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Communication ( et Presse)

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  • 30-03-2023
    COM CHRONO J 30/3 - Lors d'une plénière consacrée aux questions orales à l'Assemblée populaire nationale (APN), le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani a affirmé ce jeudi à Alger que l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV), veillait à ce que les programmes diffusés par les différents médias soient conformes et respectent la déontologie et les spécificités de la société algérienne. Il a rappelé, dans ce sens, que la loi organique relative à l'information, récemment adoptée par les députés, "a conféré à l'ARAV un caractère spécial en élargissant ses missions à la régulation et au contrôle des services de la communication audiovisuelle et même sur internet". A une question relative à la promotion de certains fléaux sociaux par des chaînes de télévision à travers les programmes diffusés durant le mois de Ramadhan, le ministre a indiqué que l'ARAV "a invité, dans le cadre de ses activités anticipatives, les professionnels du secteur au contrôle de leurs programmes, au respect des spécificités du mois sacré et à ne pas courir après l'argent". La même instance a appelé également à éviter "toute manifestation de violence, à respecter le référent religieux et à assurer un service médiatique à la hauteur des aspirations de la famille algérienne", a ajouté M. Bouslimani. Il a par ailleurs indiqué que le ministère de la Communication a mis en place une "cellule de suivi de la qualité des programmes diffusés au cours de ce mois, pour renforcer la mission de l'Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV)", mettant en garde qu’en cas "de non-respect de la loi, le ministère n'hésitera pas à agir". Répondant à une question d'un autre député sur la durée de la publicité sur les chaînes télévisées, le ministre de la Communication a expliqué que "vu l'importance de la publicité", le secteur de la Communication "compte réglementer cette activité, qui manque à ce jour d'un cadre légal régissant le domaine avec professionnalisme et transparence". Il a fait savoir que, dans le cadre du projet de loi sur l'audiovisuel, "toutes les questions liées à la publicité seront prises en charge, à l’instar de la durée des spots publicitaires et la marge bénéficiaire", soulignant, dans ce cadre, que "la plupart des organes de presse du monde sont financés grâce aux revenus de la publicité et des annonces qui contribuent à relever la compétitivité". Le ministre de la Communication a souligné que la chaîne parlementaire constitue "un espace d'expression ouvert à tous les élus sans discrimination", ajoutant que l'Etat "œuvre à consacrer le principe de la liberté d'expression et de la presse conformément à la constitution et aux engagements du Président de la République". Dans le même sillage, M. Bouslimani a affirmé qu'outre "l'ouverture du bureau de la Télévision algérienne à Paris, une réflexion est actuellement en cours pour l’ouverture d’autres bureaux dans les capitales qui connaissent une forte présence de la communauté nationale, et ce pour transmettre leurs préoccupations et exprimer leurs opinions"............................................................................................ -L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a invité, ce jeudi, la Télévision publique à apporter des éclaircissements concernant une scène du feuilleton "El-Dama" montrant un mur d'un marché à Alger sur lequel est écrit le nom d'un mouvement séparatiste classé terroriste (ndrl : Mak). L'ARAV a indiqué, dans un communiqué, avoir "enregistré, en visionnant un programme de la Télévision publique, en l’occurrence le feuilleton ‘El-Dama’, dans son premier épisode, à la 19eme minute 45 secondes, une scène montrant un mur au niveau d’un marché à Bab El-Oued (Alger), sur lequel est écrit le nom d'un mouvement séparatiste classé comme terroriste". L'ARAV a affirmé avoir "saisi la télévision publique pour demander des éclaircissements à ce sujet et prendra les mesures nécessaires à la lumière des éclaircissements fournis par l’EPTV".
  • 28-03-2023
    -Hormis ceux du MSP, les députés ont adopté, ce mardi, le projet de loi organique sur l’information lors d’une séance plénière présidée par Brahim Boughali. Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a salué l’effort des élus et de la commission pour avoir enrichi un texte qui va permettre, selon lui, «l’émergence d’un système médiatique puissant qui consolide la liberté d’expression et garantit au citoyen le droit à une information crédible». «Le but recherché n’est autre que de garantir une pratique médiatique libre et responsable, respectueuse des lois de la République», a-t-il ajouté. Le texte, a-t-il enchaîné, est de nature à combler les manques des lois précédentes. «Les parlementaires et le Gouvernement forment une seule équipe et partagent le même souci, celui de procurer au citoyen une information correcte et crédible», a-t-il renchéri. En marge de la séance plénière, le ministre a encore une fois précisé que la nouvelle loi organique intervient pour traduire les principes constitutionnels et a pour ambition de réguler le secteur et de le remettre sur rails avant de faire remarquer que l’adaptation de la presse nationale aux exigences de l’heure est «une nécessité absolue pour pouvoir affronter les défis actuels». «Beaucoup de journalistes souffrent en silence et cette loi renferme justement des dispositions qui protègent leurs droits socioprofessionnels», a-t-il enfin souligné. Le nouveau texte a fait l’objet de 54 amendements dont trois propositions de nouveaux articles et la commission a pris en compte de nombreuses suggestions de fond et de forme des parlementaires. Sauf que l’amendement numéro 39 relatif à l’article 4 a subi une rectification de dernière minute. Il a été approuvé puis retiré par la commission de l’information, de la communication et de la culture de l’APN. Cela a suscité la colère de l’initiateur de l’amendement Abdelouahab Yaâkoubi, représentant de la communauté nationale établie à l’étranger. Il a d’ailleurs demandé un point d’ordre avant le début de la séance mais Boughali lui a signifié clairement que le mécanisme rectificatif est un droit dont jouit la commission et sa décision est fondée juridiquement. À titre de précision, la commission a justifié le retrait de cet amendement en expliquant, dans un communiqué rendu public, qu’après discussion approfondie il a été décidé de ne permettre l’exercice du métier qu’aux détenteurs de la nationalité algérienne. Motifs invoqués: si les binationaux ou les étrangers s’introduisent dans ce secteur sensible, cela pourrait ouvrir la porte aux ennemis de l’Algérie qui n’attendent qu’une telle occasion pour s’ingérer dans ses affaires internes. Ce qui pourrait nuire à la souveraineté nationale. Lors de la séance de vote, l’article 4 a été approuvé par les députés sous la forme suggérée par la commission. Par ailleurs, le rapport complémentaire de la commission a relevé que les débats ont été constructifs et veillé notamment à traduire la volonté du président de la République qui insiste sur la nécessité de voir ce secteur mieux organisé dans le but de consacrer la liberté d’expression et le droit du citoyen à une information crédible. La commission a rejeté les amendements déjà consacrés dans la Constitution. Elle a refusé également la suggestion selon laquelle les autorisations d’exercice médiatique devraient être attribuées par les autorités de régulation et non par le ministère de la Communication. Elle a approuvé, cependant, l’exigence de l’expérience professionnelle pour l’obtention de la carte de journaliste et insisté sur l’importance de durcir les dispositions concernant les atteintes à l’unité et aux institutions nationales. Le ministre a suggéré, pour sa part, un amendement oral afin d’ajouter un passage à l’article 17 qui autorise l’accès des diplômés universitaires au domaine de la presse. Il soutient néanmoins qu’il faut exiger une formation préalable dans les pratiques journalistiques avant de s’engager dans la profession. Cet article a été approuvé à l’unanimité par les députés. Concernant l’article 22, Bouslimani a souhaité que le délai d’attribution des accréditations aux correspondants permanents ne soit pas limité dans le temps par souci de mener des enquêtes approfondies et éviter des infiltrations dangereuses. La commission a limité le délai à 30 jours. Les députés ont approuvé le nouvel article 51bis proposé par la commission. Il stipule que toute entreprise médiatique refusant d’attribuer l’assurance-vie au journaliste doit s’acquitter d’une amende allant de 500.000 à un million de dinars. Dix amendements sur les 54 proposés ont été approuvés.
  • 27-03-2023
    -Le gouvernement au Burkina Faso a ordonné ce lundi la suspension «sine die» de la diffusion de France 24 sur son territoire, après une interview sur la chaîne d’informations du chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) il y a quelques semaines. «En ouvrant ses antennes au premier responsable d’AQMI, France 24 (…) offre un espace de légitimation des actions terroristes. Le gouvernement a donc décidé en toute responsabilité, et au nom de l’intérêt supérieur de la Nation, de la suspension sine die de la diffusion des programmes de France 24 sur l’ensemble du territoire national», indique un communiqué du gouvernement. Le 6 mars dernier, France 24 avait diffusé des réponses écrites d’Abou Obeida Youssef al-Annabi, le chef d’AQMI, à une quinzaine de questions posées par le journaliste de la chaîne française et spécialiste des questions djihadistes, Wassim Nasr. Début décembre, les autorités de Ouagadougou avaient déjà suspendu la diffusion de Radio France Internationale (RFI), du même groupe que France 24, France Médias Monde. RFI était notamment accusée d’avoir relayé «un message d’intimidation» attribué à un «chef terroriste». RFI et France 24 sont également suspendues au Mali. «Dans le noble combat engagé pour libérer notre pays de la barbarie des hordes terroristes et des bandits armés, le gouvernement prévient qu’il demeurera intransigeant dans la défense des intérêts vitaux de notre peuple contre tous ceux qui joueraient les mégaphones dans l’amplification des actions terroristes et des discours de haine et de division véhiculés par ces groupes armés», note le gouvernement............................................................. - Le gouvernement burkinabé a suspendu France 24 pour avoir publié une interview du chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). La chaîne française se défend d’avoir donné la parole à un terroriste. Dans la foulée de l’annonce des autorités du Burkina Faso, France 24 a publié sur son site un article pour donner son explication de la situation. La chaîne française nie avoir donné la parole au chef d’AQMI sur sa plateforme. « Jamais la chaîne ne lui a donné la parole directement, prenant soin de relater ses propos sous la forme d'une chronique permettant la distanciation et la contextualisation nécessaires. En outre, cette chronique permettait pour la première fois de confirmer que l'otage français Olivier Dubois, libéré depuis, était retenu par AQMI », explique France 24. Le média a qualifié « d’outrancier et de diffamatoires », le fait d’être comparée à une agence de communication pour les terroristes. La chaîne française juge également que les conditions de de suspension de son média, comme celles de RFI, n’étaient pas conformes à la loi. « La chaîne intervient sans préavis et sans que n'aient été mises en œuvre les procédures prévues par la convention de diffusion de France 24 établie par le Conseil Supérieur de la Communication du Burkina Faso […] Le gouvernement burkinabè avait déjà suspendu la radio RFI dans les mêmes conditions », a publié France 24. Pour le moment, aucune information n’a été rendue publique sur une communication entre les deux parties concernées
  • 21-03-2023
    -Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani a présenté, mardi devant les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN), le projet de loi organique relatif à l'Information, lors d'une plénière présidée par Brahim Boughali, président de l'Assemblée, en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Basma Azouar. Dans son exposé, M. Bouslimani a précisé que le projet de cette loi organique "s'inscrit dans le cadre de la concrétisation de l'un des 54 engagements du Président de la République dans le volet relatif à l'Information, visant à consacrer la liberté et le pluralisme de la presse, mais aussi garantir le respect des règles de professionnalisme et de l'éthique professionnelle, en faire un pilier de la pratique démocratique et la protéger de toutes formes de dérive". A rappeler que le projet de loi comprend quatre axes à savoir, les statuts du journaliste, les conditions et modalités d'octroi de la carte de journaliste professionnel, les modalités d'accréditation du journaliste relevant d'un média de droit étranger, et la composition, organisation et fonctionnement du Haut conseil d'éthique professionnelle........................................ - La chaîne Euronews s'arrête de diffuser ses programmes sur satellite. Dans une annonce laconique de Canal+ à ses abonnés on pouvait lire: «La diffusion de la chaîne Euronews en français s'arrête sur le satellite le 28 février 2023. La chaîne ne sera donc plus disponible en réception satellite à compter de cette date. L a chaîne Euronews (30 ans d’existence) qui devait quitter le satellite Astra le 28 février continue d'être disponible sur tous les autres modes de diffusion, y compris sur MyCanal. Sa disparition ne concerne que sa diffusion par satellite sur Astra (19,2° Est) et donc, par conséquent, le bouquet Canal+ par satellite et l'offre de TNT gratuite par satellite TNT Sat. Euronews est une chaîne de télévision pan-européenne multilingue d'information internationale en continu créée le 1er janvier 1993 et siégeant à Lyon (France). Euronews SA est détenue à 88% par le fonds d'investissement portugais Alpac Capital. Les 12% restants sont la propriété de 21 groupes audiovisuels publics et 3 collectivités territoriales.
  • 20-03-2023
    -Le journaliste français Olivier Dubois, otage depuis près de deux ans au Mali, a été libéré. Olivier Dubois avait été kidnappé le 8 avril à Gao, dans le nord du Mali, par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), principale alliance jihadiste au Sahel, liée à Al-Qaïda. Un autre otage, l'Américain Jeffrey Woodke, a également été libéré..................................................................... -L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a rappelé, lundi, à tous les acteurs du secteur la nécessité de contrôler leurs programmes, en respectant les spécificités du mois sacré de Ramadhan, et de ne pas se laisser emporter par l'appât du gain. "Tous les acteurs du secteur de l'audiovisuel sont tenus de contrôler leurs programmes, en respectant les spécificités du mois sacré de Ramadhan, ainsi que les règles d'éthique et de déontologie, de ne pas se laisser emporter par l'appât du gain et l'audimat, d'éviter toutes formes de violence, et de respecter le référent religieux national", précise un communiqué de l'ARAV. L'autorité appelle, en outre, "la nécessité de protéger les enfants et d'assurer un service médiatique qui soit à la hauteur des aspirations de la famille algérienne".
  • 19-03-2023
    -L'Etablissement public de télévision (EPTV) propose pour le mois sacré de Ramadhan une grille de programme riche et variée composée de feuilletons sociodramatiques, des programmes religieux, des sketchs, des talk-show et d'autres programmes de gastronomie et pour enfants pour satisfaire le public, a-t-on appris de l'Etablissement. A travers ses différentes chaînes, l'EPTV propose une série riche de feuilletons dramatiques dont le feuilleton "Dama" du réalisateur Yahia Mouzahem, "Harat Echouhada" de Mehdi Tassabest, les séries amazighes "Assif N'tzizwa" du réalisateur Idris Benchernine et "Izourane" de Boubkeur Slimane. Des sitcoms sont prévues dans le cadre de cette grille, à l'instar de "El Amri et El Amria" de Hakim Boudaya, "Garajna" de Hocine Meziani, "Dhara fi Dachra" de Nylda Ouziala, "Is3afkom", de Mehdi Tassabest, "Mayna" de Walid Bouchebah et "Yema Taâzizt" de Tarek Chaâlal. Des caméras cachées sont également prévues comme "Ma Tza3fouch 3lia" et des rencontres à l'honneur des figures artistiques pour rappeler à la mémoire l'art algérien authentique telles que "Jarka", "Sahratna", "Saha Ramdhankom", "Achiat Ramadhane", "Safar" et "Imghi N'toudert". Par ailleurs, la télévision publique algérienne diffusera plusieurs talk-show comme "Studio FM", "Ramadhan Show", "Saha S'hourkoum", "Rakoum Felbal avec Kamel", animé par le comédien Kamel Bouakkaz. Concernant les programmes religieux prévus sur la chaîne coranique, plusieurs émissions et concours religieux sont programmés dont "Tadj El Koran El Karim" pour la psalmodie du Saint Coran, "Hadi El Arwah" et la neuvième saison du programme "Mashafi". Pour la gastronomie, plusieurs programmes sont attendus dont "Alf Bena we Bena" et "El bena fi Tahwissa" qui vise à promouvoir le patrimoine culturel et la destination touristique algérienne. Des bulletins d'information seront diffusés tout au long du mois de Ramadhan à travers les différentes chaînes de l'EPTV (TV1, TV4, Canal Algérie, chaîne parlementaire), suivant un calendrier arrêté à partir de 8h00 jusqu'à 00h00. Le Journal télévisé sera diffusé à 18h30.
  • 13-03-2023
    -La Direction générale de la Communication à la Présidence de la République a dénoncé, ce lundi, l’initiative des responsables de l’Université de Batna I qui ont voulu distinguer le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, par le truchement d’un cadre, ce qui rappelle aux Algériens des pratiques d’une période honteuse, se démarquant par la même de cette initiative de mauvais goût, indique un communiqué de la Direction. La Direction générale de la Communication à la Présidence de la République « dénonce l’initiative des responsables de l’Université de Batna I qui, de leur propre initiative, ont décidé de distinguer le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, par le truchement d’un cadre, ce qui rappelle aux Algériens des pratiques d’une période honteuse ». « La Direction générale de la Communication se démarque de cette initiative de mauvais goût qui n’a aucun lien avec la vision du Président de la République, ni avec les pratiques et usages qu’il veut ancrer depuis son élection, à la faveur d’une Algérie nouvelle, lui qui a demandé dans son discours d’investiture qu’on retire le titre de « Fakhamatouhou » (Son Excellence), pour le remplacer par celui de +Monsieur+, battant en brèche tout comportement ou attitude relevant de la flagornerie »................................................... - e ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a adressé, ce lundi, ses sincères félicitations à l’ensemble des travailleurs de la Radio, à l’occasion de la Journée mondiale de ce média. Le thème choisi pour cette 12e édition est «Radio et paix»........................................................... -Invité par la Chaîne 1, le ministre a affirmé que «l’Algérie, avec l’ensemble de ses médias lourds, perpétue ce concept et refuse toute transgression de sa souveraineté». Il y voit comme preuve «les événements récents qui ont fait tomber les masques de personnes sous l’influence d’agendas étrangers». Pour lui, l’exfiltration d’Amira Bouraoui par les Français vient confirmer, une fois de plus, que l’Algérie, avec ses acquis, dérange certains cercles ennemis du pays dont la stratégie a échoué grâce à la vigilance des officiels et du peuple algériens. (..........) Bouslimani a mis notamment l’accent sur «le rôle majeur et pivot de la radio dans l’accompagnement des efforts des pouvoirs publics dans la construction de l’Algérie nouvelle à travers ses chaînes nationales et thématiques et ses stations régionales capables de transmettre les informations les plus fiables et d’impliquer le citoyen dans cette dynamique» (...........) Nous avons besoin, soutient-il, d’«une machine médiatique forte où le journaliste qui est le soldat de la parole et de la plume doit être au premier rang de cette nouvelle dynamique». Cela doit se faire, explique le ministre, «à travers un plan d’action global, dont la révision des lois sur les médias». Ce projet de loi actuellement au Parlement pour examen par des experts est composé, dit-il, «d’une loi organique, d’une loi sur l’audiovisuel et d’une autre sur la presse écrite et électronique». Ces lois, fait-il savoir, sont «en faveur de la profession et des journalistes en dépit du scepticisme affiché par certains, sachant que la liberté de la presse est garantie aussi bien par cette loi que par la Constitution». S’agissant de la presse audiovisuelle, il a rappelé qu’«il existe plusieurs chaînes privées toujours régies par un texte de loi étranger. Aujourd’hui, grâce à la nouvelle réorganisation, ces chaînes seront bientôt sous l’autorité de l’établissement public de diffusion». Selon le ministre, «l’opération a déjà commencé puisque 16 chaînes privées sont déjà sous l’autorité de cet établissement public». A propos des sites électroniques, Bouslimani a affirmé que «le pays a grandement besoin de plateformes pour combattre les campagnes de désinformation, d’autant plus que nous sommes à l’ère de la numérisation et de la prolifération de la presse électronique». «Notre objectif est que la presse électronique algérienne soit présente à l’étranger pour contribuer à faire connaître la véritable image de notre pays», conclut-il.
  • 12-03-2023
    -L'agence Algérie Presse Service (APS) et l'Agence congolaise de presse (ACP) ont signé dimanche à Alger un accord de coopération portant sur l'échange d'informations et de contenus médiatiques. L'accord a été signé par le directeur général de l'APS, Samir Gaïd, et son homologue d'ACP, Bienvenu-Marie Bakumanya, lors d'une cérémonie organisée au siège de l'APS. L'accord porte sur l'échange d'informations, de photos, d'infographies et dans le domaine audiovisuel.
  • 09-03-2023
    -Communiqué de presse (Extrait) : L' Assemblée Générale constitutive de l Association Nationale denommée CERCLE DES ANCIENS DE L INFORMATION ET DE LA CUTURE s'est reunie comme prévu jeudi 9 mars 2023 dans la salle des conférences du Centre culturel Larbi Ben M'hidi à Alger - Les membres fondateurs venus des differentes wilayas du pays ont adopté les statuts, les membres du Conseil National, le Bueau Executif National et le Président de la nouvelle association (Youssef Ait Tahar, un ancien journaliste de la Radio nationale) et ce en présence et sous la supervision d 'un huissier de justice conformement à la loi. L'Association aura pour but d'être : un espace de retrouvailles et de rencontres entre anciens professionnels du secteur de l' information et de la culture à la retraite ou totalisant au moins vingt ans d'expérience dans l’exercice de leur métier ou leur art. -de proposer à ses membres ses services en matière d’informations diverses et de conseils, d’organisation de cours et d’ateliers en matière de formation continue, d'initiation aux technologies nouvelles de l’information et de la communication, - d’organiser des rencontres conviviales et des rencontres thématiques, des sorties, des concerts, spectacles et randonnées. Et ce, tout en favorisant l’assistance mutuelle entre ses membres et ses adhérents. Elle sera également un espace ressources. et constituera un outil de collecte et de préservation de la mémoire du secteur de l’information et de la culture, un espace de réflexion, d’analyses et d échanges sur des thèmes majeurs en lien avec l’information et la culture. Tout comme elle contribuera à la transmission des expériences professionnelles et des savoir-faire acquis par les anciens aux nouvelles générations qu’ils soient étudiants ou débutants dans les différents arts et métiers du secteur et ce à travers des conférences et ateliers qu'elle organisera. - L association contribuera au développement culturel et au rayonnement des arts en Algérie par diverses manifestations culturelles et artistiques organisées et initiees par elle et à son initiative ou en partenariat avec d 'autres acteurs et institutions locales et nationales. L’association ambitionne d’être un espace convivial de rencontres et d’échanges inter générationnels entre ses membres, les travailleurs du secteur et les étudiants et élèves des écoles et instituts du secteur Elle est appelée à être un lieu de mémoire et de commémoration alimenté par des témoignages et hommages rendus, sous diverses formes, aux professionnels anciens en vie ou disparus. Le groupe facebook de cette association compte déjà 900 mrmbres (écrivains, journalistes, cameramens, photographes, cineastes, realisateurs, metteurs en scéne, comediens et acteurs, peintres, musiciens, cadres gestionnaires, ensrignants des instituts et écoles du secteurs...) sur son compte facebook
  • 08-03-2023
    -Les travailleurs du journal El Watan ont annoncé, ce mercredi, la fin de leur mouvement de grève déclenché en septembre 2022. L’annonce de la fin de la grève intervient après le versement d’un premier salaire pour les travailleurs du quotidien national et l’ammorce d’un dialogue entre le syndicat de l’entreprise et le PDG de la SPA El Watan. « Réunie aujourd’hui, l’Assemblée générale extraordinaire (AGEX) des travailleurs de la SPA El Watan a décidé majoritairement, après un long débat, de mettre fin au mouvement de grève illimitée déclenché le 16 septembre 2022 en raison du non-paiement des salaires depuis le mois de mars 2022 », indique un communiqué du syndicat de l’Entreprise SPA El Watan. « Cette décision intervient après le versement d’un premier salaire le 5 mars dernier et l’amorce d’un dialogue entre le bureau du Syndicat d’Entreprise et le PDG de la SPA El Watan ainsi que l’engagement de ce dernier à assainir la situation socioprofessionnelle des travailleurs », précise-t-on.
  • 07-03-2023
    -Le juge d'instruction près le Pôle pénal économique et financier de la Cour d'Alger a ordonné le placement en détention provisoire de deux anciens Directeurs généraux de l'Agence nationale d'édition et de publicité (ANEP), répondant aux initiales de "K. Dj." et "Ch. A.", et 5 autres accusés sous contrôle judiciaire, dont l'ancien ministre de la Communication répondant aux initiales de "H. G.", impliqués dans des affaires de corruption et de dilapidation de deniers publics, a indiqué lundi un communiqué du Procureur de la République près le Pôle pénale économique et financier. "En vertu des dispositions de l'article 11 du Code de procédure pénale, le Parquet de la République près le Pôle pénal économique et financier porte à la connaissance de l'opinion publique que suite à l'enquête ouverte par le service régional des enquêtes judiciaires relevant de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), pour des faits de corruption et de dilapidation de deniers publics concernant l'ANEP, ayant entrainé des pertes au Trésor estimées à des milliards, les mis en cause ont été présentés devant le Parquet le 5 mars 2023", lit-on dans le communiqué. Il s'agit d'"octroi d'espaces publicitaires à des journaux minuscules et d'autres fictifs, n'existant pas sur la scène médiatique, sans atteindre l'objectif de la publicité, outre le népotisme qui sévissait à travers le choix de titres donnés, avec la complicité de responsables à l'ANEP". "Le dossier a été transmis au juge d'instruction près le Pôle pénal économique et financier, lequel a ordonné, après audition de toutes les parties concernées, le placement des mis en cause +K. Dj+ et +Ch. A+, deux anciens DG de l'ANEP, en détention provisoire, et de cinq autres accusés sous contrôle judiciaire, dont l'ancien ministre de la Communication "H. G.", conclut la source
  • 06-03-2023
    -Le Quotidien El Watan annonce que ses comptes bacaires ont été débloqués après la conclusion d’un accord avec l’administration fiscale de la wilaya d’Alger le 13 février dernier (calendrier établi sur une péroiode de 60 mois). De ce fait « les versements des premies salaires des travailleurs ont été effectués après 5 mois sans salaires pour les grévistes et 12 mois pour les non grévistes ».....tout ceci « grâce aux gains générés par les ventes du journal et de ses apports en recettes publicitaires publiques et privées »............................................................ --Le juge d'instruction près le Pôle pénal économique et financier de la Cour d'Alger a ordonné le placement en détention provisoire de deux anciens Directeurs généraux de l'Agence nationale d'édition et de publicité (ANEP), répondant aux initiales de "K. Dj." (note : Djamal Kaouane ?) et "Ch. A." (note : Amine Chikr ?), et 5 autres accusés sous contrôle judiciaire, dont l'ancien ministre de la Communication répondant aux initiales de "H. G." (note : Hamid Grine ?) , impliqués dans des affaires de corruption et de dilapidation de deniers publics, a indiqué lundi un communiqué du Procureur de la République près le Pôle pénale économique et financier. "En vertu des dispositions de l'article 11 du Code de procédure pénale, le Parquet de la République près le Pôle pénal économique et financier porte à la connaissance de l'opinion publique que suite à l'enquête ouverte par le service régional des enquêtes judiciaires relevant de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), pour des faits de corruption et de dilapidation de deniers publics concernant l'ANEP, ayant entrainé des pertes au Trésor estimées à des milliards, les mis en cause ont été présentés devant le Parquet le 5 mars 2023", lit-on dans le communiqué. Il s'agit d'"octroi d'espaces publicitaires à des journaux minuscules et d'autres fictifs, n'existant pas sur la scène médiatique, sans atteindre l'objectif de la publicité, outre le népotisme qui sévissait à travers le choix de titres donnés, avec la complicité de responsables à l'ANEP". "Le dossier a été transmis au juge d'instruction près le Pôle pénal économique et financier, lequel a ordonné, après audition de toutes les parties concernées, le placement des mis en cause +K. Dj+ et +Ch. A+, deux anciens DG de l'ANEP, en détention provisoire, et de cinq autres accusés sous contrôle judiciaire, dont l'ancien ministre de la Communication "H. G.", conclut la source
  • 05-03-2023
    -Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a mis en avant dimanche le "bond remarquable" enregistré en matière d'échanges d'informations et de programmes entre les médias arabes en 2022 notamment à l'occasion de la couverture médiatique des travaux du Sommet arabe tenu en novembre dernier à Alger et dont les conclusions liées à l'unification des rangs arabes et au renforcement de l'action arabe commune, ont été particulièrement saluées. S'exprimant à l'ouverture des réunions périodiques des coordinateurs des radios télévisions arabes, des ingénieurs et des techniciens des réseaux d'échanges à Alger, M. Bouslimani s'est félicité du "bond remarquable enregistré en matière d'échanges d'informations et de programmes en 2022 notamment à l'occasion de la couverture médiatique des travaux du Sommet arabe tenu en novembre dernier en Algérie et dont les conclusions liées à l'unification des rangs arabes et au renforcement de l'action arabe commune, ont été particulièrement saluées
  • 03-03-2023
    -(www.dia.dz): Après la fermeture du champ audiovisuel français, suite au scandale de BFMTV et son journaliste M’barki, le Maroc, en furie, s’acharne sur l’Algérie en utilisant la chaîne israélienne I24news, appartenant à Patrick Drahi, le patron également de BFMTV pour s’attaquer à l’Algérie. Ainsi, plusieurs émissions en français et en arabe se sont attaqué à l’Algérie en revendiquant des territoires qui appartient par l’histoire à l’Algérie. Saïd Affassi, journaliste marocain de la chaîne I24 news en arabe, intervient dans une émission en français, en parlant en arabe alors qu’il maitrise la langue de voltaire puisqu’il a fait ses études à Montpellier. Le journaliste revendique des territoires algériens alors que deux territoires marocains, Ceuta et Mellila qui sont ancrés dans son territoire, restent sous l’autorité espagnole. Le Makhzen est même allé même faire parler un gars de ses services, Habboub Cherkaoui, directeur du BCIJ, le « FBI marocain » pour inventer des liens fantoches entre le Hizbollah libanais et le Polisario. Le Makhzen utilise à fond la chaîne israélienne I24 News en raison du manque de crédibilité de ses médias locaux Medi1 Tv ou encore 2M ou MAPTV. Après la fermeture du champ audiovisuel français au lobbying marocain, le Makhzen n’a d’autre choix que d’utiliser l’arme médiatique israélienne pour s’attaquer à l’Algérie.
  • 01-03-2023
    - La direction de publication de « Reporters » (note- Quotiden francophone)informe ses lectrices et lecteurs que le quotidien ne paraît plus en version papier imprimée depuis le 1er mars 2023. Cette décision, qu’on souhaite momentanée, ne découle pas d’un choix volontaire. Elle a pour explication et justification une situation financière rendue intenable par des charges sans cesse croissantes et un revenu publicitaire en régression. Repoussée pendant plusieurs années, la résolution d’interrompre la parution du journal s’est imposée ces dernières semaines. Elle est apparue inévitable, sauf à renoncer au paiement des salaires du personnel qui a déjà consenti dans son ensemble bien des sacrifices, ou à laisser s’accumuler des dettes et des litiges auprès de l’imprimeur et des autres prestataires nécessaires. Néanmoins, le site électronique du journal restera ouvert et notre offre éditoriale continuera d’être assurée même de manière réduite pendant quelques jours. Ce sera le temps, court et décisif, que prendra la réflexion sur la manière de rester en ligne et de continuer notre travail d’information sans renoncer au sérieux et à la rigueur que nous avons tant cherchés depuis la sortie du premier numéro de Reporters, il y a dix ans et cinq mois. La direction de publication de Reporters tiendra ses lectrices et lecteurs au courant des développements à venir.