Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Communication ( et Presse)

Mois du 02/2022

<< février 2022 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
29 30 31 1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 1 2 3 4



  • 27-02-2022
    -La radio algérienne a mis en place des bureaux permanents au niveau des dix (10) nouvelles wilayas dans le Sud du pays dans le cadre des démarches visant à étendre son champ de diffusion et renforcer l’information de proximité, a affirmé dimanche à Ouargla son directeur général, Mohamed Baghali. "Les nouveaux bureaux, +projets de futures stations+, permettront d’offrir aux habitants des dix nouvelles wilayas dans le Sud un service radiophonique au même titre que leurs concitoyens à travers le pays", a affirmé M. Baghali lors d’un séminaire sur "la radio algérienne, parcours historique et mutations technologiques". La radio algérienne dispose ainsi aujourd’hui de 48 stations régionales et 10 bureaux dans les nouvelles wilayas, en plus de trois (3) stations en langue arabe, amazighe et française, une radio internationale, une radio dédiée aux jeunes "Jil-FM" et la radio du Coran, a-t-il souligné…………………………………………….. -Les médias d’État russes Russia Today (RT) et Sputnik vont être bannis de l’Union européenne, afin de les empêcher de diffuser leurs «mensonges» sur la guerre menée par Moscou en Ukraine, a annoncé ce dimanche la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. «Nous allons interdire dans l’UE la machine médiatique du Kremlin. Les médias d’État Russia Today et Sputnik, ainsi que leurs filiales, ne pourront plus diffuser leurs mensonges pour justifier la guerre de Poutine et pour semer la division dans notre Union. Nous développons donc des outils pour interdire leur désinformation toxique et nuisible en Europe», a indiqué la responsable européenne. Cette chaîne d’information internationale est diffusée dans une centaine de pays en français, en anglais ou encore en espagnol. Elle bénéficie, avec le site Spoutnik – sa déclinaison numérique-, d’un budget annuel de 430 millions d’euros, entièrement financé par l’État russe. La France n’était pas le seul pays où RT se retrouvait dans le collimateur. Mercredi, le gouvernement britannique a demandé au régulateur de la télévision, l’Ofcom, un réexamen de la licence accordée à la chaîne publique russe en anglais. Début février, l’Allemagne a interdit Russia Today sur son territoire. Moscou avait répliqué en fermant le bureau de la radio-télévision allemande Deutsche Welle à Moscou. Et laissé entendre que la BBC pourrait écoper du même sort. Un peu plus tôt dans la journée, le géant américain de l’internet Google a annoncé avoir «suspendu» la possibilité pour les médias financés par l’État russe de générer de l’argent sur ses différentes plateformes, en réponse à l’invasion de l’Ukraine par Moscou. Cette décision fait suite à des mesures similaires prises par sa filiale YouTube et par le réseau social américain Facebook.
  • 23-02-2022
    -Communiqué : « El Watan est contraint d’augmenter le prix de vente de la publication à 40 DA à partir du 1er mars prochain, mesure qui s’impose aujourd’hui comme une urgence vitale. Le titre est sous la menace d’une disparition du champ médiatique national. Régulièrement, depuis au moins deux années, le lectorat a été mis au courant des graves difficultés économiques rencontrées par le journal pour continuer à paraître et assurer sa présence dans tous les kiosques du pays, avec régularité et constance au niveau de la qualité éditoriale. Le principal écueil réside dans la quasi totale disparition de la principale ressource qu’est la publicité. Le secteur privé, depuis 2014, sous l’effet de la crise économique a restreint drastiquement ses budgets publicitaires, et pas seulement en direction d’El Watan, tandis que la publicité dite étatique gérée par l’entreprise ANEP n’a eu de cesse d’obéir à des considérations politiques, pratique inaugurée depuis le début des années 1990. El Watan, rappelons-le, reste exclu de la publicité institutionnelle, alors qu’il représente aujourd’hui le plus grand tirage de toute la presse nationale, au mépris du bon sens des règles du marché les plus élémentaires. A cela il faut ajouter la hausse récente des coûts d’impression avec le renchérissement brutal du papier que la filiale d’El Watan se charge d’importer sur sa propre trésorerie pour les besoins de sa rotative. Le journal a continué d’exister grâce au recours à la vente d’une grande partie de son patrimoine, au resserrement drastique de ses dépenses de fonctionnement et, bien entendu, grâce à son lectorat. Celui-ci est resté fidèle, bien qu’il ait rétréci en nombre sous l’effet essentiellement de la concurrence féroce des médias électroniques et des aléas de la distribution du journal à l’échelle nationale, notamment dans le contexte de l’épidémie de Covid-19. C’est justement sur cette fidélité que compte aujourd’hui El Watan : les lecteurs doivent comprendre que la hausse de 10 DA de leur journal est nécessaire et vitale et que, combinée à d’autres mesures liées à la gestion en interne, elle peut sauver l’entreprise et les emplois de ses 145 salariés. En même temps, elle pourrait préserver le titre qui s’est fait une place honorable sur le champ médiatique national depuis sa naissance en octobre 1990, en dépit de toutes les contraintes politiques et difficultés économiques » (El Watan)
  • 22-02-2022
    -Paru le 20 février dernier, dans sa première édition, le quotidien (de statut privé et en langue arabe) Errahen tend à diffuser et à traiter les rendez-vous culturels, l’actualité des artistes et leurs œuvres, la vie des musées et autres institutions culturelles à l’intention des initiés et du large public. «Les informations relatives aux arts et à la culture passent inaperçues dans les médias. Les couvertures faites n’axent pas sur l’événement lui-même par exemple une exposition, un vernissage, une pièce de théâtre ou un film. Les projecteurs sont braqués sur un personnage public ou un responsable officiel tout en omettant l’occasion ou la thématique de la rencontre », a fait savoir notre interlocuteur. Selon Fenni, Errahen vise à proposer une réponse et combler ce manque de médiatisation des événements et activités du secteur. « Il est temps de renverser la vapeur. La culture se dévoile sous plusieurs aspects et les disciplines artistiques sont nombreuses, par conséquent consacrer un titre de la presse au domaine est anodin », a-t-il noté.
  • 15-02-2022
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a accordé une entrevue aux représentants de la presse nationale qui sera diffusée ce mardi soir sur les chaînes de télévision et les radios nationales, indique un communiqué de la Présidence de la République................................................................. --Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a procédé, ce mardi, au lancement de la plateforme numérique Taghamsa pour la terminologie de la presse amazighe, en présence de Si El-Hachemi Assad, secrétaire général du Haut-Commissariat à l’amazighité, et de Mohamed Baghali, directeur général de la radio algérienne. Fruit de la coopération entre le HCA et la Radio algérienne, cette plateforme électronique est un outil important de travail qui offre aux journalistes l'occasion d'échanger leurs expériences professionnelles en termes d’usages linguistique et conceptuel. Taghamsa regroupe les termes médiatiques les plus importants en langue amazighe comprenant toutes ses variables linguistiques utilisées sur le territoire national.
  • 14-02-2022
    -Le ministère de la Communication prépare une loi sur la publicité, un projet qui date de plusieurs années. Mohamed Bouslimani, ministre de la Communication, a annoncé la préparation d’une loi sur la publicité et une autre sur les sondages d’opinion. « Ces deux textes de loi seront préparés pour la première fois dans le pays », a-t-il déclaré lors d’un passage, lundi 14 février, au Forum de la Chaîne Une de la radio nationale. Mohamed Bouslimani a également évoqué l’élaboration d’un avant-projet de loi organique sur l’information qui remplacera le texte adopté en 2012. « Il s’agit de s’adapter à la Constitution de 2020 et aux développements survenus sur la scène médiatique dont l’émergence de la presse électronique », a-t-il déclaré. Il a indiqué qu’officiellement l’Algérie a une presse électronique depuis la promulgation du décret exécutif de novembre 2020.« Aujourd’hui, nous avons 130 sites d’information électroniques autorisés et nous avons reçu d’autres demandes. Les chiffres importe peu, l’important est que ces sites s’engagent à défendre les intérêts supérieurs de l’Etat et à fournir des informations objectives pour avoir de la crédibilité. La presse électronique est la seule qui n’ a pas de soutien de l’Etat. Les journaux, les radios et les télés bénéficient de la publicité accordée par l’ANEP, pas les sites électroniques. Nous allons aider la presse électronique et lui fournir les moyens de travailler », a annoncé Mohamed Bouslimani.« L’objectif de cette nouvelle loi, qui consacre la liberté d’expression, est d’organiser le secteur de la presse et d’aider les journalistes à être plus professionnels tout en améliorant les conditions de travail. Nous avons consulté beaucoup de professionnels avant d’élaborer le texte », a-t-il détaillé à propos de la prochaine loi sur l’information.La nouvelle loi permettra la création d’un Conseil de la presse, composé d’experts et de journalistes de la presse électronique, écrite et audiovisuelle. « Le Conseil va créer des comités, comme celui de l’éthique et de la déontologie composé de professionnels de la presse. Il s’agit de mettre fin à l’anarchie. Il y aura aussi un autre comité qui sera celui de la carte du journaliste professionnel », a précisé le ministre. Selon lui, la carte délivrée par l’ancien comité (créé à l’époque de Hamid Grine, ministre de la Communication), est détenue par des professionnels et des non professionnels. Le ministre a parlé aussi de la nécessité de réorganiser l’activité des chaînes de télévision privées, toujours sans statuts depuis l’ouverture du champ audiovisuel en 2013. Il a reconnu que la loi sur l’audiovisuel de 2014 est dépassée avec l’évolution des technologies de la communication et de l’information . « Six chaînes privées algériennes sont agréées comme des médias étrangers, les autres n’ont pas d’agréments. La loi de 2014 ne permettait à ces chaînes d’activer dans le pays. Le projet de loi sur l’audiovisuel en préparation permettra d’organiser et d’encadrer tout le secteur et facilitera l’émergence de nouvelles chaînes de télévision », a-t-il indiqué.Des discussions sont menées actuellement avec la TDA (Télédiffusion d’Algérie) pour que les chaînes privées bénéficient des services satellitaires. « C’est la TDA qui va assurer ces services. Cela permettra une domiciliation graduelle des chaînes privées algériennes », a-t-il noté. Actuellement, les chaînes privées algériennes sollicitent les services de diffusion par satellite en contact les opérateurs étrangers d’une manière directe.La prochaine loi sur l’audiovisuel prévoit, selon le ministre, l’installation d’une nouvelle Autorité de régulation, qui remplacera l’actuelle ARAV, et aura des prérogatives plus larges.
  • 02-02-2022
    -Un avant-projet de Loi organique relative à l'information a été examiné lors d'une réunion du gouvernement, mercredi, en vue de conférer au texte un caractère novateur en accord avec les dispositions de la Constitution ainsi que les mutations induites par le développement technologique, indique un communiqué des services du Premier ministre. Lors d'une réunion du gouvernement présidée par le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, par visioconférence, un avant-projet de Loi organique relative à l'information a été présenté, précise la même source, soulignant que ce projet de texte "exprime la volonté des Pouvoirs publics de donner à la refonte du texte un caractère novateur en accord avec les dispositions de la Constitution du 1er novembre 2020 ainsi que les mutations induites par le développement technologique et les standards internationaux en la matière". En outre, "l'élaboration de cet avant-projet de Loi organique est dictée par la nécessité de la mise en place d'un cadre législatif qui répond à la fois aux attentes du citoyen en matière d'information complète et objective, aux besoins d'organisation des professionnels de l'information ainsi qu'aux missions de service public et à l'intérêt général", ajoute le communiqué, relevant que dans ce cadre, "l'avant-projet de Loi contribuera à consolider la liberté de la presse écrite, audiovisuelle et électronique et à favoriser l'émergence d'une presse solidement ancrée dans les réalités nationales, consciente des enjeux et respectueuse de l'éthique et de la déontologie". Enfin et conformément aux procédures établies, ce projet de texte fera l'objet d'un examen lors d'un prochain Conseil des ministres, indique la même source.
  • 01-02-2022
    -À l’issue d’une rencontre qui l’a regroupé ce 1er février avec des responsables de la presse écrite et électronique, le Syndicat des éditeurs de l’information (SEI) a rendu public un communiqué dans lequel il s’alarme de la faillite annoncée de dizaines d'organisations médiatiques en raison de “la répartition inéquitable de la publicité institutionnelle publique, en dehors de toutes les normes professionnelles et commerciales reconnues”. Le SEI déplore que ses appels à la mise en place de “normes transitoires” pour la distribution de la publicité publique jusqu’à ce que la loi sur la publicité soit promulguée n’aient pas été entendus par les autorités, ce qui a considérablement compliqué la gestion des entreprises de presse, contraintes à réduire leur personnel : “L'ambiguïté dans la gestion de la publicité publique et sa répartition déloyale persiste malgré les changements qui ont affecté les institutions gérant ou supervisant la gestion du dossier, ce qui soulève de nombreuses questions”, souligne le Syndicat des éditeurs de l’information.