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Industries (et Artisanat)

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  • 28-12-2020
    -De passage,ce lundi, sur les ondes de la Radio nationale, le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali a tenu à mettre le point sur un dossier crucial qui focalise l’attention ces derniers temps, à savoir l’importation de véhicules dans ses deux variantes. Sur ce plan, le ministre a fait part de 180 dossiers de candidature de construction de véhicules et de concessionnaires de véhicules neufs, notant que certains dossiers n’étaient pas conformes au Cahier des charges. Aït Ali a surtout démenti toute existence d’autorisation de licence d’importation de plusieurs marques pour un seul concessionnaire, ainsi que, du reste, toute intention des autorités de revoir le Cahier les charges y afférent. S’agissant de l’importation de véhicules de moins de trois ans, le ministre a souligné que «ce dossier est définitivement clos, vu l’impossibilité de son application sur le terrain», a-t-il tranché. Adoptant, enfin, un ton réaliste, Aït Ali a indiqué que l’Industrie automobile n’était pas « la priorité », expliquant, dans ce sens, que «la gestion les revenus pétroliers, notamment avec le baisse les prix, se fait selon les priorités, précisant que la priorité actuellement est l’épidémie de Covid-19, et pas l’automobile», dira-t- il, estimant que les réserves de change «constituent une garantie de le souveraineté nationale, et on doit les préserver », a-t-il conclu.
  • 27-12-2020
    -De passage, lundi, sur les ondes de la Radio nationale, le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali a tenu à mettre le point sur un dossier crucial qui focalise l’attention ces derniers temps, à savoir l’importation de véhicules dans ses deux variantes. Sur ce plan, le ministre a fait part de 180 dossiers de candidature de construction de véhicules et de concessionnaires de véhicules neufs, notant que certains dossiers n’étaient pas conformes au Cahier des charges. Aït Ali a surtout démenti toute existence d’autorisation de licence d’importation de plusieurs marques pour un seul concessionnaire, ainsi que, du reste, toute intention des autorités de revoir le Cahier les charges y afférent. S’agissant de l’importation de véhicules de moins de trois ans, le ministre a souligné que «ce dossier est définitivement clos, vu l’impossibilité de son application sur le terrain», a-t-il tranché. Adoptant, enfin, un ton réaliste, Aït Ali a indiqué que l’Industrie automobile n’était pas « la priorité », expliquant, dans ce sens, que «la gestion les revenus pétroliers, notamment avec le baisse les prix, se fait selon les priorités, précisant que la priorité actuellement est l’épidémie de Covid-19, et pas l’automobile», dira-t- il, estimant que les réserves de change «constituent une garantie de le souveraineté nationale, et on doit les préserver », a-t-il conclu.
  • 03-12-2020
    -Le ministre de l’Industrie, Ferhat Ait Ali Braham a évoqué l'option d'un plan de redressement pour la relance de la machine de production de l'Entreprise nationale des industries de l'électroménager (ENIEM) qui bute actuellement face à un grand déficit budgétaire nécessitant des crédits bancaires pour le résorber . Dans une déclaration à la chaîne III de la radio nationale en marge de la séance plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN), il a indiqué que l'ENIEM connait "un endettement structurel qui est quasiment devenu chronique. Nous avons débloqué 1.2 milliards de dinars au début de l'année pour tenter de relancer la machine. Manifestement cela a permis de maintenir l'ENIEM en fonctionnement jusqu'à l'usure de l'enveloppe. Et la banque extérieur d'Algérie (BEA) qui devait fournir qui devait fournir 2 milliards de dinars n'a débloqué que 1.2 milliards de dinars et reste ainsi une cagnotte de 800 millions de dinars. Nous allons discuter avec la BEA pour essayer à nouveau de relancer la machine". Néanmoins Ferhat Ait Ali Braham a souligné que "ce problème structurel doit disparaître avec un plan de redressement. Lequel plan de redressement que nous avions demandé aux dirigeants de l'ENIEM et du groupe tutelle de l'entreprise il y a de cela pratiquement trois mois. Maintenant s'il y a carence de leur part, nous interviendrons directement avec notre plan de redressement" . Le ministre de l'industrie a expliqué que ce plan de redressement s'appuiera sur l'option d'"abandon" de certaines filiales pour axer sur "des produits à fort taux d'intégration". A rappeler, que les quelques 1700 travailleurs de l'ENIEM refusent de partir en congé technique décidé par le conseil d'administration de l'entreprise pour tout le mois de décembre courant. Lors d'une marche organisée mardi dernier à Tizi Ouzou, ils ont exigé le départ du président-directeur général de l'ENIEM et l'annulation de la mesure de leur mise en chômage technique en raison de la rupture de la matière première.