationale en dehors des articles 77 et 78 du code pénal ». Le procès du journaliste Rabah Karèche s’est ouvert jeudi dernier dans la ville de Tamanrasset. Plusieurs témoins avaient affirmé à la barre que le journaliste a rapporté fidèlement leur propos. Ils ont également assuré que ce sont eux qui ont contacté le journaliste. Les journalistes qui couvraient le procès à Tamenrasset rapportent que les articles du journaliste ont été traduits à l’aide de Google traduction. Cette traduction intégrale a modifié le sens des écrits du journaliste. Le journaliste Rabah Kareche a été interrogé par le procureur de la république sur ses articles et la formulation de ses titres. Le parquet avait requis, lors de son procès, une peine de trois ans de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 DA. Convoqué le 18 avril 2021, le correspondant du quotidien Liberté à Tamanrasset a été placé en garde à vue avant d’être présenté le lendemain matin au Procureur de la république. Son dossier a ainsi été déféré devant le juge d’instruction qui a ordonné son incarcération. Il avait été maintes fois auditionné par la police après la publication de trois articles sur des affaires concernant des policiers au niveau local, qu’il a ensuite partagés sur Facebook. Les écrits en question ont été publiés par Liberté durant la période allant du 17 octobre 2020 au 10 janvier 2021. Le 01 février dernier, il déclarait que « sur ordre du procureur de la République près le tribunal de Tamanrasset, j’étais convoqué, aujourd’hui, lundi 1er février 2021, par le bureau de la lutte contre la cybercriminalité de la police judiciaire de Tamanrasset pour m’auditionner au sujet de trois articles de presse publiés par Liberté, puis partagés sur ma page Facebook ». Selon lui, l’interrogatoire, qui duré de 9h45 à 16h05, « a été axé sur ses principales sources et sur le fait de publier des informations relatives aux « ‘affaires en cours d’enquête » ». Son incarcération a suscité la solidarité mais surtout l’indignation de citoyens et de ses confrères. Dans un communiqué, le quotidien avait exigé sa libération, estimant que qu’il s’agit « d’accusations fallacieuses qui cachent mal une volonté de faire taire le journaliste et l’empêcher d’accomplir en toute objectivité son travail ». Les journalistes étaient nombreux à témoigner de son « sérieux et son professionnalisme », affirmant qu’il était emprisonné pour ses écrits. Des citoyens à Tamanrasset, relayés par Liberté, le comité « Smaâna » créé pour soutenir Khaled Drareni et exiger le respect de liberté de la presse ou encore d’autres correspondants ont dénoncé son arrestation, son « harcèlement » puis sa mise en détention provisoire. Un sit-in de solidarité avec le journaliste Rabah Karèche a été observé le dimanche 25 avril 2021 devant le siège du quotidien Liberté. Ses confrères ont exigé sa remise en liberté et la levée des obstacles à l’exercice du métier de journaliste.
  • 03-08-2021
    -Le ministre de la Communication, Ammar Belhimer a affirmé, mardi, que le scandale d'espionnage israélo-marocain via le logiciel Pegasus était "une preuve de plus que nul n'est à l'abri de la cybercriminalité", soulignant que la lutte contre ce type de crimes figurait parmi les priorités de son programme d'action. "Le scandale d'espionnage israélo-marocain via le logiciel Pegasus est une preuve de plus que nul n'est à l'abri de la cybercriminalité dont les auteurs sont des individus ou des parties sans scrupules", a indiqué M. Belhimer dans un entretien accordé au journal électronique "Sirmanews".
  • 01-08-2021
    -Abrous Outoudert est installé Directeur de la publication -Gérant de « Liberté » (Quotidien francophone appartenant en majorité à Isaad Rebrab) alors que Hassane Ouali demeure Directeur de la rédaction