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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Mercredi 22/07/2021

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-Réagissant à l'utilisation par le Maroc du logiciel d’espionnage "Pegasus" contre des responsables et citoyens algériens, l'Algérie a exprimé ce jeudi sa "profonde préoccupation" et condamne "vigoureusement cette inadmissible atteinte systématique aux droits de l’homme et libertés fondamentales". "L’Algérie exprime sa profonde préoccupation suite aux révélations émanant d’un consortium de nombreux organes de presse de grande renommée professionnelle et faisant état de l’utilisation à large échelle par les autorités de certains pays, et tout particulièrement par le Royaume du Maroc, d’un logiciel d’espionnage dénommé Pegasus contre des responsables et citoyens algériens, ainsi que des journalistes et des défenseurs des droits de l’homme à travers le monde", selon une déclaration du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger. "L’Algérie condamne vigoureusement cette inadmissible atteinte systématique aux droits de l’homme et libertés fondamentales qui constitue également une violation flagrante des principes et normes régissant les relations internationales", ajoute la même source, affirmant que "cette pratique illégale, malvenue et dangereuse, met en péril le climat de confiance qui doit présider aux échanges et interactions entre les responsables et représentants des Etats". "Etant directement concernée par ces attaques, l’Algérie se réserve le droit de mettre en œuvre sa stratégie de riposte et se tient prête à participer à tout effort international destiné à établir collectivement les faits et à faire la lumière sur la matérialité et l’ampleur de ces crimes qui menacent la paix et la sécurité internationales, ainsi que la sécurité humaine", souligne le communiqué. "Toute impunité constituerait un précédent extrêmement dommageable à la conduite de relations amicales et de coopération entre les Etats conformément au droit international", conclut la même source………………………………………………………………… -Israël a obtenu le statut d'observateur à l'Union africaine (UA), qu'il réclamait depuis des années, a appris l'AFP jeudi 22 juillet auprès des deux parties. L'ambassadeur israélien Aleli Admasu a présenté jeudi ses lettres de créances au président de la Commission de l'UA, Moussa Faki Mahamat, selon des communiqués de l'organisation panafricaine et de la diplomatie israélienne. «Cela corrige une anomalie qui a perduré pendant près de deux décennies et représente une partie importante du renforcement des relations extérieures d'Israël», s'est félicité dans un communiqué le ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid. Israël entretient des relations avec 46 pays africains «et a des partenariats de grande ampleur et des coopérations dans de nombreux domaines, y compris le commerce et l'aide», selon le texte. Israël avait ce statut d'observateur au sein de l'Organisation de l'unité africaine (OUA) jusqu'à sa transformation en Union africaine en 2002. La Palestine bénéficie déjà de ce statut d'observateur à l'UA, où elle compte d'importants soutiens, notamment dans le conflit israélo-palestinien. En mai, Moussa Faki avait «condamné fermement» les «bombardements» israéliens dans la bande de Gaza ainsi que «les actions de l'armée israélienne, y compris les évictions illégales, continues et par la force de Palestiniens de leurs foyers à Jérusalem-Est (...) en flagrante violation du droit international». Dans son communiqué jeudi, le président de la Commission souligne que l'UA «a été très claire sur sa position selon laquelle, dans la question de la Palestine et d'Israël, une solution à deux Etats est nécessaire à une coexistence pacifique».