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Communication ( et Presse)

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  • 22-06-2025
    -La fusion (au départ progarmmée) des deux quotidiens francophones (le Peuple....goiuvernemental et Alger Républicain, tendance communiste) est réalisée. Le coup d’état du 19 juin a certes bouleversé le plan oinitial mais El Moudjahid va quand même naître. « Son premier numéro paraîtra demain mardi 22 juin 1965 ». Ainsi annonçait le quotidien le Peuple dans sa dernière édition datée du 21 juin 1965. «Il s’appellera El Moudjahid», a décrété le défunt président Houari Boumediène, selon un témoignage de Rafik Bey-Bensaci, le premier directeur de la publication naissante El Moudjahid. Ainsi commença la nouvelle aventure médiatique. Le 22 juin 1965, paraîssait le premier numéro d’El Moudjahid ................................... - L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRA) a vigoureusement dénoncé, ce dimanche dans un communiqué, la recrudescence du discours médiatique trompeur, "empreint de surenchère suspecte", visant à impliquer l'Algérie dans des analyses infondées, appelant les médias nationaux à ne pas se laisser entrainer par "ces campagnes de désinformation et illusions propagandistes". L'ANIRA a indiqué suivre "avec une vive inquiétude et un profond mécontentement, la montée du discours médiatique trompeur, empreint de surenchère suspecte, notamment à travers plusieurs sites électroniques". Elle a, dans ce cadre, précisé que "des données fallacieuses et des contenus trompeurs circulent au sujet des contextes régional et international, impliquant l'Algérie dans des analyses et spéculations sans fondement, à travers un discours s'inscrivant clairement dans les outils des guerres de quatrième et cinquième génération, reposant sur des suppositions sans aucune base ni source fiable". Partant de ses prérogatives légales, l'ANIRA a vigoureusement condamné "ce type d'intimidation artificielle et malveillante", appelant à ne pas se laisser entrainer par "ces contenus tendancieux, dépourvus des normes professionnelles les plus élémentaires, qui propagent des discours menaçant la tranquillité publique et troublant l'opinion nationale à travers une propagande ciblée au service d'agendas étrangers bien connus pour instrumentaliser la rumeur afin de saper le moral, éroder la confiance dans les institutions de l'Etat et semer la confusion parmi les citoyens". Elle a rappelé que " ce contenu, dépourvu des règles les plus élémentaires d'investigation et de vérification, constitue une violation flagrante du décret exécutif 24-250 fixant les dispositions du cahier des charges générales imposables aux services de communication audiovisuelle, notamment l'article 5 qui stipule que le service de communication audiovisuelle est tenu de respecter plusieurs principes, dont la souveraineté nationale, l'unité nationale, l'unité du territoire national, la sécurité et la défense nationales, l'ordre public, ainsi que les intérêts économiques et la politique extérieure de l'Etat algérien". Face à cela, l'ANIRA a affirmé qu'elle appliquerait "les dispositions de l'article 34 de la loi 23-20 régissant l'activité audiovisuelle, en cas de non-respect des clauses des cahiers des charges générales et spécifiques, en exposant les opérateurs de communication audiovisuelle à des poursuites administratives, conformément aux dispositions du chapitre VIII de ladite loi'. "En sa qualité d'autorité légalement habilitée à protéger l'espace audiovisuel contre toute dérive", l'ANIRA a appelé l'ensemble des établissements audiovisuels à "faire preuve de responsabilité et de grande vigilance, et à respecter l'objectivité et le rofessionnalisme dans le traitement de ces sujets sensibles, tout en veillant à une sélection rigoureuse d'analystes politiques reconnus pour leur compétence et leur objectivité, et à s'abstenir d'inviter des intervenants non qualifiés, dépourvus d'expérience ou en versant dans l'analyse émotionnelle et trompeuse". L'Autorité a également affirmé qu'elle "n'hésitera pas à prendre les mesures juridiques et réglementaires nécessaires contre tout établissement coupable de diffuser sciemment des discours alarmistes, et ce, en vue de préserver l'unité nationale, de respecter l'opinion publique et de garantir la crédibilité des médias nationaux". Elle a tenu à rappeler que "l'Algérie est forte de ses institutions et de son peuple et ne se laissera pas intimider par les campagnes de désinformation ni les illusions propagandistes", ajoutant que "les médias nationaux resteront un partenaire actif dans la défense des constantes nationales et au service de l'intérêt général".
  • 16-06-2025
    -La Direction Générale de la Communication de la Présidence de la République a démenti la tenue de toute entrevue médiatique entre le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune et des organes de presse étrangers, relayée par plusieurs comptes sur les réseaux sociaux. "Depuis quelques heures, plusieurs comptes sur les réseaux sociaux relaient une information selon laquelle le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, aurait accordé un entretien à des journaux français. Cette prétendue interview a été reprise par plusieurs sites de presse électronique, alors qu’il ne s’agit que d’une pure invention, fabriquée de toutes pièces par des comptes hostiles ayant eu recours à la technique du photomontage pour tromper l’opinion publique, tant nationale qu’internationale", a indiqué la Direction Générale de la Communication de la Présidence de la République dans un communiqué. "La Direction Générale de la Communication de la Présidence de la République dément formellement la tenue de tout entretien entre le Président de la République et des organes de presse étrangers. Elle condamne fermement ces pratiques scandaleuses et immorales rendues possibles par les nouvelles technologies de l’information et de la communication, utilisées par des mercenaires du mensonge opérant depuis l’ombre de leurs écrans", a-t-elle ajouté, appelant "l’ensemble des professionnels des médias, en Algérie comme à l’étranger, à faire preuve de rigueur et à vérifier l’authenticité de telles informations auprès de leurs sources officielles"................................ -Les diffusions de Radio France Internationale (RFI) et de la chaîne de télévision France 24 ont été suspendues hier au Togo pour trois mois par l'instance de régulation des médias, qui accuse les deux médias publics français d'avoir «relayé des propos inexacts et tendancieux», apprend-on hier des agences de presse. «Plusieurs émissions récentes ont relayé des propos inexacts, tendancieux, voire contraires aux faits établis, portant atteinte à la stabilité des institutions républicaines et à l'image du pays», indique la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC), dans un communiqué. Cette suspension intervient une dizaine de jours après des manifestations contre le pouvoir qui ont secoué la capitale Lomé. Pour rappel, cette suspension qui vient réduire un peu plus l'espace de diffusion en Afrique de l'Ouest de ces deux médias publics français, n’est pas la première du genre. Ces deux médias avaient été suspendus au Mali depuis 2022 puis au Burkina Faso et au Niger, depuis 2023.
  • 14-06-2025
    -L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRA) a appelé, samedi dans un communiqué, les établissements de communication audiovisuelle à cesser immédiatement l'exploitation illégale des œuvres protégées par des droits d'auteur, qualifiant ces pratiques de «non professionnelles et non éthiques». L'ANIRA a indiqué avoir «reçu une correspondance de l'Office national des droits d'auteur et des droits voisins (ONDA) faisant état de violations répétées de la part de certains établissements de communication audiovisuelle, qui, malgré les mises en demeure qui leur ont été adressées, continuent d'exploiter illégalement des œuvres protégées par des droits d'auteur, au mépris des lois et réglementations en vigueur, sans pour autant bénéficier de licences et sans s'acquitter des redevances financières dues». En effet, «certains établissements audiovisuels exploitent des œuvres protégées au mépris total des dispositions du cahier des charges générales imposables aux services de communication audiovisuelle et des conventions en vigueur, ce qui constitue une atteinte flagrante aux droits de propriété intellectuelle et une violation manifeste de l'article 75 de la loi 23-20 relative à l'activité audiovisuelle, ainsi que des dispositions de l'ordonnance 03-05 relative aux droits d'auteur et aux droits voisins», ajoute le communiqué. Soucieuse de «promouvoir un environnement professionnel sain dans le paysage audiovisuel», l'Autorité appelle les responsables des établissements audiovisuels à «cesser immédiatement de telles pratiques non professionnelles et non éthiques qui nuisent à l'image des médias nationaux et sapent leur crédibilité», insistant sur «la nécessité pour ces établissements de régulariser leur situation contractuelle vis-à-vis de l'ONDA, notamment à travers la conclusion de conventions claires préservant les droits matériels et moraux des auteurs». Le respect des droits d'auteur et des droits voisins est «primordial pour soutenir et pérenniser la créativité artistique et culturelle, rendre justice aux créateurs, renforcer la confiance entre les différentes parties prenantes et contribuer à donner une image professionnelle et positive du secteur audiovisuel national», a souligné l'ANIRA. Et d'expliquer que cette mesure «s'inscrit dans le cadre de ses missions de régulation des pratiques professionnelles en vue d'instaurer la culture du respect des droits d'auteur dans le paysage audiovisuel et de favoriser les utilisations responsables et autorisées des œuvres protégées, garantissant ainsi un équilibre entre liberté du travail journalistique et respect des lois, et consacrant un modèle équitable et professionnel qui tient compte des intérêts de tous les acteurs de la chaîne créative et culturelle». A cet égard, le communiqué précise que l'ANIRA «adressera des mises en demeure officielles à tout établissement audiovisuel qui ne respecte pas les dispositions légales et réglementaires relatives aux droits des créateurs et ne s'engage pas à régulariser sa situation contractuelle vis-à-vis de l'ONDA». Imputant à ces établissements «l'entière responsabilité légale découlant de tout manquement à leurs engagements», l'ANIRA assure qu'elle «appliquera, le cas échéant, les mesures légales appropriées conformément à la législation en vigueur».
  • 10-06-2025
    -Les couvertures médiatiques par les chaînes de télévision de l'événement des épreuves du Brevet d'enseignement moyen (BEM), qui se sont déroulés du 1er au 3 juin, ont été jugées par le gendarme de l'audiovisuel «irresponsables» et «inquiétantes». Une semaine après la fin des examens, l'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel (ANIRA) a exprimé ses inquiétudes face aux violations des dispositions légales et réglementaires observées dans certaines couvertures médiatiques durant la période des épreuves du Brevet de l'enseignement moyen (BEM). La préoccupation majeure de l'ANIRA est liée à la diffusion de déclarations des mineurs à la sortie des centres d'examen, sondés directement par les journalistes pour avoir leurs impressions à chaud sur les sujets qu'ils ont eu à traiter à leur sortie des centres d'examen et d'autres questions embarrassantes auxquelles les chérubins répondent en toute innocence. Pourtant, les lois sont claires, l'exploitation médiatique des enfants en âge mineur est strictement interdite. Le procédé a été dénoncé par l'ANIRA en tant que violation des règles de déontologie journalistique et à la protection des droits des enfants. Dans un communiqué rendu public, hier mardi 10 juin, le gendarme de l'Audiovisuel a mis en garde les médias lourds contre toute «couverture médiatique susceptible de porter atteinte aux droits des enfants ou de les exposer à des formes de diffamation et d'exploitation, sous prétexte de reportages de terrain». Précisant dans ce cadre que «toute apparition médiatique d'un enfant, notamment dans des sujets sensibles ou susceptibles de porter atteinte à sa dignité, à son identité ou à son intégrité psychologique, doit impérativement faire l'objet d'un consentement écrit, préalable et explicite du représentant légal». L'Autorité a lancé un avertissement à tous les opérateurs audiovisuels contre la poursuite de violations des droits de l'enfant dans leurs reportages, mettant l'accent sur «la nécessité absolue du respect des normes professionnelles et éthiques dans le traitement médiatique des sujets impliquant des mineurs». Pour rappel, l'ANIRA qui n'a pas manqué, ces dernières semaines, de dénoncer les dérapages et la «folklorisation» des contenus médiatiques, a émis plusieurs mises en garde à l'encontre des chaînes TV qui ne respectent pas l'éthique professionnelle, allant jusqu'à suspendre certaines émissions. A la veille de l'examen du baccalauréat, il est utile de mettre les points sur les i, même si les candidats abordent à peine leur majorité.
  • 01-06-2025
    -L'Etablissement public de télévision (EPTV) a lancé un concours pour la sélection de scénarios de séries comiques et dramatique, sitcoms ainsi que des short-program et ce dans le cadre de la mise en œuvre de sa grille de programmes ordinaire et celle du mois de Ramadan 2026, a indiqué un communiqué de l'entreprise. Ouvert aux scénaristes, ce concours concerne les scénarios de séries en arabe et en tamazight (15 épisodes de 15 mn par épisode), de sitcoms en arabe et en tamazight (15 épisodes de 15 mn par épisode) en plus des short-program. Les scénarios proposés doivent être "inédits" et jamais soumis à aucune partie, qu'il ait été accepté ou rejeté, et ce dans le strict respect des modalités et conditions de participation à ce concours.