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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Jeudi 24/05/2024

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- Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf, a été reçu jeudi soir à Dakar par le président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, auquel il a remis une lettre du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, indique vendredi un communiqué du ministère. Au cours de l'audience, A. Attaf a également transmis au président Sénégalais les ''sincères salutations du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune et sa disponibilité à travailler avec lui pour imprimer une nouvelle dynamique dans les relations algéro-sénégalaises'', ajoute t-on de même source. Au cours de cette audience, précise le communiqué du ministère, ''il a été examiné les voies et moyens de promouvoir les relations historiques qui lient l'Algérie et le Sénégal à de futurs horizons qui consolident la volonté des deux Présidents pour l'approfondissement de la coopération et la compréhension au mieux des intérêts des deux pays et des deux peuples frères.'' ''Les derniers développements dans la région sahélo-saharienne et les perspectives de parvenir à des solutions pacifiques aux crises qui menacent la paix, la sécurité et la stabilité dans cet espace'' ont été également abordés, souligne le communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le président du Sénégal Bassirou Diomaye Faye a de son côté chargé A. Attaf à ''transmettre ses salutations et sa considération au Président de la République Abdelmadjid Tebboune, exprimant son souhait de le rencontrer et de travailler avec lui pour concrétiser leur volonté commune pour le développement des relations bilatérales et la concrétisation de leur engagement réciproque vis à vis des questions de paix et de développement au niveau régional.''............................................................ ;;;;;;; -La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné, , à Israël d’«arrêter immédiatement toutes ses opérations militaires, y compris à Rafah». Après une semaine de délibérations, les magistrats de la Cour internationale de justice (CIJ) ont rendu hier de nouvelles mesures conservatoires contre Israël, telles que réclamées par l’Afrique du Sud, à travers sa troisième requête en demande d’indication, déposée le 10 mai. Cette haute juridiction de l’Onu a commencé par réaffirmer ses décisions rendues le 26 janvier et le 16 février de l’année en cours qui doivent, a-t-elle souligné, être «immédiatement mises en œuvre», avant de préciser leur caractère «contraignant». La Cour a ordonné à Israël «d’arrêter immédiatement» son «offensive militaire et toute autre action dans le gouvernorat de Rafah, qui sont susceptibles de soumettre les groupes de Palestiniens de Ghaza à des conditions d’existence capables d’entraîner leur destruction physique totale ou partielle». Cet ordre, explique la juridiction, intervient conformément aux obligations qui incombent à Israël, au titre de la Convention de lutte et de prévention contre le génocide, mais aussi «au vu de la dégradation des conditions d’existence auxquelles sont soumis les civils dans le gouvernorat de Rafah». La CIJ a également ordonné à l’Etat hébreu de «maintenir ouvert le point de passage de Rafah pour que puisse être assuré, sans restriction, en toute urgence et à grande échelle, l’acheminement des fournitures de base et de l’aide humanitaire requise». Afin de préserver les éléments de preuves sur les allégations de génocide, la Cour a enjoint Israël «à prendre des mesures permettant l’accès effectif et sans entrave à toute commission d’enquête d’établissement des faits, ou tout autre organisme de l’Onu, pour enquêter sur les allégations de génocide». Elle a également exigé de l’Etat hébreu de «soumettre, dans un délai d’un mois – à partir du prononcé de la décision – un rapport sur l’ensemble des mesures prises pour mettre en exécution» les mesures conservatoires. Celles-ci, faut-il le préciser, ont obtenu treize voix pour et deux contre, celle du juge ad hoc, représentant de l’Etat d’Israël, et de la vice-présidente de la CIJ, l’Ougandaise Julia Sebutinde, qui a joint à la décision un exposé sur son opinion dissidente.