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  • 17-02-2023
    -. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a adressé, vendredi, un message à l'occasion de la Journée nationale du Chahid (18 février), dans lequel il a affirmé que la fidélité aux chouhada demeurait une union nationale sacrée, qui immunise la cohésion du tissu social de l'Algérie contre ceux qui surfent sur la vague attentatoire au pays. "La fidélité aux chouhada demeure une union nationale sacrée, qui immunise la cohésion de notre tissu social contre ceux qui surfent sur la vague attentatoire à notre pays et persistent dans leurs dérives et leurs dérapages visant à saper le processus que nous avons amorcé, en faveur d'un développement national durable dans une Algérie nouvelle prometteuse", a écrit le Président Tebboune dans son message. Ces dérives visent à "influer sur les positions de l'Algérie et sur son interaction avec son environnement régional et international, sur la base d'une coopération fondée sur les intérêts mutuels et conjuguée au total respect du principe de l'indépendance des Etats et de la notion d'égal à égal", a ajouté le président de la République........................................ -. Le ministère des Moudjahidine et des Ayants-droit s'emploie depuis des années à baptiser des institutions, lieux et édifices publics de noms de chouhada et de moudjahidine en vue d'éliminer toutes les appellations à connotation coloniale Dans ce cadre, et en vertu du décret présidentiel 14-01 du 5 janvier 2014, fixant les modalités de baptisation ou de débaptisation des institutions, lieux et édifices publics, 170 stèles commémoratives, rues, institutions et édifices publics ont été baptisés de noms de chouhada et de moudjahidine décédés, qui ont fait l'histoire de la résistance populaire, du mouvement national et de la glorieuse Révolution de libération nationale. Parmi ces 170 baptisations nationales, 24 ont été enregistrées en 2022. Au niveau local, les commissions de wilaya ont enregistré 164.003 baptisations, dont 10.248 en 2022. Outre le décret présidentiel qui stipule que "la baptisation ou la débaptisation de noms de chouhada, de moudjahidine décédés, d'évènements ou de dates inhérents à la résistance populaire, au mouvement national et à la Révolution de libération nationale est soumise à l'autorisation préalable du ministre des Moudjahidine, après avis de l'organisation nationale des moudjahidine", l'opération se réfère "aux lois, décisions et instructions interministérielles, notamment en ce qui a trait à l'instruction du 24 novembre 2019", ajoute la responsable. La baptisation des monuments historiques inhérents à la résistance populaire, au mouvement national et à la Révolution du 1er Novembre doit être proposée par le secteur des moudjahidine, conformément à l'article 02 du décret présidentiel 14-01, a-t-elle dit, précisant que celle-ci est soumise à l'autorisation préalable du ministre des moudjahidine, après avis de l'Organisation nationale des moudjahidines (ONM), et ce conformément aux dispositions de l'article 8 du même décret. La commission nationale de baptisation ou de débaptisation placée auprès du ministre des Moudjahidine comprend des représentants des secteurs de la défense, de l'intérieur, des affaires étrangères, de la culture, de la poste et des technologies de l'information et de la communication, le Secrétaire Général de l'ONM ou son représentant, des représentants de l'Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC) ainsi que le secteur concerné par la baptisation ou la débaptisation.
  • 08-02-2023
    -Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, a indiqué ce mercredi après-midi à Sakiet Sidi Youssef (Tunisie) que la date du 8 février 1958 "symbolise la grandeur et la noblesse des images de la cohésion entre les Algériens et leurs frères tunisiens pour la défense des valeurs de droit, de la justice, de la dignité humaine, la liberté et de l’indépendance". Le ministre qui supervisait avec le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du Territoire, Brahim Merad, du côté algérien, et le ministre de l’Intérieur, Taoufik Charafeddine, et la ministre des Affaires culturelles Hayet Ketat Guermazi, du côté tunisien, les festivités commémorant le 65e anniversaire des massacres de Sakiet Sidi Youssef, a indiqué que la préservation de ces valeurs thésaurisées par le patrimoine historique, commun des deux pays et la transmission de ses valeurs aux générations successives constitue "une base pour s’inspirer de ses sources débordantes qui nous renforcent à poursuivre le trajet commun entre les deux pays frères"
  • 05-02-2023
    -Outré d'apprendre que le moudjahid El Hadi Radjeb n'avait pas la nationalité algérienne, le Président de la République Abdelmadjid Tebboune a signé un décret lui octroyant la nationalité, en le rétablissant dans ses droits. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, outré et peiné d'apprendre cette grave et honteuse situation qu'a endurée un authentique moudjahid, qui avait rejoint, à l'âge de 14 ans, la légendaire troupe du FLN (Front de libération nationale), a immédiatement ordonné de rétablir le défunt El Hadi Radjeb dans ses droits. C'est la famille du défunt moudjahid, par l'intermédiaire de sa veuve, qui a informé le président de la République, que son défunt époux, avait frappé à toutes les portes pour obtenir sa nationalité, mais en vain, la broyeuse machine bureaucratique était "très puissante". "Je demande une seule chose : la nationalité à mon défunt époux", a exhorté la veuve du moudjahid. Le vœu de la famille et du défunt a été exhaussé, le président de la République a signé le décret octroyant la nationalité au moudjahid El Hadi Radjeb, qui a été remis jeudi 2 février 2023 à la famille du défunt. Tout le monde comprendra aujourd'hui la guerre que mène le président de la République contre cette bureaucratie, qui mène la vie dure à la République. "La bureaucratie est le plus grand danger qui menace le pays", avait relevé le Président Tebboune dans l'une de ses rencontres avec la presse. Il n'avait pas tort, car cette bureaucratie menace même notre riche et grande Histoire.