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Energie (et Mines)

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  • 30-06-2022
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, jeudi à Alger, la Présidente-directrice générale de la compagnie américaine "Occidental Petroleum Corporation", Mme Vicki Hollub. L'audience s'est déroulée au siège de la Présidence de la République, en présence du directeur de Cabinet à la Présidence de la République, Abdelaziz Khellaf, du ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, et du Président-directeur général du Groupe Sonatrach, M. Toufik Hakkar........................................................... -L'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, désignés sous le nom "Opep+", ont décidé, lors de leur 30ème réunion ministérielle ce jeudi, d'augmenter la production pétrolière totale de l'alliance de 648.000 barils/jour en août prochain, selon le communiqué final de la réunion. Les 23 pays de l'Opep+ (13 membres de l'Opep et 10 pays producteurs non-membres) ont ainsi opté, pour août prochain, pour le maintien de même seuil de la hausse de la production, décidé en début de juin, pour le mois de juillet. Il s'agit d'une hausse plus importante que celle appliquée depuis la mise en oeuvre d'un plan d'augmentation graduelle décidé en juillet 2021. Depuis août 2021, la production de l'Opep+ augmentait mensuellement de 400.000 barils/jours avant de passer à 432.000 barils/jour, puis 648.000 barils/jour récemment. Selon le communiqué final, la 31ème réunion ministérielle de l'Opep+ se tiendra le 3 août 2022. * Opep 26.689 * Non-Opep 17.165 * Production totale de l'Opep+ 43.854.
  • 29-06-2022
    -L’Espagne a commencé, pour la toute première fois, à acheminer du gaz vers le Maroc à travers le Gazoduc Maghreb Europe (GME), assurant qu’il ne s’agissait pas de gaz algérien, alors que l’Algérie n’alimente plus le GME à destination de l’Espagne depuis fin octobre sur fond de crise diplomatique. « Sur la base des relations commerciales et du bon voisinage, hier (mardi) a eu lieu le premier envoi par le gazoduc du Maghreb de GNL (gaz naturel liquéfié) préalablement acquis par le Maroc sur les marchés internationaux et débarqué dans une usine de regazéification espagnole », ont indiqué à l’AFP des sources du ministère espagnol de la Transition écologique. L’Espagne avait annoncé en février qu’elle allait réexporter du gaz vers le Maroc via le GME, que l’Algérie n’alimente plus vers l’Espagne à travers le territoire marocain depuis fin octobre en raison d’une crise diplomatique autour du Sahara occidental. « Un procédé de certification garantit que ce gaz (acheminé d’Espagne vers le Maroc) n’est pas d’origine algérienne », a-t-on précisé de même source à l’AFP. Alger avait menacé en avril de rompre son contrat de fourniture de gaz à l’Espagne si Madrid venait à acheminer du gaz algérien « vers une destination tierce », une référence implicite au Maroc. Enagás, gestionnaire du réseau gazier espagnol, a pour tâche de « vérifier l’origine du méthanier transportant le gaz » acheté par le Maroc et, après le déchargement de celui-ci, émet un certificat avec « les données pertinentes, « évitant ainsi que soit exporté du gaz qui n’a pas été déchargé à cette fin », précisaient les sources du ministère de la Transition écologique. Mais le fait pour l’Espagne d’acheminer du gaz à travers ce gazoduc est tout sauf anodin dans le contexte des relations très compliquées avec l’Algérie et le Maroc. La réaction d’Alger sera donc guettée avec attention à Madrid. Le gouvernement algérien est très remonté contre l’Espagne depuis que l’exécutif du socialiste Pedro Sánchez a décidé, en mars, de se défaire de ses responsabilités historiques envers le peuple sahraoui et de soutenir le plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, afin de mettre fin à près d’un an de crise diplomatique entre Madrid et Rabat. En réaction à cette volte-face, Alger avait rappelé son ambassadeur en Espagne et Sonatrach, le géant algérien des hydrocarbures, n’avait pas exclu d’augmenter les prix du gaz livré à l’Espagne. Les autorités algériennes ont également suspendu début juin un traité de coopération avec l’Espagne, tandis qu’un organisme bancaire clé en Algérie a annoncé des restrictions sur les transactions commerciales avec Madrid. La dépendance de l’Espagne vis-à-vis du gaz algérien a été nettement réduite depuis l’arrêt du GME, mais près d’un quart du gaz importé par l’Espagne provenait toujours d’Algérie au premier trimestre, contre plus de 40% en 2021, selon le gestionnaire du réseau gazier espagnol. Ce gaz est livré à l’Espagne par le géant algérien des hydrocarbures Sonatrach à travers le gazoduc sous-marin Medgaz qui relie directement les deux pays.
  • 27-06-2022
    -La compagnie pétrolière nationale a annoncé ce lundi 27 juin, une importante découverte de gaz à condensat dans le périmètre de Hassi R’Mel. Dans un communiqué publié sur sa page Facbook, le groupe dit avoir « mis en évidence un potentiel important en hydrocarbures dans le réservoir Lias Carbonaté « LD2 » au niveau du périmètre d’exploitation de Hassi R’Mel ». Selon Sonatrach, l’évaluation préliminaire de ce potentiel a montré un volume qui varie entre 100 et 340 milliards de m3 de gaz à condensat. « Ces volumes constituent l’une des plus grandes réévaluations des réserves des 20 dernières années », souligne le communiqué. Selon le groupe pétrolier, un programme de travaux de développement est en cours d’exécution pour confirmer les volumes estimés et réaliser des productions en fast track de l’ordre de 10 millions de m3 par jour à partir du mois de novembre 2022.
  • 23-06-2022
    -Les recettes des exportations algériennes en hydrocarbures devraient atteindre les 50 milliards de dollars vers la fin 2022, a annoncé jeudi depuis Oran, le PDG du Groupe Sonatrach, Toufik Hakkar. Ce chiffre a été avancé par T. Hakkar lors de la présentation des principaux projets de Sonatrach réalisés durant la période allant de 2020 à 2022, devant le président de la République, Abdelmadjid Tebboune qui effectue une visite de travail et d'inspection dans la wilaya d'Oran. Le volume des exportations a atteint, l'année dernière, 35,4 milliards de dollars, soit une hausse de 75% par rapport à l'année 2020, a rappelé le PDG de Sonatrach. Il a indiqué que la conjoncture favorable du marché gazier a permis d'augmenter les exportations en 2021 de 54% à travers les gazoducs et de 13% par processus de liquéfaction, ajoutant que les cours du Sahara Blend ont connu une augmentation de 68% à la fin du mois de mai 2022 par rapport à la même période en 2021. Concernant les nouvelles découvertes, T. Hakkar a affirmé que 35 nouvelles découvertes d'hydrocarbures avaient été enregistrées durant la période allant de 2020 à 2022, dont 34 découvertes en effort propre, d'un volume global de 307 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP). S'agissant des projets d'investissement, le même responsable a fait savoir que plus de 7 milliards de dollars avaient été investis dans nombre de projets en cours de réalisation, lesquels contribueront à la production de 20 millions de TEP/an, en sus de 5 milliards de dollars investis dans des projets entrés en vigueur depuis 2020, contribuant à la production de 10 millions de TEP/an. T. Hakkar a présenté, en outre, un bilan exhaustif du développement du raffinage et de la pétrochimie et dont le succès est scindé en 4 dimensions: valorisation des ressources locales, attrait des partenaires, garantie de la capacité concurrentielle des projets et choix des projets.
  • 21-06-2022
    -Les ministres de l'Energie d'Algérie, du Niger et du Nigeria ont convenu, ce lundi, lors d'une réunion tripartite sur le projet de Gazoduc Transsaharien (TSGP) à Abudja (Nigeria) de la pose "des premiers jalons" de ce projet, en prévision de sa concrétisation dans "les plus brefs délais", a affirmé le ministre de l'Energie et des mines, Mohamed Arkab. Les trois ministres ont convenu d'organiser la prochaine réunion tripartie dans une courte période, au plus tard fin juillet, en Algérie, a fait savoir M. Arkab. Le ministre a affirmé que cette réunion était "très importante et réussie", et avait permis d'évoquer tous les aspects liés à la réalisation d'un gazoduc transsaharien reliant les trois pays au continent européen sur une distance de plus de 4.000 km. Lors de sa participation aux travaux de la réunion tripartite entre l'Algérie, le Niger et le Nigéria sur le gazoduc transsaharien, en présence des délégations des trois pays concernés, M. Arkab a affirmé dans son allocution, que l'adoption de la réunion précédente tenue à Niamey le 16 février dernier par le biais d'une déclaration tripartite, a jeté les fondements d'une feuille de route visant, notamment, la constitution d'un groupe de travail dans l'objectif de lancer la mise à niveau d'une étude de faisabilité de ce projet". Le TSGP est un gazoduc intercontinental d’une longueur totale de 4128 kilomètres, dont 1037 km traverseront le territoire du Nigeria sur 841 km, le Niger (2310 km) – soit le plus long tronçon – et le territoire algérien (plus de 1000 km) jusqu’à la côte méditerranéenne en vue de l’exportation vers l’Europe. Le projet prévoit la construction d’une vingtaine de stations de compression. Il aboutira dans sa partie onshore soit à Beni Saf à l’ouest, soit à El Kala à l’est, selon les études initiales de faisabilité du projet. Une première réunion avait eu lieu à Niamey au Niger au mois de février. L’Algérie, le Niger et le Nigeria avaient alors signé un accord en vue du développement du projet de gazoduc transsaharien), dont le coût est estimé à environ 13 milliards de dollars, en vue d’acheminer 20 à 30 milliards de mètres cubes de gaz naturel du Nigeria vers l’Europe, via le Niger et l’Algérie. Il permettra aussi l’alimentation sur son passage des régions du nord, du nord-est et du centre du Nigeria ainsi que des pays du Sahel, comme le Niger, le Burkina Faso et le Mali. Une grande partie du coût, estimé à 13 milliards de dollars, du pipeline sera consacrée au Niger................................................................. -,Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a accordé une interview au magazine allemand « Der Spiegel », dans laquelle il a évoqué plusieurs questions liées au marché gazier. Il a par la même occasion, commenté pour la première fois, le projet gazier Nigéria-Maroc. Selon Arkab, le gazoduc algéro-nigérian est plus sûr et plus économique. « Notre pipeline est plus sûr et plus viable économiquement. Tandis que l’autre pipeline (Nigéria–Maroc), qui traverse 12 pays sur une distance de plus de 6000 km, est plus complexe et illimité », a commenté le ministre. « Le financement de ce projet (gazoduc Nigéria-Maroc) est également flou », ajoute Arkab, soulignant que « l’Algérie possède les ressources et la volonté de financer une grande partie du gazoduc transsaharien (TSGP) ». Le premier responsable du secteur de l’énergie en Algérie a affirmé que le projet du gazoduc transsaharien, qui transporte le gaz du Nigeria vers l’Algérie via le Niger, « sera prêt d’ici trois ans, pour transporter entre 20 et 30 milliards de mètres cubes de gaz vers l’Europe ».
  • 14-06-2022
    -Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août, référence du pétrole algérien, affichait 124, 92 dollars, ce mardi aux alentours de 15h00, soit 2,65 dollars de plus que la séance de la veille. Le baril de West Texas Intermediate américain pour livraison en juillet gagnait pour sa part 2,34 dollars à 123,27 dollars. Le baril de Sahara Blend, pétrole algérien, a affiché 126,10 dollars, en début d'échanges, selon le site spécialisé «Oilprice». Ce qui en fait un des bruts les plus chers du panier de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) en ce mois de juin
  • 02-06-2022
    -L'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) ont décidé ce jeudi d'augmenter leur production pétrolière globale pour le mois de juillet prochain de 648.000 barils/jour, a annoncé le ministre de l'Energie et des Mines Mohamed Arkab................................ - Le ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab a annoncé ce jeudi à Alger que le niveau de production pétrolière de l'Algérie augmentera à 1,039 Mbj en juillet prochain. Cette hausse intervient conformément à la décision prise par les participants à la 29ème réunion ministérielle OPEP/Non-OPEP, tenue jeudi par visio-conférence . Les 23 pays signataires de la Déclaration de coopération ont décidé d'augmenter leur production globale de 648.000 b/j en juillet prochain. S'exprimant au terme de la réunion, M. Arkab a indiqué que " pour l'Algérie, cette décision correspond à une augmentation de la production de 17.000 b/j en juillet , ce qui nous permettra d'atteindre un niveau de production de 1,039 Mbj en juillet".
  • 01-06-2022
    -Le groupe Sonatrach a annoncé, mercredi dans un communiqué, l'entrée en production de pétrole brut du champ de Hassi Bir Rekaïz, situé dans le bassin de Berkine (wilaya d’Ouargla). "Sonatrach et son partenaire la Société publique thaïlandaise pour l'exploration et la production de pétrole PTTEP annoncent, ce jour à 00h15 minutes, le début des premières expéditions de pétrole brut à partir du périmètre contractuel de Hassi Bir Rekaiz, situé dans le bassin de Berkine et exploité dans le cadre du contrat d'exploration & production, conclu le 17 janvier 2010", est-il indiqué dans le communiqué. Le plan de développement du projet prévoit durant la première phase d'exploitation, l'entrée en production des deux découvertes "Bou Goufa" et "Rhourde Ez Zita" via le raccordement de 17 puits à huile aux installations de traitement existantes au niveau de la région de Rhourde El Baguel. Le niveau de production attendu durant cette phase de développement est de l'ordre de 13.000 barils/jour, selon la même source. Une seconde phase de développement concernant les huit autres gisements découverts dans le périmètre contractuel sera réalisée, permettant ainsi d'atteindre un niveau de production de l'ordre de 60.000 barils/jour, ajoute le communiqué.