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Economie

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  • 17-02-2025
    -L'Agence algérienne de promotion de l'investissement (AAPI) a enregistré plus de 700 projets d'investissement, depuis le début de l'année en cours, d'une valeur de plus de 889 milliards de DA, a annoncé, ce lundi à Alger, le directeur général de l'AAPI, Omar Rekkache, prévoyant une hausse du nombre des projets à la faveur du retour de la confiance des investisseurs dans le climat des affaires en Algérie.
  • 16-02-2025
    -Nadir Larbaoui, chef de gouvernement, a présidé les travaux de la 193e session du CPE, consacrée à la poursuite du transfert, à titre onéreux, au profit des institutions et organismes publics, de plusieurs biens meubles et immeubles confisqués par décisions judiciaires définitives dans le cadre des affaires de lutte contre la corruption. Lors de la réunion, l'accent a été mis sur la nécessité d'accélérer la prise des mesures nécessaires pour garantir l'exploitation optimale des unités de production transférées au profit de la collectivité nationale, conformément aux directives du président de la République.
  • 15-02-2025
    -L’agence de notation africaine, dont la création vient d’être annoncée, jouera un rôle "déterminant" sur les plans économique et financier du continent, estiment des experts, qui relèvent que cette entité adoptera son propre système d’évaluation des économies africaines, permettant, ainsi, de s’affranchir des agences privées dominantes, souvent critiquées pour leur "subjectivité et partialité". A noter que les trois principales agences mondiales (Fitch, Standard & Poor’s et Moody’s) attribuent aux pays africains des notes défavorables, entraînant des taux d’emprunt élevés sur les marchés internationaux. "Ces taux élevés pèsent lourdement sur les finances des Etats africains, alors que le service de la dette représente plusieurs milliards de dollars", explique un expert . Il rappelle également que ces agences sont critiquées au niveau international, notamment pour leur rôle dans la crise des subprimes, ayant résulté d’une mauvaise évaluation des produits financiers.
  • 02-02-2025
    -Constat plus que positif, relevé par la dernière évaluation de l’ONS en matière de recul du taux annuel de l’inflation. Ce dernier se stabilise à 4,1 % au mois de décembre, 2024 reflétant, les résultats de la nouvelle politique économique, et les effets des actions de régulation et de réformes engagées ces dernières années. À ce titre, l’ONS précise qu’ « en 2024, comparé à 2023, toutes les catégories de produits se caractérisent par un ralentissement du rythme de hausse de leur prix, ce qui a influencé la variation globale. En décembre 2024, les prix à la consommation enregistrent une augmentation de +3,0%, bien inférieure à celle de l’année précédente à la même période (+7,8%) »................................................. -L’Algérie est appelée à devenir un pays émergent du niveau des pays du Sud de l’Europe, probablement dans deux ans, a indiqué le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, affirmant, par ailleurs, que le pays n'avait pas besoin des "aides" françaises au développement, lesquelles ne "servent que les intérêts de la France". "Si Dieu le permet, peut-être dans deux ans au maximum, l’Algérie sera un pays émergent du niveau des pays du Sud de l’Europe avec un PIB de plus de 400 milliards de dollars", a dit le président de la République dans un entretien au quotidien français L’Opinion. "Début 2027, tout au plus, nous aurons achevé notre programme de construction de 3,5 millions de logements -deux millions sont déjà livrés-, nous en aurons aussi terminé avec le problème de l’eau et nous aurons réduit l’importation de matières premières pour nos usines. Nous allons être parmi les plus grands pays exportateurs de phosphates et dérivés. Nous allons aussi développer l’énergie solaire et la production d’hydrogène vert, une nouvelle ressource qui renforcera l’attractivité industrielle de l’Algérie", a-t-il énuméré. Cela "nous permettra aussi d’augmenter notre capacité à fournir de l’énergie à l’Europe", a soutenu le président de la République, rappelant que le pays était également en train de renforcer sa sécurité alimentaire et mobiliser davantage de ressources hydriques. Interrogé sur les "aides" de développement françaises qui seraient accordées à l’Algérie et sur une éventuelle suppression de ces aides, le président de la République a estimé que toute demande de suppression de ces "aides" relevait tout simplement "d’une profonde méconnaissance de l’Algérie". "C’est de l’ordre de 20 à 30 millions par an. Le budget de l’Etat algérien est de 130 milliards de dollars et nous n’avons pas de dette extérieure", a-t-il fait observer. Il a, par la même, rappelé que l’Algérie "finance chaque année 6000 bourses au profit d’étudiants africains, une route de plus d’un milliard de dollars entre notre pays et la Mauritanie et nous venons d’effacer 1,4 milliard de dette à douze pays africains". Le président de la République a clairement affirmé que l’Algérie n’a pas besoin de ces "aides" qui ne servent en réalité que les intérêts de la France. "Nous n’avons pas besoin de cet argent qui sert avant tout les intérêts d’influence extérieure de la France", a-t-il tranché. Interrogé, par ailleurs, sur la coopération économique avec la Chine, le président de la République a avancé que "les Chinois s’intéressent à de nombreux secteurs d’activité (en Algérie): des technologies de pointe à l'électronique en passant par le numérique, les batteries au lithium puisqu’on dispose de cette matière première". Il a rappelé à cet égard que les opérateurs chinois "sont venus au début pour construire des logements au grand dam des groupes français comme Bouygues" qui lorgnaient le marché de Djamaa El Djazair. "Les Chinois ont proposé les meilleures offres, les délais les plus courts. Nous sommes satisfaits de leurs prestations", s’est-il réjoui. Le président de la République a, en outre, salué la coopération avec l’Italie, qui a "toujours été un partenaire très fiable". "Nos amis italiens sont de bonne foi. On s’aide réciproquement et l’Italie renforce ses positions économiques chaque année", a-t-il soutenu. A une question sur les raisons ayant poussé l’Algérie à demander une révision de son accord d’association avec l’Union européenne, le président de la République a expliqué que cette demande a été dictée par le souci du pays, riche d’une production industrielle diversifiée, de voir ses exportations pénétrer le marché européen dans des conditions préférentielles. "Notre ambition exportatrice s’affirme. En 2005, nous n’avions guère de productions hors hydrocarbures. Aujourd’hui, nous avons une production industrielle nationale", a-t-il déclaré. "Tout l’électroménager est algérien. Notre agriculture génère, selon la FAO, 37 milliards de dollars par an. On exporte des produits maraîchers en Tunisie, en Mauritanie et au Moyen-Orient. Il faut réviser l’accord pour que nos produits agricoles et notre acier accèdent au marché européen dans des conditions préférentielles", a soutenu le président de la République.