Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Population

Mois du 07/2021

<< juillet 2021 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
26 27 28 29 30 1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30
31 1 2 3 4 5 6



  • 22-07-2021
    - Partis dans la nuit du mardi depuis Tipaza 26 harraga algeriens dont trois femmes ont été sauvés d'une mort certaine par les garde-côtes espagnols et évacués la nuit dernière au port d'Almeria, rapportent jeudi plusieurs médias locaux. Les harraga avaient pris départ de Tipasa à bord d'une embarcation vers 2h30 du matin du mardi en direction des côtes espagnoles. À l'approche des îles espagnoles de Baléares l'embarcation s'est retrouvée sous l'emprise d'une mer trés agitée avant que la garde civile espagnole ne soit alertée et lance les opérations de sauvetage qui ont duré plusieurs heures. Fort heureusement tous les disparus ont été retrouvés sains et saufs et emmenés au port d'Almeria.
  • 17-07-2021
    -« Les autorités algériennes ont rejeté une demande les autorités françaises de renvoyer 252 immigrés clandestins, entrés illégalement sur le territoire français ».En effet, d’après le quotidien français Le Parisien qui a rapporté le nouvelle vendredi 17 juillet 2021 , une partie de ces 252 algériens, qui ont en moyenne 36 ans, tente de passer par cette procédure pour rentrer coûte que coûte en Algérie .La demande a été rejetée par les autorités algériennes invoquant les motifs sanitaires, ont indiqué vendredi à l’Afp les autorités françaises de l’immigration. Ces 252 ressortissants algériens, toujours en attente, se sont rapprochés de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) ces dernières semaines pour bénéficier de ce « retour volontaire », qui permet à des sans-papiers de retourner dans leur pays d’origine, en s’engageant à ne plus revenir en france, avec un pécule (650 euros par personne pour les Algériens), un billet d’avion réservé par le France et, éventuellement, une aide financière à la réinsertion dans le pays de départ. « les harragas ne sollicitent même pas d’aides financières ….. le problème, c’est que ces algériens, qui veulent rentrer et sollicitent le retour volontaire, sont empêchés de rentrer chez eux par l’Algérie, qui refuse de nous les reprendre. C’est le seul pays avec lequel on a ce problème », observe Didier Leschi, le patron de l’Ofii. Il en veut pour preuve que la majorité d’entre eux ne sollicitent pas l’aide financière à le réinsertion, qui peut s’élever à plusieurs milliers d’euros, mais uniquement rentrer au pays.Ce blocage les autorités algériennes, « avec lesquelles on n’arrive pas à avoir d’interlocuteur pour ces retours volontaires », plonge les ressortissants algériens en France « dans l’incompréhension, l’agressivité; parce que c’est nous qui prenons les billets, ils pensent donc que nous essayons de les bloquer », poursuit le directeur général de l’Ofii.
  • 12-07-2021
    -Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra a reçu lundi des députés à l’Assemblée populaire nationale (APN) représentant la communauté nationale établie à l’étranger. Au terme de l’audience qui s’est déroulée au siège du ministère des Affaires étrangères, le député Fares Rahmani a salué dans une déclaration à la presse la décision du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune de changer l’appellation du ministère en ajoutant la communauté nationale à l’étranger, affirmant que cette décision «dénote l’intérêt accordé par les autorités suprêmes du pays aux membres de la communauté algérienne». De son côté, le député Bekhedra Mohamed a précisé que cette rencontre était une occasion pour «transmettre les préoccupations les plus importantes de la communauté nationale à l’étranger, en tête desquelles l’examen d’une éventuelle réouverture totale des frontières avec le respect des mesures de prévention en adéquation avec la crise sanitaire actuelle», soulignant que «les circonstances actuelles sont favorables à la prise de telles décisions, la majorité des membres de la communauté ayant une culture sanitaire et se sont faits vacciner contre la Covid-19». Les représentants de la communauté à la chambre basse du Parlement ont soulevé, ajoute l’intervenant, «le problème de cherté des billets d’avion», en sus de «l’intégration des compétences algériennes, établies à l’étranger, dans les administrations algériennes à travers la création des postes d’emploi à leur profit».
  • 08-07-2021
    -Plusieurs associations françaises, dont le comité intermouvements auprès les évacués (Cimade), on publié, avant-hier, un rapport dans lequel a été dévoilé le nombre d’Algériens qui se trouvent en détention dans les Centres de rétention administratifs (Cra) en France. Selon ce rapport, ils sont plus de 1 000 algériens qui se trouvent dans les centres de rétention administratifs français (Cra), en cette année 2020. Le même source affirme que les 1 000 algériens se trouvent détenus parmi plus de 28 000 personnes étrangères.
  • 03-07-2021
    -Ils ont été 1100 harragas algériens à débarquer sur les côtes espagnoles en 4 jours. Une déferlante de début d’été record qui confirme largement les chiffres avancés sur le fait que l’immigration clandestine algérienne devient aussi importante que celle du Maroc, si l’on exclut la dernière vague sur Ceuta, plus ou moins encouragée par les autorités marocaines pour exercer une pression politique sur Madrid au sujet du dossier du Sahara Occidental. Selon Francisco Jose Clemente de l’ONG Heroes Del Mar, ils ont été 800 harragas Algériens à débarquer à Almeria sur les côtes Andalouses en 4 jours. Additionné aux 300 harrags qui ont “brûlé” vers les Baléares, Alicante, Cartagena et Motril, leur nombre a atteint les 1100 au cours des quatre derniers jours. Sur les 800 personnes qui ont tenté l’entrée clandestine par Almeria, 600 ont été interceptées par la Guardia Civil ou les gardes-côtes espagnols. Les 200 autres Harragas ont réussi à se faufiler dans le pays sans être interceptés. Quatre personnes, qui se trouvaient aux commandes de ces embarcations, ont été placées en garde à vue. Depuis le 23 juin, précise-t-on de même source, 1500 Algériens sont arrivés clandestinement en Espagne. L’ONG relève un fait notable nouveau: le nombre élevé de femmes et d’enfants parmi les migrants clandestins algériens. La majorité des personnes arrivées en territoire espagnol sont interrogées avant d’être soigné placé dans les centres de rétention pour étrangers (CIE) et relâché au bout de 48 ou 72h avec décision d’expulsion. 90% de ces décisions ne seront jamais appliqué, soulignent les médias espagnols. De même source, on souligne que le nombre de personnes arrivées récemment en Espagne sont contaminées au Covid-19. Ils ont été mis en quarantaine dans des centres de soins. Un rapport de la commission européenne publié en 2020 avait relevé que les Algériens empruntent de moins en moins la route marocaine pour rejoindre l’Espagne par la mer, comme c’était le cas depuis des années. Ces harragas partent désormais directement des plages algériennes. Selon Francisco José Clemente, 245 embarcations sont arrivées à Almeria depuis le début de l’année. Le bénévole alerte sur l’incapacité de son organisation à prendre en charge dignement cette « avalanche » d’arrivants qui se comptent, désormais par centaines, quotidiennement. Les Centros de Internamiento para Extranjeros (CIE) de Almeria étant déjà surchargés, les derniers arrivants ont été transférés vers Algesiras et Cartagena. Les espagnols sont de plus en plus convaincus que ces migrations ne sont plus le fait de groupes de personnes désespérés en quête d’un salut européen mais relèvent d’une activité lucrative de réseaux criminels organisés. Certains analystes espagnols disent craindre de faire face à « la pire vague d’immigration clandestine de ces 10 dernières années ». En 2020, l’Espagne a été la première destination des harraga algériens. Sur les 41 000 migrants arrivés en Espagne, 11 200 sont de nationalité algérienne, selon la police espagnole.