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Industries (et Artisanat)

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  • 27-06-2022
    -Les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN), ont adopté à la majorité, ce lundi 27 juin, la nouvelle loi sur les l’investissement, présentée par le ministre de l’Industrie. Lors d’une séance publique de l’Assemblée, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zghdar, a précisé dans son intervention que la nouvelle loi sur l’investissement « met l’accent sur la consécration du principe de la liberté d’investissement et d’initiative ». Il a jouté que c’est une loi basée sur « la simplification des procédures et la réduction de l’intervention de l’administration dans le traitement des dossiers ». Le premier responsable du secteur de l’Industrie a fait savoir également, qu’une plateforme numérique pour l’investisseur, sera mise en place, « ce qui permettra de fournir toutes les informations nécessaires à l’investisseur ». Il s’agit selon le ministre, de données sur les opportunités d’investissement en Algérie, d’équipement en charge de l’investissement, d’’offre immobilière disponible, ainsi que l’incitation et avantage liés à l’investissement, et les procédures associées. Zeghdar a également révélé lors de son intervention à l’APN, que des exonérations fiscales seraient accordées aux investisseurs dans le cadre du système d’incitation destiné aux investissements à caractère structuré. Selon le ministre, les avantages proposés sont des exonérations fiscales et semi-fiscales, en fonction des étapes d’achèvement des projets et les secteurs d’investissement. Ainsi, il est prévu des exonérations pour une durée de 3 ans pour les investissements initiés dans les secteurs prioritaires, des exonérations d’une durée de 5 ans pour les investissements affiliés au régime des régions et au régime des investissements structurés et de 3 à 5 ans pour les investissements réalisés dans les secteurs prioritaires. Aussi, des exonérations allant de 5 à 10 ans, pour les investissements structurés. Rappelons la nouvelle loi sur les investissements, prévoit la création d’une « commission nationale supérieure des recours liés aux investissements » au niveau de la présidence de la République, chargée de statuer sur les recours présentés par les investisseurs.
  • 22-06-2022
    -La réorganisation du secteur de l’Industrie se poursuit, dans l’attente de l’adoption par le parlement du nouveau code des investissements. A cet effet, des comités sectoriels dédiés aux filières stratégiques du secteur ont été installé mercredi par le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar. En effet, les quatre comités sectoriels dédiés à quatre filières industrielles stratégiques au niveau national, dans le cadre de la mise en place d’un système de gouvernance et de dialogue entre les pouvoirs publics et les opérateurs économiques. Il s’agit des activités de l’agroalimentaire, la mécanique-automobile, l’électrique-électronique et l’industrie des textiles et cuir. Pour la création de ces comités, le ministère adoptera « une méthode participative basée sur la concertation et le dialogue pour concrétiser des objectifs mesurables et réalisables et formuler une vision globale pour le développement de chaque filière, tout en assurant la coordination entre tous les acteurs », avait indiqué un communiqué du ministère. La mise en place de ces comités vise à « créer un espace de concertation et de dialogue public-privé entre les acteurs économiques et les institutions de l’Etat pour développer ces filières et lever les obstacles qui les entravent ». Ces quatre filières ont été choisies pour « leur importance et leur poids dans l’industrie nationale, ce qui permettra d’augmenter le produit intérieur brut industriel, nécessaire pour transformer la structure de l’économie nationale ». Concernant la conférence organisée, des ateliers autour de la thématique de chacune des filières ont également eu lieu réunissant les gestionnaires d’entreprises publiques et privées, des experts, des acteurs de la recherche scientifique ainsi que des représentants des institutions de l’Etat.
  • 02-06-2022
    -Vingt cinq (25) entreprises industrielles à l'arrêt seront relancées avant fin 2022, a annoncé jeudi à Alger le ministre de l'Industrie, Ahmed Zeghdar. 25 entreprises dont 15 publiques qui étaient à l'arrêt et 10 entreprises dont les avoirs ont été confisqués seront relancées avant la fin de l'année en cours, a précisé M. Zeghdar lors d'une plénière au Conseil de la nation consacrée aux questions orales, présidée par M. Salah Goudjil, président du conseil, à laquelle a pris part la ministre des Relations avec le Parlement, Basma Azouar. Le ministère de l'Industrie compte un total de 51 entreprises et unités publiques industrielles à l'arrêt. Un travail est en cours pour lever les obstacles qui entravent leur relance. A cet effet, un groupe de travail a été installé pour mener une étude minutieuse sur ces entreprises et fixer les délais et les dispositions prises, selon plusieurs options présentées suivant une logique purement économique. Il a cité, à titre d'exemple, l'usine de levure de Bochekouf (Guelma) qui devrait être relancée prochainement et qui permettra à l'Etat d'économiser une facture annuelle d'importation de cette substance estimée à 150 millions de dollars. Le tissu économique national comprend 1,3 millions de grandes, moyennes et petites entreprises dont 85 % relevant du secteur privé, d'où l'importance des particuliers dans le développement économique en tant que partenaires essentiels du secteur public, a-t-il ajouté. Cette année, les groupes publics ont réalisé un développement remarquable, ayant enregistré au premier trimestre 2022 une augmentation de 18% du chiffre d'affaires par rapport à l'année 2021