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Communication ( et Presse)

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  • 23-06-2021
    -L'Etablissement «Echaâb» a publié le numéro zéro de la revue Diplomatika, qui traite des sujets et des questions en rapport avec la diplomatie algérienne et des questions internationales inscrites dans le domaine de la stratégie et de la souveraineté.
  • 21-06-2021
    --L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a décidé d’arrêter la diffusion de la chaîne El Hayat TV, selon des informations mises en ligne sur le site Facebook de la chaîne privée, dirigée par Habet Hannachi. L’ARAV a également demandé au ministère de la Communication de lui retirer l’accréditation, selon la même source (du 23 au 29 juin 2021). Les motifs de cette décision n’ont pas été donnés, mais tout laisse à croire que cela est en relation avec l’interview de presse avec Noureddine Aït Hamouda, fils du Colonel Amirouche, qui a tenu des propos considérés comme une atteinte à la personnalité historique de l’Emir Abdelkader et à d’autres personnalités nationales mentionnées dans l’entretien. Selon la direction de la chaîne reprise dans le même support, «les déclarations de cet entretien ne reflètent en aucune façon le point de vue de la chaîne ou du présentateur de l’émission, mais seulement Noureddine Aït Hamouda». «En tant que présentateur de programme et directeur de la chaîne, je ne partage pas son point de vue et la réalisation de l’entretien ne signifie pas que je suis d’accord avec ce qui est mentionné dans ses déclarations. L’objectif de l’entretien n’a jamais été de porter atteinte à l’Emir, à toute autre personnalité nationale ou à tout autre symbole de l’Etat, ni de remettre en cause l’histoire de cette nation et ses hommes, mais plutôt d’ouvrir le débat sur des questions historiques qui nécessitent l’intervention des historiens et des spécialistes », est-il précisé. Le lendemain de la diffusion de l’émission, l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a convoqué le directeur de la chaîne El Hayat TV pour se présenter à son siège en vue de faire une «mise au point» sur les déclarations de l’ancien député Noureddine Aït Hamouda……………………………………………………. -Le ministère de la Communication a annoncé, lundi dans un communiqué, la suspension temporaire pour la durée d'une semaine à compter du 23 juin en cours de l'accréditation de la représentation de la chaîne "El Hayat TV". "Vu la décision de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) de suspendre pour une semaine, à compter du 23 juin 2021, la diffusion des programmes de la chaine ‘El Hayat TV’, le ministère de la Communication a décidé de suspendre, temporairement pour la même durée, l'accréditation de la représentation de la chaîne télévisée", précise le communiqué.
  • 18-06-2021
    -Pour la 29e édition des Malofiej Awards, « Le Monde » a remporté une médaille d’or dans la catégorie « Planned coverage » pour « Une mer de gaz dans l’est de la Méditerranée » et une médaille d’argent dans la catégorie « Breaking news » pour « L’“Etat” palestinien selon Trump ». Les Malofiej International Infographics Awards sont considérés comme les prix Pulitzer de l’infographie, de la visualisation. Ils sont organisés par la Société pour le design de l’actualité d’Espagne et l’Ecole de communication de l’université de Navarre. Pour la 29e édition de ces prix, parmi les 15 médailles d’or dans la catégorie print, Le Monde en a remporté une dans la catégorie « Planned coverage » pour « Une mer de gaz dans l’est de la Méditerranée » (Francesca Fattori, Xemartin Laborde, Audrey Lagadec et Delphine Papin). Le Monde a également remporté une médaille d’argent dans la catégorie « Breaking news » pour « L’“Etat” palestinien selon Trump » (Xemartin Laborde, Audrey Lagadec et Delphine Papin). La série « A room, a bar and a classroom: how the coronavirus is spread through the air », publiée par El Pais (Espagne), a reçu le premier prix du concours dans la catégorie numérique. La série « Diario visual de la cuarentena », produite par le studio espagnol Errea Comunicacion pour le journal Diario de Navarra, a reçu le premier prix du concours dans la catégorie imprimée. Cette année, 1 144 œuvres (399 print, 709 numériques et 36 travaux d’étudiants) proposées par 171 médias de 32 pays ont été évaluées. Au total, le jury a décerné 156 médailles : 63 sont allées à la catégorie « imprimé » (15 médailles d’or, 23 d’argent et 25 de bronze), 88 à la catégorie « en ligne-numérique » (10 médailles d’or, 21 d’argent et 57 de bronze) et 5 médailles ont été attribuées dans la catégorie « étudiants » (1 d’argent et 4 de bronze).
  • 14-06-2021
    -Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, participe au Caire aux travaux de la 51e session du Conseil des ministres arabes de l'Information et de la 13e session du Bureau exécutif, a indiqué lundi un communiqué du ministère. En marge des travaux de ces deux sessions qui ont été précédées par la 95e session de la Commission permanente de l'information arabe, M. Belhimer a visité, avec la délégation l'accompagnant, le groupe de presse Al-Ahram, où il a été reçu par le président du Conseil d'administration de la Fondation Al-Ahram, Abdel-Mohsen Salama, et le Rédacteur en chef du journal Al-Ahram, Alaa Thabet, en présence de hauts responsables de la Fondation. La rencontre a porté sur "les voies et moyens de renforcer les relations bilatérales entre les établissements médiatiques des deux pays, notamment entre les groupes Al-Ahram et Echaab", a précisé la même source. Il a, dans ce cadre, été convenu d'établir une coopération et un jumelage entre les deux établissements, partant de "la forte volonté qui anime les deux parties en faveur du renforcement des relations bilatérales privilégiées entre les deux pays frères, l'Algérie et l'Egypte". A cette occasion, le ministre a visité les principaux services d'Al-Ahram où des explications lui ont été fournies sur leurs missions et leurs activités qui témoignent de la longue expérience de la Fondation Al-Ahram, a ajouté le communiqué.................................................. -.-La France «regrette» la décision d'Alger de retirer son accréditation à la chaîne d'information en continu France 24 et rappelle son attachement à la «liberté de la presse», a déclaré lundi la diplomatie française. «La France a appris avec regret la décision annoncée hier par les autorités algériennes de retirer leur accréditation aux correspondants de la chaîne France 24 en Algérie», a déclaré la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères. «La France défend la liberté d'expression et la liberté de la presse, en Algérie comme partout dans le monde», a ajouté Agnès von der Mühll. «La liberté d'informer est un droit fondamental, qui doit partout être protégé et auquel la France est profondément attachée», a-t-elle poursuivi. La chaîne s'est dite étonnée «de ne pas avoir reçu d'explication» sur ce retrait. «Notre couverture de l'actualité algérienne se fait dans la transparence, l'indépendance et l'honnêteté», a-elle déclaré dans un message lu à l'antenne.
  • 13-06-2021
    -Le ministère de la Communication a décidé dimanche de retirer l'accréditation octroyée à la représentation à Alger de la chaîne télévision d'information française "France 24", rapporte l'APS citant le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer. La même source a affirmé que ce retrait est motivé par "l'hostilité manifeste et répétée contre notre pays et ses institutions, le non respect des règles de la déontologie professionnelle, la désinformation et la manipulation ainsi qu'une agressivité avérée à l'égard de l'Algérie". Pour rappel, le ministère de la Communication avait adressé un dernier avertissement avant "retrait définitif" de l’accréditation à cette chaîne de télévision, le 13 mars dernier, pour son "parti-pris flagrant" dans la couverture des marches en Algérie. "Le parti-pris de France 24 dans la couverture des marches du vendredi est flagrant, allant jusqu’à recourir, sans retenue aucune, à des images d’archives pour les antidater afin de porter secours à résidu antinational constitué d’organisations réactionnaires ou séparatistes, aux ramifications internationales", avait noté alors dans un communiqué le ministère de la Communication.
  • 05-06-2021
    -L'ambassadeur d'Algérie à Paris, Mohamed-Antar Daoud, a dénoncé dimanche 6 mai l'"hostilité inouïe" à l'égard de l'Algérie, affichée par le quotidien Le Monde dans son éditorial de l'édition parue le samedi 5 juin, s'interrogeant sur "les desseins réels d'un tel acharnement qui se renouvelle, sciemment, à l'approche de chaque échéance politique". "Dans l'édition parue le 5 juin 2021, datée du dimanche 6-lundi 7 juin, votre journal s'est fendu d'un éditorial empreint d'une hostilité inouïe à l'égard de mon pays, de ses institutions et de ses symboles, grossièrement intitulé : ‘l'Algérie dans l'impasse autoritaire’", a-t-il écrit dans une mise au point adressée à ce quotidien. "Rédigé à partir d'une salle de rédaction parisienne, sans attendre que votre envoyé spécial, qui s'apprête à se rendre en Algérie du 8 au 14 juin, puisse mesurer sur le terrain l'ampleur de l'engouement du peuple algérien notamment sa jeunesse pour cette étape cruciale dans l'édification institutionnelle de l'Algérie nouvelle, l'édito en question évoque, avec une subjectivité déconcertante, ‘un rendez-vous manqué pour la démocratie algérienne’", a-t-il ajouté (……………………………………….)Voir texte in Vie politique/Opinions et points de vue
  • 02-06-2021
    -Le journaliste-écrivain, Zoubir Souissi, est décédé mercredi à l'âge de 78 ans à Alicante en Espagne, a-t-on appris auprès du quotidien national Le Soir d'Algérie dont il est membre fondateur. Le défunt qui avait des soucis de santé ces derniers temps, était bloqué à Alicante depuis la fermeture des frontières algériennes, suite à la pandémie du Coronavirus, a-t-on précisé. Zoubir Souissi qui a exercé en tant que reporter avant de devenir un talentueux chroniqueur, n'a quasiment pas connu d’autres métiers que celui de journaliste. Il a débuté sa riche carrière en 1966 en tant que collaborateur au bureau d’Alger-Républicain avant de rejoindre le quotidien régional An-Nasr, édité à Constantine. Après l’arabisation de ce journal, Zoubir Souissi intègre l'équipe du quotidien national El Moudjahid au début des années 1970, puis la revue hebdomadaire Révolution Africaine (Revaf) où il a occupé le poste de rédacteur en chef jusqu'en 1985, année au cours de laquelle il a rejoint l'Agence nationale Algérie Presse Service (APS) oùil sera un talentueux editorialiste-chroniqueur Après les événements d'octobre 1988 et l'ouverture du champ médiatique, il participe au débat sur la liberté de la presse. C'est ainsi qu'il s'est lancé dans ce qui était appelé à l'époque "l'aventure intellectuelle" en fondant en 1990, en compagnie de quatre de ses amis journalistes ( Mâamar Farah, Bederina, Djamel Saifi et Fouad Boughanem) , Le Soir d’Algérie qui était alors un quotidien du soir, dont il a assuré la direction pendant une dizaine d’années. Le défunt est également auteur de deux romans, "Caméléon" et "La tête des orphelins"............................................................................ -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a accordé une "longue" interview à l'hebdomadaire français Le Point, au cours de laquelle il a répondu aux questions des journalistes avec une "franchise rare" sans éluder "aucun sujet", souligne la publication. Au cours de cette interview réalisée (le 24 mai à Alger) par deux journalistes et écrivains algériens vivant en Algérie, Kamel Daoud et Adlène Meddi, les questions ont porté, notamment, sur la situation politique en Algérie, les réformes politiques et économiques en cours et le rôle de l'Armée nationale populaire (ANP). Les questions ont porté, en outre, sur les relations avec la France et le dossier de la mémoire, ainsi que les questions régionales, notamment le conflit au Sahara occidental et la situation au Sahel.
  • 01-06-2021
    -Le juge près le tribunal de Sidi M’hamed a rendu ce premier juin son verdict dans l’affaire de la journaliste Kenza Khattou. Elle a été condamné à 3 mois de prison avec sursis et une amende de 20 000 Da pour outrage à corps constitué, et a été relaxée pour l’accusation d’atteinte à l’unité nationale. Pour rappel, la journaliste Kenza Khatou a été arrêté le 14 mais lors de la 117e manifestations du Hirak. Le magistrat instructeur l’avait poursuivi pour « atteinte à l’unité nationale », « attroupement non armé » et « diffusion de nouvelles pouvant porter atteinte à l’unité nationale ».La journaliste Kenza Khattou a été remise en liberté le mardi 18 mai 2021. Elle a comparu libre à son procès, reporté le 18 mai pour aujourd’hui, 25 mai................................................................................................. --L’un des plus anciens quotidien national privé à changer de directeur. A l’issue de l’assemblée générale ordinaire de la SPA El Watan tenue jeudi 1er juillet 2021, le conseil d’administration a procédé à l’élection d’un nouveau PDG en la personne de Mohamed Tahar Messaoudi. Cette élection fait suite à la démission de Tayeb Belghiche en poste depuis deux ans. L’assemblée générale des actionnaires de la SPA El Watan a eu à débattre de la grave crise financière que traverse l’entreprise suite au blocage par les pouvoirs publics du contrat publicitaire entre l’agence nationale d’édition et de publicité (ANEP) et El Watan et à leur volonté délibérée d’asphyxier le journal en raison de sa ligne éditoriale, rapporte le communiqué du quotidien. Pour rappel, le quotidien El Watan, qui était l’un des quotidiens le plus rentable de la presse algérienne, qui possédait sa propre imprimerie, mais face à l’augmentation du prix du papier et l’arrivée de la presse électronique et des télévisions privée. Les ventes du quotidien ont largement reculé l’obligeant à supprimer son édition du Week-end et remercier plusieurs journalistes. Avec l’arrivée en 2019 de Tayeb Belghiche, qui remplaçait Omar Belhouchet après plusieurs années à la tête du quotidien, la ligne éditoriale du journal a sensiblement changé, avec l’espoir d’un retour de la publicité. Mais en vain. Avec Mohamed Tahar Messaoudi le quotidien a pour objectif de redresser la barre ou de passer à une version électronique plus agressive pour survivre.