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Justice (et Droit)

Journée du Lundi 13/07/2021

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-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a pris mardi des mesures de clémence en faveur des candidats au bac placés en détention préventive pour fraude, lors des épreuves du baccalauréat, selon un communiqué de la Présidence Au total, c'est 60 personnes qui sont concernées par cette mesure de clémence prise par le président de la République, à l'occasion de la célébration de l'Aid El Adha, ils devraient retrouver leur famille d'ici la fin de semaine, ajoute le communiqué. ................................................ - -Abdelmalek Sellal, ancien Premier ministre et Arezki Baraki, ancien ministre des Ressources en Eau sous le Gouvernement Djerad, sont entendus mardi matin par le juge d'instruction de la chambre numéro trois du pôle économique du tribunal de Sidi M'Hamed, selon des sources judiciaires. L'audition, toujours en cours, porte sur des soupçons de corruption dans le secteur des Ressources en eaux, au moment où ces deux ex-ministres étaient en responsabilité et doivent répondre de chefs de "dilapidation de deniers publics" et "mauvais usage de la fonction". Pour rappel, Arezki Baraki, aprés avoir été limogé en février dernier par le président Tebboune, a été placé en détention provisoire depuis le 17 juin.......................................................................... --Selon le journal El Watan (Salima Tlemcani), l’affaire du jeune adjudant-chef Guermit Benouira, ancien secrétaire particulier du défunt chef d’état-major de l’Anp Gaïd Salah, ne cesse d’entraîner dans son sillage de hauts gradés de l’armée. Au moins une dizaine d’entre eux sont en prison et le dernier en date, le général-major Abdelhamid Ghriss, ex-secrétaire général du ministère de la Défense (2018-2021) a été placé en détention, la semaine écoulée, par le tribunal militaire de Blida (….) Après avoir fait l’objet d’une interdiction de quitter le territoire national, le général Ghriss a été placé sous mandat de dépôt par le tribunal militaire de Blida pour plusieurs chefs d’inculpation, parmi lesquels : «enrichissement illicite», «abus de fonction» et «détournement de deniers publics». Des faits qui remontent à la période où il était à la tête de l’une des plus importantes directions au ministère de la Défense, celle de l’organisation et de la logistique, mais aussi en tant que secrétaire général avec d’importantes prérogatives, qui le mettaient au centre de nombreux marchés et transactions militaires, et dans le premier cercle de feu Gaïd Salah. Des sources bien informées affirment qu’en plus d’être soupçonné de «faits de corruption», le général Ghriss est présenté comme «un acteur important» du réseau de généraux qui était derrière la guerre électronique menée sous le slogan «badissiya-novembriya» tout au long du hirak en 2019, pour tantôt attaquer des personnalités publiques et politiques, des militants du hirak ou même des hommes d’affaires, tantôt pour véhiculer des discours violents contre l’emblème amazigh(…) «Des équipements sophistiqués ont été utilisés à mauvais escient dans cette guerre qui a eu de graves répercussions sur les institutions de l’Etat», précisent nos sources. Au cœur de ce réseau, de nombreux officiers supérieurs, actuellement en détention, dont le premier est le général Wassini Bouazza, ex-directeur général de la Sécurité intérieure, arrêté en avril 2020, suivi par ses collaborateurs directs, dont le général Nabil, ex-patron de la DCSA (Direction centrale de la Sécurité de l’armée). A tort ou à raison, les placements sous mandat de dépôt se sont multipliés pour cibler le général Kamel Belmiloud, ex-patron de la DCSA. Au mois de mars dernier, c’est le puissant général-major Abdelkader Lechkhem, directeur central des transmissions, qui a, nous dit-on, pesé de tout son poids pour placer Guermit Benouira comme secrétaire particulier du chef d’état-major, dans le but de «l’espionner» et «d’orienter» ses décisions et surtout d’aider le jeune adjudant à quitter le pays. Présenté devant le tribunal militaire de Blida, il a été placé en détention en mars dernier pour, entre autres, «enrichissement illicite», «abus de fonction», «dilapidation de deniers publics». L’enquête se poursuivra avec l’arrestation de plusieurs autres officiers supérieurs auxquels il est reproché le rôle qu’ils auraient joué, de près ou de loin, dans cette «guerre électronique» aux graves conséquences. C’est le cas du colonel Mesbah, détaché auprès de l’ex-ministre des TIC, Houda-Imane Feraoun (en détention), et qui coordonnait avec le général Lechkhem «toutes les opérations suspicieuses». D’ailleurs, son nom aurait été cité à plusieurs reprises dans le dossier, en instruction au tribunal de Sidi M’hamed, relatif à l’ex-ministre des TIC, mais à aucun moment il n’a été entendu. Après le général-major Lechkhem, c’était au tour du général-major Ali Akroum, qui dirigeait la puissante direction du matériel avant qu’il ne soit nommé, par feu Gaïd Salah, à la tête de l’une des directions les plus riches : organisation et logistique. Placé sous mandat de dépôt, le général Akroum est poursuivi pour, entre autres, «enrichissement illicite», «abus de fonction», «dilapidation de deniers publics» mais aussi pour «trafic d’influence» (…………………..) . A ce jour, la prison militaire compte près d’une trentaine de généraux et généraux-majors, ainsi que d’autres officiers de grade de colonel……………………………………………..