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Communication ( et Presse)

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  • 27-04-2022
    -Interdites de diffusion au Mali depuis le 17 mars, RFI et France 24 ont été définitivement suspendues, selon un communiqué du groupe France Médias Monde, maison mère de deux médias, dans un communiqué, ce mercredi. Ce mercredi 27 avril 2022, le groupe a reçu la notification de cette décision par la Haute autorité de la communication du Mali qu’il « conteste avec force ». Il souhaite faire appel, a indiqué ce mercredi soir à l’AFP son directeur de la communication Thomas Legrand. « Nous continuerons à couvrir l’actualité au Mali qui intéresse l’Afrique toute entière comme le reste du monde. Toutes les solutions techniques seront mises en oeuvre pour rendre accessibles nos médias aux Maliennes et aux Maliens qui souhaitent continuer à recevoir une information libre, experte et ouverte sur le monde », poursuit France Médias Monde, sans donner plus de précisions. « Une sanction qui intervient alors que les autorités maliennes ont accusé, mardi soir, l’armée française d’ »espionnage » et de « subversion » après la diffusion par l’état-major français de vidéos tournées par un drone à proximité d’une base du centre du Mali récemment restituée par la France », rapporte---t- on Bamako.
  • 26-04-2022
    -Le journal El Khabar passe à son tour à 40 DA. Annonçant sa décision de revoir les prix de vente à la hausse – qui sera effective à partir du 30 avril –, le journal a justifié sa décision par l’envolée des prix du papier sur le marché international ainsi que la baisse des revenus publicitaires. Dans une explication adressée à ses lecteurs publiée hier, il a été précisé que les tarifs de production du journal ont été revus à la hausse, notamment à cause des coûts d’impression. «Le papier, qui connaît actuellement une crise mondiale, vient en second lieu des dépenses les plus importantes, après les salaires», peut-on lire dans l’édition d’hier d’El Khabar. Les prix excessifs du papier sont notamment liés à l’augmentation des prix des hydrocarbures, des matières premières ainsi que du transport, ce qui a conduit à une augmentation de 100% sur le marché mondial. Les rames de papier, dont les prix oscillaient entre 550 à 660 dollars, se vendent aujourd’hui à pas moins de 1200 dollars. El Khabar évoque également le recul des revenus liés aux annonces publicitaires ainsi que la concurrence des sites électroniques. «De nombreux titres internationaux ont été contraints à revoir à la baisse leur pagination ou le nombre d’exemplaires (…), la flambée des prix du papier est une véritable source d’inquiétude pour les éditeurs et les journalistes professionnels», soutient El Khabar. Les experts estiment que la crise du papier devrait encore perdurer durant les cinq années à venir. Le journal se dit conscient que cette hausse intervient à un moment où les familles algériennes sont durement éreintées par les poussées inflationnistes que connaît le marché. Mais le fait est, précise-t-on, que le journal se bat aujourd’hui pour sa survie. Le journal arabophone emboîte le pas à El Watan, qui avait été contraint de revoir à la hausse le prix de vente le 1er mars dernier. Une mesure qui s’est imposée comme une «urgence vitale» sous peine de disparaître du champ médiatique. La direction du journal avait justifié cette décision par le fait qu’El Watan fait face à «la quasi totale disparition de la principale ressource qu’est la publicité», celle du privé «sous l’effet de la crise économique», tandis que la publicité gérée par l’entreprise ANEP «n’a eu de cesse d’obéir à des considérations politiques, pratique inaugurée depuis le début des années 1990». Notre journal subit lui aussi les contrecoups de la hausse des coûts d’impression. Il est à rappeler, par ailleurs, que l’un des titres emblématiques de la presse algérienne a été dissous récemment par son actionnaire majoritaire, l’homme d’affaires Issad Rebrab. Ne bénéficiant pas de la manne publicitaire distribuée par l’Anep et subissant les coups successifs donnés à la presse privée, son propriétaire a décidé de le liquider.
  • 24-04-2022
    -L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a appelé à l'impératif d'éviter "les jugements de valeur" émis sur les réseaux sociaux, a indiqué, dimanche, l'Autorité dans un communiqué suite au programme "Tourath Biladi" (Patrimoine de mon pays) diffusé sur la chaine Samira TV et qui a "suscité une vive polémique". L'ARAV a suivi la polémique suscitée par le programme sur les réseaux sociaux et qui a pris "des dimensions et des interprétations dangereuses qui ne sont pas liées à nos valeurs culturelles et civilisationnelles", a-t-elle fait savoir dans le communiqué. Précisant avoir revu le programme et noté ses observations objectives, l’ARAV a indiqué que la directrice de la chaîne Samira TV s’était rendue au siège de l'autorité pour présenter un exposé sur l'émission. "La directrice de la chaine a affirmé que le programme n'avait nullement l'intention d'offenser et de discriminer à travers les scènes montrant un jeune homme à la peau noire servant du thé, citant pour preuve que le programme avait montré un autre jeune homme à la peau blanche servant du thé, et cela n'a pas été interprété comme offensant à aucune frange de la société", selon la même source. L'ARAV a ajouté avoir "noté que ces interprétations et lectures, fondées sur la sémiologie de l'image et faites de manière sélective, ont accordé de l'importance à certaines scènes plus que d'autres sans s'appuyer sur des données scientifiques, qui sont pour la plupart établies par des spécialistes et des experts, et non pas par des utilisateurs des réseaux sociaux". L'Autorité de régulation de l'audiovisuel a souligné exercer "ses missions dans le cadre de la loi, et œuvre à accompagner la production audiovisuelle nationale qui contribue à la promotion de la diversité de la culture algérienne et de ses traditions. Elle œuvre également à encourager la créativité dans le cadre de la responsabilité et du respect des principes humanitaires dans les bonnes mœurs et de consacrer le principe de la liberté d'expression qui sera sans doute renforcée par le nouveau cadre juridique, actuellement en cours d'élaboration". Enfin, l'ARAV a appelé à l'impératif d'"éviter les jugements de valeur émis sur les réseaux sociaux qui alimentent la discrimination entre les membres d'une même société et nuisent au professionnalisme dans le secteur de l'audiovisuel", a conclu la même source.
  • 20-04-2022
    -Le Général de Corps d'Armée Saïd Chanegriha, Chef d'état-major de l'Armée nationale populaire a mis en garde, mercredi à Alger, contre "l'alarmisme médiatique" qui accompagne certains phénomènes sociaux négatifs, ainsi que les polémiques stériles qui en résultent et qui sont de nature à provoquer les différends au sein des composantes de la société.
  • 18-04-2022
    -« Rebrab a menti aux journalistes de Liberté, à tous les travailleurs, à l'opinion nationale». Ahmed Fattani n'est pas allé par quatre chemins pour dire les quatre vérités sur la disparition deu quotidIen Liberté. Dans la conférence de presse qu'il a coanimée avec son avocat Me Bitam, Ahmed Fattani a affirmé que ce e ne sont pas de prétendues pressions exercées par le pouvoir, ni des considérations personnelles ou familiales, comme il avait été colporté sur les réseaux sociaux et dans les colonnes des journaux. «La décision du tribunal de Chéraga a été notifiée le 8 mars dernier. Quelques jours plus tard, Rebrab prend la décision de dissoudre l'entreprise éditrice du titre», fait remarquer le directeur de l'Expression et fondateur de Liberté.
  • 14-04-2022
    -Le quotidien francophone Liberté (dont l’actionnaire principal et largement majoritaire est le milliardaire Issad Rebrab) édite son dernier numéro (9051) après trente années d’existence. Raison principale : difficultés financières dues entre autres à l‘inexistence de ressources publicitaires.
  • 12-04-2022
    -L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a convoqué, le 12 avril, la directrice de la chaîne Echourouk TV suite aux plaintes qu’elle a reçues concernant « des dépassements attentatoires à la sacralité du mois de Ramadhan » dans le contenu de certains épisodes du feuilleton « Babor Ellouh » diffusé par cette chaîne. « Suite aux plaintes reçues par l’Autorité de régulation de l’audiovisuel, et aux informations relayées sur les réseaux sociaux concernant des dépassements attentatoires à la sacralité du mois de Ramadan et aux principes de notre religion dans certains épisodes du feuilleton « Babor Ellouh » que Echourouk TV auraient diffusés les soirées de Ramadan, l’ARAV a convoqué la directrice de la chaîne », a indiqué un communiqué de l’ARAV. « La directrice de la chaîne Echourouk TV a fourni des explications niant la diffusion par la chaîne de ces scènes », affirmant qu’il s’agissait de « calomnie et d’informations montées de toutes pièces, car le feuilleton en question a été diffusée l’année dernière sur d’autres plateformes en entière sans censure, ce qui a permis à certains de publier des scènes contraires aux principes et valeurs de la société algérienne sur les réseaux sociaux, puis les attribuer à la chaîne Echourouk, qui a uniquement le droit de diffusion télévisée de ce feuilleton ». « Après avoir examiné les éléments de réponse de la responsable de la chaîne et visionné le contenu des épisodes diffusés par la chaîne, l’ARAV a demandé à la chaîne d’apporter une précision à l’opinion publique et à dégage sa responsabilité de ces scènes », a précisé la même source. Babour Ellouh, « une création artistique » A cette occasion, l’ARAV a appelé au « respect des règles professionnelles et de déontologie, notamment pendant le mois sacré du Ramadan », conclut le communiqué . Sur le plateau de l’émission quotidienne « H’na fi ramdane » de Echourouk, Abdelkader Djeriou, co-scénariste et un des acteurs principaux de la série, a défendu le feuilleton et s’est indigné contre cette manie « de réagir à des accusation anonymes des réseaux sociaux ». Djeriou un des jeunes et brillants scénariste algérie a adefndu le droit à la création artistique. Réalisé par le tunisien Nasreddine Shili , celui qui a-avait assuré la réalisation du drama à succès « Wlad el hlal » en 2019, « Babor Ellouh » est produit par Imed Hanouda (Wellcom advertising), d’après un scénario d’Abdelkader Djeriou et de Faten Chadli. Abdelkader Djeriou interprète le rôle de Hasni, un jeune des jeunes assaillis par les problèmes, tenté par le départ à l’étranger. « Babor Ellouh » a été, rappelons-le, diffusé le ramadhan dernier sur l’application algérienne Yara
  • 11-04-2022
    - Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani a installé officiellement Rachid Bestam au poste de Directeur général de l'Etablissement public de Télédiffusion d'Algérie (TDA), indique ce lundi un communiqué du ministère. "La cérémonie d'installation s'est déroulée lundi au siège de la TDA à Alger en présence de cadres du ministère de la Communication et de l'établissement", a précisé le communiqué. S'exprimant à l'occasion, Med. Bouslimani a rappelé que la TDA "fait face à de nombreux défis, d'où l'impératif de redoubler d'efforts pour le développement de cette institution qui évolue dans un environnement en développement permanent". "De grands projets attendent la TDA, à l'instar de la domiciliation de la diffusion des chaines de télévision privées à travers le satellite, et assurer une meilleure organisation du secteur de la communication audiovisuelle, écrite et électronique", a ajouté le ministre. Il a appelé l'ensemble des cadres de l'établissement à œuvrer à son développement afin d'assumer le rôle qui lui est assigné pour donner le meilleur et accompagner tous les médias........................................................................ --L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a convoqué le directeur de la chaîne Ennahar TV suite à la diffusion de scènes attentatoires à la sacralité du mois de Ramadhan et aux valeurs morales de la société algérienne, a annoncé, ce lundi, l'ARAV dans un communiqué. L'ARAV a précisé avoir "suivi des épisodes de la série" Houb El Mouloud" diffusé sur la chaîne Ennahar TV durant les soirées du Ramadhan", où elle a observé "des scènes dont le contenu est attentatoire à la sacralité du mois de Ramadhan et aux valeurs religieuses et morales de la société algérienne". "Après examen de la question, l'ARAV a convoqué le directeur de ladite chaîne pour présenter des explications sur ces séquences obscènes ayant suscité l'indignation de toutes les franges de la société", a-t-on souligné, ajoutant que le directeur de la chaîne a reconnu "la faute commise en dépit des efforts de la chaîne pour donner des programmes compatibles avec les fondements de la société notamment durant le mois de Ramadhan". L'ARAV a rappelé avoir averti auparavant ces chaînes notamment durant le mois de Ramadhan, de "l'impératif d'observer les valeurs morales et les bonnes moeurs et de contrôler au préalable leurs différents programmes". Il a été décidé à cet effet de "suspendre la diffusion des épisodes de la série +Houb El Moulouk+ pour une durée d'une semaine à compter de ce lundi jusqu'à vendredi prochain, la chaîne étant invité à s'excuser auprès de l'opinion publique et à contrôler au préalable ses différents programmes notamment durant le mois de Ramadhan". L'ARAV a toutefois mis en garde contre des mesures coercitives en cas de récidive".
  • 07-04-2022
    -Le pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) a condamné, ce jeudi, l'ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, poursuivie pour corruption, à une peine de 6 ans de prison ferme assortie d'une amende de 200.000 DA. Une peine de 4 ans de prison ferme assortie d'une amende de 200.000 DA a été prononcée à l'encontre de l'ancien inspecteur général du ministère de la Culture, Abdelhamid Benblidia. L'ancien directeur de la culture de la wilaya de Tlemcen, Abdelhakim Miloud a été condamné à deux ans de prison ferme avec une amende de 100.000 DA. Le tribunal a ordonné la levée de la saisie des biens immobiliers gelés et condamné les accusés à verser au trésor public la somme de 100.000 DA à titre de réparation des dommages qu'il a subis. Les accusés ont été condamnés pour "abus de fonction, octroi d'indus avantages et dilapidation de deniers publics, notamment lors des manifestations culturelles organisées lorsque Khalida Toumi était à la tête du secteur, telles que la manifestation de "Tlemcen capitale de la culture islamique" en 2011, ainsi que le festival panafricain en 2009, et la manifestation Alger capitale de la culture arabe en 2007................................................ -- Le ministère de la Communication a appelé jeudi les médias, notamment les chaînes de télévision, à s'assurer de la véracité des informations et à vérifier leurs sources avant de les diffuser pour éviter de tomber dans le piège des fake news. Le ministère a souligné, dans un communiqué, la nécessité de vérifier les informations et leurs sources qui doivent être fiables et crédibles afin d'éviter la diffusion d'informations infondées qui représentent des fake news. Le ministère de la Communication a également mis en garde contre le risque de tomber dans le piège des fausses informations qui perturbent la tranquillité du public, en particulier les jeunes, et l'induisent en erreur, appelant ces médias au stricte respect des règles d'éthique du métier. Il est à noter que certains médias, notamment certaines chaînes de télévision, avaient diffusé jeudi, une information sans fondement qui concerne un large public, en particulier le segment des jeunes, sur la question de l'ouverture des stades au public dans la wilaya d'Alger.
  • 02-04-2022
    COMMUNICATION CHRONO S 2/4 -Coup de tonnerre sur la scène médiatique. Le quotidien national d’information d’expression française Liberté, créé en 1992, risque de disparaître des kiosques avant de fêter ses 30 ans d’existence. Issad Rebrab, actionnaire majoritaire du journal, a décidé de dissoudre à partir de mercredi prochain la Société algérienne d’édition et de culture (Saec-Liberté) qui édite le journal, a appris El Watan auprès de sources proches des salariés de l’entreprise. La décision de fermeture de l’un des plus grands titres de la presse nationale est motivée par des considérations «politiques» liée à sa ligne éditoriale, ont ajouté les mêmes sources. La situation financière du titre est néanmoins extrêmement fragile. Il cumulerait plusieurs bilans négatifs. Les employés du quotidien francophone se sont constitués en collectif dans l’espoir d’infléchir la décision de l’actionnaire majoritaire. Une rencontre est prévue, aujourd’hui, entre les employés et l’un des fils de l’homme d’affaires Issad Rebrab. De son côté, Abrous Outoudert, directeur de la publication et gérant du journal Liberté, a confirmé la volonté de Rebrab de fermer le quotidien. «Il a dit qu’il allait fermer le journal, mais à ce jour il n’est pas venu s’expliquer devant le collectif ni ne m’a appelé pour me donner des explications. Il a prévu une réunion qui va avoir lieu incessamment. Mais je ne connais pas les raisons qui l’ont poussé à prendre cette décision», a-t-il déploré dans une déclaration à El Watan. Le collectif de Liberté a déjà adressé un courrier au propriétaire du journal dans lequel il a sollicité une audience dans l’espoir d’infléchir sa décision, a-t-il précisé, relevant que ce collectif attend toujours la tenue d’une réunion avec l’actionnaire majoritaire. Notre interlocuteur n’a pas souhaité tirer de conclusions hâtives à propos des motifs réels de cette décision jugée, selon lui, inquiétante. «Le journal Liberté est déficitaire. J’ai fait une politique de compressions de personnels. Ça aurait pu marcher ! » a souligné le directeur de la publication. Selon des sources proches des salariés, «les autorités ne semblent pas apprécier la ligne éditoriale du journal et soupçonnent Issad Rebrab d’être derrière le ton critique de Liberté». En février dernier, la publication d’une interview du PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar, a provoqué la mise sous contrôle judiciaire d’un journaliste du quotidien. Sonatrach avait déposé plainte contre le quotidien Liberté auprès du tribunal de Bir Mourad Raïs pour avoir «manipulé et déformé» les propos de son PDG, qui avait accordé un entretien à ce journal. Ce que conteste la rédaction de Liberté. Le président Tebboune avait par ailleurs fait allusion à une manchette du journal, sans le citer, au sujet de la pénurie des produits de première nécessité sur le marché, qualifiant le titre de «mensonger». De tels incidents auraient donc mis sous pression l’actionnaire majoritaire du journal qui est aussi à la tête du plus grand groupe industriel privé algérien. Une chose est sûre : l’annonce de la prochaine fermeture du journal a déjà provoqué une onde de choc au sein de la corporation .