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Energie (et Mines)

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  • 28-02-2022
    -Le groupe Sonatrach a déposé plainte lundi contre le quotidien Liberté auprès du tribunal de Bir Mourad Rais pour avoir "manipulé et déformé" les propos de son Président Directeur Général (PDG), Toufik Hakkar, qui a accordé un entretien à ce journal. L'entretien a été diffusé par le journal dans son édition de dimanche. Pour rappel, dans un communiqué rendu public hier, l’entreprise publique des hydrocarbures Sonatrach indique que le titre mis par le journal Liberté, inhérent à l’entretien réalisé par son journaliste avec le PDG, Toufik Hakkar est l’œuvre d’une pure imagination du média qui n’a rien à avoir avec le contenu de l’interview. La Sonatrach considère le titre tendancieux et indique que le média inféodé à une vision bien avérée tentait de nuire à une relation stratégique avec le partenaire russe, sachant qu’aucun pays producteur de Gaz ne peut remplacer le gaz russe, pour des raisons techniques liées à la spécificité du gaz russe et des installations gazières chargées de la regazéification lorsqu’il s’agit du GNL(note, extrait de l’entretien, fin de l’article : Sonatrach est et restera un partenaire et un fournisseur fiable de gaz pour le marché européen et est constamment disponible et disposée à soutenir ses partenaires de long terme en cas de situation difficile .Titre de l’édition en Une et à l’intérieur , en fin d’entretien à une question posée sur la crise ukrainienne p 6 et p7: « Nous sommes prêts à augmenter les approvisionnements en gaz de l’Europe »)». ………………………………………………………………………………….. -Le ministre italien des Affaires étrangères Luigi Di Maio est arrivé ce 28 février à Alger et a été reçu par le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra et par ministre de l’Energie et des mines Mohamed Arkab et le PDG de Sonatrach Toufik Hakkar.(Communiqué de la Présidence : « Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu lundi à Alger le ministre des Affaires étrangères de la République italienne, Luigi Di Maio, indique un communiqué de la Présidence de la République. "Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu le ministre des Affaires étrangères de la République italienne, Luigi Di Maio", lit-on dans le communiqué. "L'audience s'est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra, du directeur de cabinet à la Présidence de la République, Abdelaziz Khellaf, du ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab et du Président directeur général (PDG) de Sonatrach, Toufik Hakkar", a ajouté la même source). L’objet de la visite est, selon un tweet du ministre des affaires étrangère italien, d’engager la discussion sur une augmentation des livraisons de gaz en provenance d’Algérie pour compenser une éventuelle baisse côté russe. « Nous discuterons du renforcement de la coopération bilatérale, en particulier pour répondre aux besoins en matière de sécurité énergétique européenne, à la lumière du conflit en Ukraine », a tweeté Luigi Di Maio peu après son arrivée à Alger. Cette visite de Di Maio intervient au lendemain des déclarations du PDG de Sonatrach sur la possibilité de fournir davantage de gaz aux « partenaires » en fonction du surplus de production. Ce surplus pourra être acheminé en Italie via le gazoduc Transmed reliant l’Algérie à l’Italie. Selon Toufik Hakkar, « il y a une capacité non exploitée sur le gazoduc Transméditerranéen, qui pourrait être utilisée pour augmenter les approvisionnements du marché européen». Sonatrach est « un fournisseur fiable de gaz pour le marché européen et est disposée à soutenir ses partenaires de long terme en cas de situations difficiles », a déclaré encore Toufik Hakkar. Luigi Di Maio est accompagné d’une délégation comprenant notamment Claudio Descalzi, PDG du géant italien des hydrocarbures Eni partenaire de longue date de Sonatrach. L’exacerbation de la crise Ukraine, a incité l’Italie à prendre ses devants en voulant diversifier « au plus vite » ses sources d’énergie pour réduire sa dépendance au gaz russe. Avec, l’Allemagne, l’Italie est l’un des pays européens les plus dépendants du gaz russe. Le chef du gouvernement italien a déclaré vendredi dernier, que son pays pourrait multiplier ses livraisons de gaz notamment auprès de ses voisins de la rive sud de la Méditerranée à savoir l’Algérie, la Tunisie et la Libye.
  • 24-02-2022
    -Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a affirmé jeudi que l'Etat poursuit sa démarche visant à surmonter les retombées sociales de la pandémie Covid-19 notamment à travers les mesures de protection du pouvoir d'achat des citoyens. Dans une allocution lue en son nom par le Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane, à l'occasion des festivités de la célébration du 66e anniversaire de la création de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et du 51e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures, qui se sont déroulées à Hassi Messaoud, le Président Tebboune a réaffirmé sa détermination à "poursuivre les efforts visant à surmonter les retombées sociales induites par la pandémie de Covid-19 et prendre en charge progressivement nos frères et soeurs qui ont été affectés, en veillant à ce que les pouvoirs publics appliquent, rigoureusement, toutes les mesures et dispositions visant à garantir la protection sociale et à protéger le pouvoir d'achat des citoyens". M.Tebboune a rendu hommage aux sacrifices des travailleuses et des travailleurs à tous les niveaux. Il s'est incliné à la mémoire des chouhada et des victimes de la pandémie. Le chef de l'Etat a salué, en outre, les positions honorables de l'UGTA pour la défense des intérêts du pays dans toutes les étapes qu'il a traversées. "L'UGTA dont de nombreux cadres et dirigeants sont tombés en martyrs du devoir national à leur tête le chahid Abdelhak Benhamouda, avait des positions honorables en toutes circonstances et épreuves où il fallait défendre les intérêts du pays, resserrer les rangs et renforcer le front interne", a souligné le Président de la République dans son allocution............................................................................................... -Les prix du pétrole s'enflammaient jeudi, l'attaque aérienne et terrestre de l'armée russe contre l'Ukraine propulsant le baril de Brent à plus de 105 dollars et WTI américain à plus de 100 dollars, une première depuis 2014. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, référence de l'or noir en Europe, s'envolait vers midi de 8,78% à 105,34 dollars. A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en avril grimpait de 8,66% à 100,10 dollars. La Russie a lancé jeudi à l'aube une invasion de l'Ukraine, avec frappes aériennes à travers le pays, notamment la capitale Kiev, et l'entrée de forces terrestres depuis le nord, l'est et le sud du pays. La Russie est l'un des premiers producteurs mondiaux de gaz et de pétrole, affolant les investisseurs quant à d'éventuelles ruptures d'approvisionnement en énergie. La Russie est également le premier exportateur mondial de gaz naturel. Le Vieux continent importe environ 40% de ses besoins depuis la Russie. Le marché de référence en Europe, le TTF (Title Transfer Facility) néerlandais se négociait à 118,10 euros le mégawattheure (MWh), gagnant près de 33% en une journée………………………………………… - La canalisation de transport de gaz naturel reliant Tiguentourine à Hassi-Kifaf a été mise en service ce jeudi par les autorités de la wilaya d’Illizi, dans le cadre de la célébration du double anniversaire du 24 février (1956-1971). Réalisé par l’entreprise nationale de Génie-civil et Bâtiment (ENGCB) pour un coût de 4 milliards DA, le projet porte sur la mise en place d’une canalisation de 12 pouces, sur un linéaire de 109 km, depuis le complexe gazier de Tiguentourine jusqu’à la station de pompage de Hassi-Kifaf, avec une capacité de transport de 150.000 m3/jour, selon les explications fournies.
  • 22-02-2022
    -Les cours du pétrole s'envolaient mardi, embrasés par la décision du président russe de reconnaître l'indépendance des territoires séparatistes ukrainiens, le prix du Brent frôlant la barre symbolique des 100 dollars le baril. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril prenait vers midi 3,77% à 98,97 dollars, après avoir atteint 99,50 dollars le baril quelques minutes plus tôt. A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en mars, grimpait de 4,86% à 95,50 dollars. Les deux références de l'or noir enregistraient ainsi de nouveaux records depuis 7 ans. Le président russe Vladimir Poutine a choisi de défier les Occidentaux, en ordonnant à ses troupes d'entrer dans les territoires séparatistes de l'Est de l'Ukraine, provoquant dans la nuit de lundi à mardi une réunion d'urgence du conseil de sécurité pour tenter d'éviter une guerre avec Kiev. Selon les analystes, l'intensification de la crise entre la Russie et l'Ukraine a suscité des inquiétudes quant aux perturbations de l'approvisionnement qui en découleraient, car les sanctions risquent de paralyser la Russie, deuxième exportateur mondial de pétrole et premier exportateur mondial de gaz naturel. L'Ukraine a appelé mardi l'Occident à prendre des "sanctions sévères" contre la Russie qui a reconnu la veille l'indépendance de deux régions séparatistes prorusses dans l'Est de ce pays. Le chef de la diplomatie de l'Union Européenne Josep Borrell a annoncé que l'UE décidera de premières sanctions contre Moscou mardi. Outre les tensions géopolitiques soutiennent la tendance haussière, les fondamentaux d'une demande forte post pandémie continuent de soutenir la hausse des cours, soulignent les analystes, estimant que les prix du gaz naturel européen sont également susceptibles d'augmenter davantage, la Russie étant le premier exportateur mondial de gaz naturel. Le marché de référence en Europe, le TTF (Title Transfer Facility) néerlandais se négociait à 76,47 euros le mégawattheure (MWh), gagnant plus de 5,56%.................................................................................................................................... --Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a appelé mardi depuis Doha à mobiliser davantage d'acteurs à travers l'adhésion de nouveaux producteurs de gaz au Forum des pays exportateurs du gaz (GECF) en vue de relever les défis énergétiques actuels et futurs. Dans une allocution prononcée lors de l'ouverture des travaux du 6ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du GECF, le président Tebboune a estimé que le GECF "est aujourd'hui une organisation gouvernementale internationale reconnue, capable d'attirer l'attention sur de nombreuses questions prioritaires". En tête de ces priorités, le Président a évoqué la "mobilisation davantage d'acteurs convaincus de l'importance du gaz naturel pour relever les défis actuels et futurs par l'adhésion de nouveaux Etats exportateurs et producteurs de gaz naturel, renforcer leur rôle et préserver leurs intérêts à travers le dialogue avec les Etats consommateurs qui exploitent le gaz comme moteur essentiel pour développer leurs économies". Le Président Tebboune a appelé à "trouver ensemble les meilleurs moyens d'assurer au gaz naturel une place dans les systèmes énergétiques et de promouvoir sa valeur sur les marchés internationaux".
  • 21-02-2022
    -Les travaux de la réunion ministérielle extraordinaire du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) ont débuté ce lundi à Doha (Qatar), avec la participation du ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab. M.Arkab est accompagné par le PDG du groupe Sonatrach, Toufik Hakkar, ainsi que de hauts cadres du ministère. Cette réunion vise à examiner les progrès réalisés depuis la 23ème réunion ministérielle du Forum ainsi que la préparation du 6ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement prévu mardi à Doha. L'évènement réunit les ministres et les hauts responsables des pays membres du GECF, à savoir l'Algérie, la Bolivie, l'Egypte, la Guinée équatoriale, l'Iran, la Libye, le Nigéria, le Qatar, la Russie, Trinité-et-Tobago et le Venezuela. D'autres pays y prennent part également en qualité d'observateurs, à savoir Angola, Azerbaïdjan, Irak, Malaisie, Norvège, Pérou et Emirats arabes unis. Le 6ème Sommet du GECF aura lieu demain mùardi , à Doha, avec la participation du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
  • 19-02-2022
    -Le 14 février du mois en cours, les juges du tribunal Sidi M’hamed d’Alger ont condamné Saipem en première instance à une amende de 192 millions d’euros pour “avoir obtenu un contrat à un prix supérieur à la valeur attendue, conclu avec une société commerciale et industrielle appartenant à l’État, bénéficiant de l’influence des représentants de cette société”, selon un communiqué du groupe. La filiale du géant italien des hydrocarbures (ENI) spécialisée dans la prospection et les forages pétroliers, a annoncé faire appel dès le lendemain du verdict tout en constituant, cependant, une provision dans ses livres de comptes pour couvrir cette somme. Le groupe a tenu à précisé que la justice italienne a « complètement acquitté la société le 14 décembre 2020 » dans le dossier de ce projet prévu dans la ville d’Arzew. Dans l’attribution de ce marché pour la construction d’une usine de liquéfaction de gaz à train unique, Saipem aurait corrompu des officiels algériens en concluant un contrat surfacturé. L’ancien ministre de l'énergie, Chakib Khelil, en poste au moment des faits, a écopé de 20 ans de prison. L’ancien PDG de la Sonatrach, Mohamed Meziane a lui été condamné à cinq ans de prison, et son ex-n°2, Abdelafidh Feghouli, à six ans. Avec 1,84 milliard d’euros de pertes pour l’année 2021 (pour l’exercice 2020, elles atteignaient déjà 1,4 milliard d’euros), cette condamnation tombe mal pour l’entreprise italienne. Affichant un chiffre d’affaires de 6,92 milliards d’euros (contre 7,34 milliards l’année précédente), le groupe spécialisée dans la recherche et les forages pétroliers, avait revu, le 31 janvier dernier, ses perspectives annuelles en évoquant la « détérioration significative » des marges de certains projets en raison de la pandémie et de la hausse des coûts des matières premières et logistiques……………………………………………. - Le ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, prendra part lundi aux travaux de la réunion ministérielle extraordinaire du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), qui se tiendra à Doha, a indiqué samedi un communiqué du ministère. Lors de cette réunion qui vise à examiner les progrès réalisés depuis la 23ème réunion ministérielle du forum, M. Arkab sera accompagné du PDG de Sonatrach et des hauts cadres du ministère de l'Energie et des Mines. Le GECF est une organisation intergouvernementale créée lors de la 8ème session du Forum informel des mêmes pays, tenue à Moscou en décembre 2008. Il est actuellement composé de 11 pays membres, en l'occurrence l'Algérie, la Bolivie, la Guinée équatoriale, l'Egypte, l'Iran, la Libye, le Nigéria, le Qatar, la Russie, Trinidad et Tobago et le Venezuela, ainsi que de sept pays observateurs, à savoir l'Angola, l'Irak, la Norvège, le Pérou, les Emirats arabes unis et l'Azerbaïdjan.
  • 15-02-2022
    -Les cours du pétrole ont bondi peu avant la clôture lundi, en frôlant les 100 dollars le baril, tirés par une possible attaque russe en Ukraine. Ainsi, le Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, a gagné 2,16%, pour finir à 96,48 dollars. Il était monté, quelques minutes plus tôt, jusqu’à 96,78 dollars, pour la première fois depuis fin septembre 2014. Pour le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour échéance en mars, a lui pris 2,53%, pour clôturer à 95,46 dollars. Peu après 19H00 GMT, il avait atteint son plus haut niveau depuis début septembre 2014, à 95,82 dollars. Ce pic a été atteint après que les États-Unis aient annoncé lundi, par la voix de leur secrétaire d’État, le déplacement temporaire de leur ambassade en Ukraine de Kiev à Lviv, dans l’ouest du pays. Une nouvelle qui a dopé les cours de l’or noir, déjà orientés à la hausse. Selon les analystes, les cours du brut sont surle point de franchir le seuil symbolique des 100 dollars le baril de Brent. Le marché est tendu, avec une offre jugée insuffisante. L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), « ne semble pas vouloir réagir et mettre davantage de pétrole sur le marché », soulignent les analystes, qui estiment que la flambée des prix est due à des facteurs géopolitiques et non aux fondamentaux du marché.
  • 14-02-2022
    -Les prix du pétrole ont atteint ce 14 février de nouveaux sommets, encouragés par les tensions en Russie et en Ukraine qui menacent l’offre pétrolière. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril était à 94,47 dollars, après un pic à 96,16 dollars (vers 10H10 GMT). A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en mars était proposé à 93,21 dollars, atteignant également un nouveau sommet depuis 2014 à 94,94 dollars le baril.
  • 12-02-2022
    -La compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach a annoncé samedi, dans un communiqué, la signature d'un contrat de partage de production actualisé d'hydrocarbures du bloc Kafra au Niger entre sa filiale Sonatrach International (SIPEX BVI), et le ministère du Pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables du Niger. La signature de ce contrat a été effectuée le 4 février en cours à Niamey (Niger), en présence de l’ambassadeur de l’Algérie au Niger, a précisé la même source. Ce contrat est considéré comme "une actualisation et un renouvellement du contrat signé en 2015 et a pour objectif de permettre une meilleure évaluation du potentiel hydrocarbure du bloc Kafra suite à la découverte d’huile à l’issue des travaux de forage d’exploration", a ajouté le communiqué. A ce propos, la compagnie nationale a fait savoir que le premier puits d’exploration KFR-1, foré en 2018, a montré, en sus de la découverte d’huile, l’existence de réservoirs à huile lourde (densité 0,99), pour un volume en place en P2 de 168 millions de barils. Le second puits KFRN-1, foré en 2019, a permis quant à lui, la mise en évidence de 400 millions de barils d’huile très riche en paraffine (Waxy Oil) pour une densité de 0.88 à 15.56. Les volumes d’huile actualisés à l’issue du deuxième forage, sont de l’ordre de 100 millions de barils en place en 2P, a mentionné la compagnie nationale. La filiale SIPEX BVI intervient dans l’activité amont dans plusieurs pays en Afrique (Algérie, Tunisie, Libye, Mali, Niger) et en Amérique Latine (Pérou), où elle détient des participations dans des projets pétroliers et gaziers en tant qu’investisseur et/ou opérateur, a-t-on rappelé dans le communiqué.
  • 11-02-2022
    -Les cours du pétrole s'enflammaient vendredi, alors que le risque d'une invasion de l'Ukraine par la Russie s'intensifiait, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken ayant estimé qu'une telle invasion pouvait survenir "à tout moment". Vers 19H00 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril augmentait de 4,50% à 95,52 dollars, au plus haut depuis septembre 2014. A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en mars prenait 5,00% à 94,37 dollars, également au plus haut depuis plus de 7 ans. Lors d'une conférence de presse en début d'après midi vendredi, le conseiller de la Maison Blanche pour la sécurité nationale, Jake Sullivan, a averti solennellement qu'une invasion de l'Ukraine pourrait avoir lieu "pendant les Jeux olympiques" et exigé des Américains sur place qu'ils quittent le pays "d'ici 24 à 48 heures".
  • 10-02-2022
    -Le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar a déclaré, jeudi depuis Tripoli (Libye), que le volume des investissements de l’entreprise nationale en matière d'exploration en Libye avoisinera prochainement les 200 millions de dollars, contre 150 millions de dollars actuellement. "Sonatrach respecte ses contrats en Libye, des contrats à travers lesquels nous voulons parachever nos engagements contractuels et examiner les voies à même de développer les champs explorés dans les plus brefs délais", a déclaré T. Hakkar lors d’une conférence de presse animée conjointement avec le président du conseil d’administration de la National oil corporation (Noc), Mustafa Sanalla, au terme de la signature d’un protocole d’accord entre les deux parties. Cette rencontre a permis aux deux parties de préparer les premières étapes du retour de Sonatrach en Libye ainsi que la poursuite de ses opérations d'exploration.................................... --Les cours du Sahara Blend, le brut de référence algérien, ont progressé de 12,71 dollars en janvier dernier, portés notamment par une forte demande sur les marchés et les tensions géopolitiques, a indiqué l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dans son rapport mensuel publié jeudi. La moyenne mensuelle des prix du brut algérien est passée de 75,50 dollars/baril en décembre 2021 à 88,21 dollars en janvier 2022, soit une hausse de 16,8%, selon la même source. Avec cette progression, le Sahara Blend a été le 2ème brut le plus cher des 13 bruts de l'Opep en janvier dernier, après l'Angolais Girassol. Le prix du brut algérien est établi en fonction des cours du Brent, brut de référence de la mer du Nord, côté sur le marché de Londres avec une prime additionnelle pour ses qualités physico-chimiques appréciées par les raffineurs. Cette augmentation intervient dans le sillage de la flambée des prix de pétrole en mois de janvier, en raison de la forte demande dans un contexte de dissipation des craintes quant à l'impact de le variant Omicron et des risques géopolitiques, qui ont suscité des inquiétudes quant à l'approvisionnement à court terme, explique le rapport. Globalement, le prix moyen du panier de l'Opep a augmenté de 11,03 dollars (+14,8 %) par rapport au mois de décembre 2021, pour s'établir à 85,41 dollars/baril en janvier dernier. Quant à la production de l'Algérie, elle a atteint en janvier dernier 977.000 barils par jour, soit une hausse de 11.000 barils par rapport à la production moyenne de décembre 2021 (966.000 baril/jour). Les pays de l'Opep ont produit globalement 27,981millions de barils par jour (Mb/j) en janvier 2022, contre 27,918 Mb/j en décembre 2021, en hausse de 64.000 baril/jour, selon des sources secondaires. Quant à la demande mondiale de pétrole, l'Organisation a révisé à la hausse ses prévisions de croissance de la demande en 2022 d'environ 0,1 mb/j, par rapport à l'évaluation du mois dernier, pour se maintenir à 28,9 Mb/j. .
  • 07-02-2022
    .-L'accord sur l'utilisation des terminaux GNL espagnols par le Maroc pour s'approvisionner en gaz naturel via le gazoduc Maghreb-Europe (GME) se heurte à de multiples contraintes d'ordre technique et financier, soutient l'expert pétrolier Mourad Preure. Annoncé jeudi dernier par le ministre espagnol de la Transition écologique, cet accord permet au Maroc d'acquérir du gaz naturel liquéfié (GNL) sur les marchés internationaux, le faire livrer dans une usine de regazéification de l'Espagne péninsulaire et utiliser le GME pour l'acheminer vers son territoire. Cette solution sera confrontée à de nombreux problèmes, à leur tête "la contrainte de temps", souligne Dr. Preure dans un entretien à l'agence APS. "Inverser le flux gazier demande du temps et de l'investissement, chose dont ne semble pas disposer le Maroc pour satisfaire ses besoins immédiats en gaz naturel", après la décision algérienne en octobre dernier de ne plus exporter son gaz via le GME, en raison de la politique marocaine "irréaliste et inutilement hostile" vis-à-vis de l'Algérie. L'expert rappelle que la partie du gazoduc traversant le détroit de Gibraltar ainsi que les stations de compression appartiennent au groupe espagnol Naturgy, alors que le tronçon transitant par le Maroc, appartient à ce dernier et géré par Metragaz, une société mixte entre Natrugy et ses partenaires portugais et marocain. S'y ajoute, la demande gazière importante de l'Espagne qui "ne peut pas sacrifier ses clients industriels, électriciens et particuliers" pour répondre à la demande marocaine. L'autre contrainte est d'ordre financier, explique l'analyste pétrolier qui s'interroge sur le coût de cette énergie importée d'Espagne, eu égard aux prix élevés du gaz sur le marché spot et auquel il faut ajouter le coût de sa regazéification dans les usines espagnoles et de son acheminement via le GME. Si le Maroc peut assurer la satisfaction de ses besoins gaziers, ça sera au prix fort, alors qu'il bénéficiait auparavant de près d'un milliard de m3 de gaz algérien, dont une partie gratuite, au titre des droits de passage, et une autre au prix contractuel, préférentiel, précise Mourad Preure. "Le Maroc a-t-il les moyens, et à quel prix livrera-t-il ce gaz au client final", s'interroge-t-il, constatant que les cours du GNL sur les marchés spot restent soutenus, tirés par une demande asiatique à la hausse………………………………….. -Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, s’est entretenu mardi, par visioconférence, avec le ministre d'Etat des ressources pétrolières du Nigeria, Timipre Sylva, avec lequel il a abordé le projet du gazoduc Algérie -Niger-Nigeria.
  • 04-02-2022
    -Les prix du pétrole continuaient vendredi leur hausse en franchissant la barre des 92 dollars le baril. En début de l'après-midi, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril prenait 1,37% à 92,36 dollars. A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en mars gagnait 1,61% à 91,72 dollars. Plus tôt dans la matinée, le Brent a atteint 92,66 dollars, et le WTI 91,91 dollars, leurs records depuis plus de sept ans. Les cours du pétrole ont terminé en légère hausse mercredi où le cours du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril a pris 1,83% à 91,11 dollars. A New York, celui de WTI pour livraison en mars a, pour la première fois depuis l'hiver 2014, franchi la barre des 90 dollars à 90,27 dollars en hausse de 2,27%.
  • 03-02-2022
    -La compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach et le groupe énergétique grec DEPA ont conclu un accord portant sur l'extension du contrat, de long terme, relatif à la vente et achat de gaz naturel liquéfié (GNL) sur le marché grec, et ce, à compter du 1er janvier 2022, a indiqué jeudi un communiqué de la compagnie algérienne. Outre la livraison de cargaisons de GNL au groupe énergétique grec DEPA, l'accord prévoit également une "réadaptation des termes contractuels existants en accord avec les développements actuels et futurs des marchés énergétiques", précise le communiqué.
  • 02-02-2022
    -La compagnie pétrolière et gazière nationale, Sonatrach, a dévoilé, ce mercredi 2 février, ses principales réalisations de l’année 2021. Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, Sonatrach a indiqué avoir conclu de nouveaux contrats de partenariat et renouvelé les contrats en voie d’expiration avec ses partenaires traditionnels, notamment italiens, turques et espagnols. La compagnie nationale a assuré qu’en octobre 2021, « trois contrats ont été signé avec son partenaire turc « Renaissance », pour produire du polypropylène dans la ville turque de Ceyhan, précisant que « ce projet stratégique, d’un montant de 1,7 milliard de dollars, dont 34% apportés par la Sonatrach, porte, entre autres, sur la fourniture de la matière première, du propane, et entre dans le cadre d’un contrat à long terme basé sur les prix du marché international ». « Le 14 décembre 2021, Sonatrach a signé le premier contrat d’exploration et de production dans le bassin de Berkine avec l’italien Eni, dans le cadre de la nouvelle loi n°13-19 sur les hydrocarbures », a en outre affirmé la compagnie dans son communiqué. Elle souligne que « le volume d’investissement dans ce projet est estimé à 1,4 milliard de dollars américains, pour un volume de production de 45 000 barils de pétrole par jour ». Courant 2021, Sonatrach a également signé plusieurs contrats de partenariat et protocoles d’accord avec des multinationales, à l’instar de Occidental et Total dans le bassin de Berkine, avec Shell dans le domaine du marketing et de l’environnement, et Equinor et Sinopec dans l’exploration et la production. La Sonatrach a par ailleurs dévoilé hier mardi son bilan pour l’exercice 2021. Le groupe pétrolier national a indiqué que les premiers indicateurs de production pour l’année 2021, affichent une augmentation d’environ 5% de la production d’hydrocarbures. Elle est passée ainsi, de 175,9 millions de tonnes d’équivalent pétrole en 2020, à 185,2 millions en 2021…………………………………………………. -L'Algérie augmentera sa production journalière de pétrole de 10.000 barils en mars prochain, a indiqué mercredi à Alger le ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, au sortir de la 25ème réunion ministérielle Opep-non Opep (Opep+) à laquelle il a participé par visioconférence. Ainsi, la production algérienne de pétrole "passera de 982.000 barils/jour à 992.000 barils/jour en mois de mars prochain", a-t-il précisé. Cette augmentation entre dans le cadre de l'application de la décision de l'Opep+ prise lors de sa 25ème réunion ministérielle, qui prévoit une augmentation globale de 400.000 barils/jour en mars prochain. Cette décision a été motivée par les résultats du rapport technique présenté, hier mardi, lors de la 59ème réunion du Comité technique conjoint (JTC) des pays de l'Opep+, et qui a réuni plusieurs experts du secteur, ayant montré l'évolution "positive" du marché pétrolier, a expliqué le ministre.