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Finances

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  • 27-01-2022
    -En Afrique, la reprise économique 2022 sera confrontée à des défis financiers économiques, mais également politico-sécuritaires. D’après l’EIU, l’Ethiopie et le Soudan seront les deux pays qui feront face à la plus grande baisse de leurs devises nationales en Afrique, cette année. 41 pays africains sur 54 devraient enregistrer une dépréciation nominale de leurs devises nationales par rapport au dollar au cours de la période allant de la fin 2021 à fin 2022. C’est ce que révèle un rapport de l’Economist Intelligence Unit (EIU), publié cette semaine. D’après l’institution, cette prévision est motivée par les risques qui pèsent encore sur les économies africaines, malgré la reprise économique mondiale post-covid-19. Ces risques seraient susceptibles de compliquer la mise en œuvre de certains accords commerciaux et d’investissements sur le continent. « On s'attend à une volatilité accrue des monnaies, compte tenu des facteurs variés et contradictoires qui vont s'abattre sur la région, notamment les effets durables de la pandémie et les reprises économiques modestes, les finances nationales tendues et les marchés des matières premières haussiers, la recherche de rendement par les investisseurs internationaux et une hausse de l'inflation annuelle, notamment », indique le document consulté par l’Agence Ecofin. D’après l’EIU, cette dépréciation devrait accentuer les pressions inflationnistes qui se sont accélérées ces derniers mois dans plusieurs pays d’Afrique. Il faut souligner que ce rapport intervient dans un contexte où la reprise économique tant attendue en Afrique est minée par des difficultés concernant notamment la lenteur de la campagne de vaccination sur le continent, l’émergence de nouveaux variants et la persistance des crises politico-sécuritaires. D’après l’EIU, l’Ethiopie et le Soudan, deux pays en pleine crise politico-sécuritaire devraient enregistrer les plus fortes dépréciations de leurs monnaies en 2022. Une situation qui intervient alors que les besoins de financements publics continuent de s’accentuer poussant les pays africains à emprunter de plus en plus sur le marché des obligations pour combler ce déficit. En 2021, plusieurs pays d’Afrique subsaharienne dont le Bénin, le Kenya, le Sénégal, le Ghana ou la Côte d’Ivoire ont ainsi réussi à lever d’importants financements sur le marché des obligations en pleine pandémie de covid-19. D’après le FMI, la reprise économique de l’Afrique subsaharienne en 2022 devrait être moins importante que celle de l’année dernière. Elle est attendue à 3,7% cette année contre une estimation de 4% pour 2021. « Près de 30 Etats africains connaîtront une inflation annuelle moyenne des prix à la consommation égale ou supérieure à 5 % en 2022, tandis que dix d'entre eux - dont l'Angola, l'Ethiopie, le Nigeria, la Zambie et le Zimbabwe - auront un taux d'inflation à deux chiffres », indique l’EIU.........................................................................................;;;;;;;;;; --Dans une note rendue publique, ce jeudi, la Banque d’Algérie a annoncé la possibilité d’ouverture de comptes de trésorerie devises, en application de l’article du règlement n°2020-04 du 15 mars 2020, relatif au marché interbancaire des changes, des opérations de trésorerie devises et aux instruments de couverture du risque de change. Par cette note, la Banque centrale vient informer les banques de la place de la possibilité d’ouvrir des comptes de trésorerie devises sur les livres de la Banque d’Algérie. Le règlement en question concède aux intermédiaires agréés un atout leur permettant de conclure entre eux, pour leur compte ou pour le compte de leur clientèle, des opérations de trésorerie en devise. Le gendarme bancaire fait obligation aux banques de transmettre à la direction générale des relations financières extérieures (Dgrfe) la liste des personnes habilitées à mouvementer le compte devises fonds propres. Cependant, les mécanismes de fonctionnement des comptes devises trésorerie sont tributaires de la publication d’une note détaillée par la direction générale des relations financières extérieures. En attendant la publication des textes d’application-lesquels demeurent absents deux années après la parution dudit règlement au Journal officiel- cette possibilité d’ouverture des comptes de trésorerie en devises se veut une mesure concrète censée donner un coup d’accélérateur aux opérations de change en devises au niveau des banques et autres établissements financiers non bancaires.
  • 22-01-2022
    .-Le ministre des Finances a annoncé, ce 22 janvier, dans un communiqué, la prolongation du délai de l’accomplissement des obligations fiscales de déclaration et de paiement jusqu’au 27 janvier du mois en cours au lieu du 20 janvier. « Dans le cadre du dispositif de prévention et de lutte contre les risques de propagation du coronavirus (covid 19) et pour un meilleur accompagnement des contribuables dans l’accomplissement de leurs obligations fiscales, de déclaration et de paiement, dont l’échéance est arrivée ? terme le 20 janvier 2022, le ministre des Finances porte ? la connaissance des concernés que le délai en question a été prorogé jusqu’au jeudi 27 janvier 2022?, a précisé la même source
  • 16-01-2022
    -Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a présidé jeudi la cérémonie de remise des affectations budgétaires aux différents départements ministériels au titre de la Loi de finances 2022. Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Benabderrahmane a précisé que "la notification de ces affectations budgétaires à l'avance vise à permettre aux ordonnateurs de mettre en œuvre le budget sur toute l'année sans recourir à des périodes complémentaires". La cérémonie s'est déroulée au siège du ministère des Finances (Alger), en présence des secrétaires généraux et des ordonnateurs des différents secteurs ministériels et des administrations publiques concernées, ainsi que des directeurs centraux du ministère……………………………………… -Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a annoncé, jeudi à Alger, que la révision du point indiciaire dans la fonction publique entrera en vigueur avant fin avril prochain, conformément aux instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune…………………………………………………….. -Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane a indiqué, ce jeudi, que les ministères ne seront plus autorisés à prolonger les délais d'exécution du budget au titre d'une année financière considérée à l'année suivante comme c'était le cas auparavant, appelant les donneurs d'ordre à faire preuve de fermeté, d'efficacité et de rationalité. "La prolongation des délais d'exécution des dépenses publiques et de clôture des ordres de paiement ou des mandats administratifs effectuée cette année en vertu de la circulaire du 28 décembre 2021 est une exception qui ne sera plus accordée à l'avenir car les dotations sont allouées dans des délais légaux suffisants pour les exécuter au cours de l'exercice", a-t-il fait savoir. Dans ce cadre, A. Benabderrahmane a appelé "l'ensemble des départements ministériels et entreprises publiques à prendre toutes les mesures pour l'exécution du budget au titre de l'année considérée", expliquant que "cette mesure était admissible, par le passé, lorsque le budget est établi en avril ou en mai". "Maintenant que les enveloppes budgétaires sont remises dès la première semaine du mois de janvier, il faut rattraper les mécanismes de gestion dans certains départements ministériels pour leur permettre d'exécuter le budget lors de l’exercice financier qui s’étale de janvier à décembre et pour que les délais ne soient pas dépassés", a-t-il ajouté. L'octroi, depuis l’année dernière, des documents budgétaires aux différents départements ministériels et aux différentes institutions nationales, dans les délais soit à la première semaine du mois de janvier, consacre les principes élémentaires de la finance publique que prévoit la nouvelle loi organique des lois de finances (loi 18-15) qui entrera en vigueur en 2023, ce qui évite le recours à des périodes complémentaires après l’année financière considérée, a indiqué A. Benabderrahmane. Il a appelé les différents départements ministériels et les institutions nationales à se rapprocher des services du ministère des Finances pour s’informer et étudier les différents mécanismes que prévoit cette loi avant juin prochain, date du lancement de l’élaboration des documents budgétaires sectoriels, pour mieux comprendre ses principes, ce qui permettra « d’entamer l’année 2023 avec un nouveau système budgétaire basé sur les programmes", a-t-il dit…………………………………….. -. Le Premier ministre et ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a indiqué jeudi à Alger que le gouvernement rejettera dorénavant toute demande de réévaluation d'un projet de plus de 10% du montant alloué initialement. Présidant la cérémonie de remise des affectations budgétaires aux différents départements ministériels au titre de l'exercice 2022, A. Benabderrahmane a précisé que "toute demande de réévaluation de plus 10% du montant alloué initialement à la réalisation d'un projet sera dorénavant rejetée". Le Premier ministre a souligné la nécessité de prôner l'efficacité totale dans les dépenses publiques et la réalisation des projets, insistant sur le strict contrôle de la maturation des études avant le lancement des projets. "Il faut veiller scrupuleusement à suivre la nouvelle méthode d'exécution des budgets et s'abstenir de signer des Ordres de service (ODS) avant de s'assurer de la disponibilité de tous les moyens dans le cahier des charges", a-t-il affirmé. Et de rappeler que la réévaluation des projets avait coûté au Trésor 8.000 milliards de DA en seulement douze (12) ans. "C'est un montant colossal qui aurait pu être servir à la réalisation de projets publics d'utilité pour la société", a-t-il estimé. Le nouveau projet de loi sur la comptabilité publique soumis au Secrétariat général du Gouvernement A.Benabderrahmane a fait état du parachèvement de l'élaboration du nouveau projet de loi sur la comptabilité publique qui se substituera à la loi N90-21, lequel a été soumis au Secrétariat général du Gouvernement. Il a en outre fait savoir que les dispositions de cette loi ont été mises à jour, en adéquation avec la nouvelle vision de gestion et d'exécution du budget de l'Etat, et ce conformément à la nouvelle loi organique des lois de finances, qui entrera en vigueur l'année prochaine. Le Premier ministre a également rappelé l'importance de l'instruction adressée en octobre dernier portant nécessité de la contribution de tout un chacun à la réussite de la réforme budgétaire qui entrera en vigueur à partir de 2023, qui permettra "une gestion plus efficace et transparente à même de promouvoir des investissements plus rentables pour l'économie nationale à travers des mécanismes modernes". Entre autres mécanismes, M. Benabderrahmane a cité la nouvelle formule des rapports contractuels prévus dans le projet de loi sur le partenariat public-privé (PPP), lesquelles permettront, dira-t-il, "d'instaurer une nouvelle culture du service public"…………………………………….. -Mise au point de la Banque Mondiale : « Au cours des derniers jours, plusieurs articles de presse relatifs au « Rapport de suivi de la situation économique en Algérie » de la Banque mondiale ont été publiés. Certains de ces articles comprenaient des informations factuellement inexactes sur le contenu du rapport, qui a été préparé avec la plus grande rigueur, ainsi que sur ses auteurs, une équipe d’économistes travaillant sur la région du Maghreb. Nous tenons à souligner que la Banque Mondiale produit régulièrement des rapports économiques pour ses pays membres. Le Rapport de suivi de la situation économique en Algérie est produit deux fois par an. La dernière édition, publiée le 22 décembre dernier, est disponible ici. Le rapport, qui fait l'objet d'un examen de qualité approfondi avant sa publication, est basé exclusivement sur des données publiques, dont la référence figure dans le document, ou sur des données fournies par les autorités des pays membres. Son objectif est d’encourager l’échange de connaissances et le dialogue sur le développement économique et social du pays. Les conclusions du rapport sont cohérentes avec les données officielles disponibles à la date de clôture des données du rapport (1er novembre 2021), dont la plupart sont présentées dans la Note de Conjoncture de la Banque d'Algérie publiée le 22 décembre 2021. Nous avons noté avec regret que certains des articles cités ci-dessus ont adopté un langage qui peut avoir dépassé les pensées de leurs auteurs anonymes. Tout inacceptables qu’ils soient, il ne sera pas répondu à ces propos, tant nous considérons qu’ils ne sauraient porter argument ni ne constituent un élément de débat. Le Groupe de la Banque mondiale est une institution internationale de développement composée de pays membres, qui s’est fixé comme double objectif de mettre fin à l’extrême pauvreté et de promouvoir une prospérité partagée. L'Algérie, membre apprécié du Groupe de la Banque mondiale, est représentée au Conseil des administrateurs de la Banque. Le personnel et la direction du Groupe de la Banque mondiale servent uniquement les objectifs de l'institution ».
  • 11-01-2022
    -La Cour des comptes a annoncé mardi la publication intégrale de son rapport annuel 2021, sur son site-web. La publication du rapport intervient "en application de l'article 199 de la Constitution", souligne la Cour des comptes dans un communiqué. Le rapport reprend les principales constatations, observations et appréciations résultant des travaux d'investigations de la Cour des comptes ainsi que les recommandations qu'elle estime devoir formuler à l'endroit des gestionnaires, précise la même source. "La publication du rapport annuel qui devient désormais une tradition, est une contribution à la promotion de la transparence des gestions publiques et du bon emploi des fonds publics", note encore la Cour des comptes. Le rapport annuel 2021 comprend 17 notes d'insertion reprenant les principaux résultats des travaux d'investigation réalisés par la Cour des comptes en exécution de son programme de contrôle de 2019. Selon la Cour des comptes, ces notes mettent en exergue les constatations, les observations et les appréciations les plus significatives portant sur les conditions de gestion des ressources, moyens matériels et fonds publics par les entités contrôlées. En outre, le rapport annuel 2021 comprend, les recommandations que la Cour des comptes estime devoir formuler, ainsi que les réponses des responsables représentants légaux et autorités de tutelle concernées auxquels les notes d'insertion avaient été communiquées dans le respect de la procédure contradictoire. Les recommandations, au nombre de 34, visent à renforcer les mécanismes de contrôle interne et à asseoir une gestion saine et performante des deniers et patrimoine publics. Ce rapport annuel est structuré en quatre parties consacrées, respectivement, aux administrations de l'Etat, aux collectivités locales, aux établissements et entreprises publics, ainsi qu'aux moyens financiers, aux ressources humaines et aux activités internationales de la Cour des comptes. Au titre des administrations de l'Etat, la Cour des comptes a réitèré ses précédentes constatations concernant l'absence de maitrise de la conception et la mise en oeuvre des différents programmes d'équipement publics, laquelle a souvent été à l'origine de dépassements dans les coûts et les délais de leur réalisation. "C'est le cas des projets de transfert, d'adduction et de distribution de l'eau potable inscrits au profit du secteur des ressources en eau, des projets de réalisation et d'équipement d'infrastructures de sport et de loisirs destinés au secteur de la jeunesse et des sports, et des opérations d'équipement, à gestion centralisée, inscrites pour le compte du centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG)", a relevé la Cour des comptes dans son rapport. Au sujet des collectivités locales, la Cour des comptes a mis l'accent sur les efforts qui restent à faire pour une meilleure prise en charge de certains services publics communaux, tels que les espaces verts et l'éclairage public, les dysfonctionnements liés au pilotage et à la mise en oeuvre des programmes d'amélioration urbaine et de réhabilitation du parc immobilier des communes, destinés à améliorer le cadre de vie des citoyens ainsi que les faiblesses caractérisant la réalisation et la gestion des cantines scolaires et des biens productifs de revenus. Les notes d'insertion ont mis également en relief "l'ampleur des prélèvements effectués d'office par le Trésor public suite à des condamnations pécuniaires prononcées à l'encontre des collectivités locales, en raison des violations par ces dernières des procédures régissant l'exécution des dépenses publiques, les carences touchant les études de maturation et de maitrise oeuvre des programmes d'équipement des collectivités locales ainsi que les risques inhérents au contrôle interne, en matière de gestion et de suivi des subventions allouées aux associations locales", selon la même source. S'agissant des établissements et entreprises publics, la Cour fait état notamment de lacunes dans la mise en oeuvre de certains programmes et mesures initiés par les pouvoirs publics en faveur de ces derniers, qui ne sont pas sans conséquences sur la performance et l'atteinte des objectifs qui leur sont assignés. "Ces lacunes concernent particulièrement les entreprises publiques économiques (EPE) relevant du groupe GICA, la CNEP- Banque, les EPIC Netcom et Extranet relevant de la wilaya d'Alger et les établissements publics de la formation professionnelle", est-il indiqué dans le rapport. Dans la dernière partie de ce rapport, la Cour des comptes rend compte, à travers des données chiffrées, de l'emploi de ses crédits budgétaires, de la situation de ses ressources humaines ainsi que des principales activités de coopération internationale, menées durant la période considérée.
  • 08-01-2022
    - Pour ce dimanche 8 janvier 2023, à la Banque d’Algérie, l’Euro se maintient sa hausse, il est donc cédé au niveau des guichets de la banque d’Algérie pour 145.24 dinars algériens à l’achat et 145.31 dinars algériens à la vente. En outre, le dollar américain s’échange contre 137.11 dinars algériens à l’achat et 137.12 dinars algériens à la vente. Le dollar canadien, quant à lui, s’échange contre 101.41 dinars algériens à l’achat et 101.46 dinars algériens à la vente. Sur le marché parallèle de la devise , ce dimanche 8 janvier 2023, pour l’unique monnaie européenne, un seul Euro s’échange ce matin au Square Port-Saïd, contre 218.5 dinars algériens à la vente et 217 dinars algériens à l’achat. Du côté des Amériques, la monnaie américaine a connu une baisse après des semaines au-dessus des 220 dinars, un seul dollar américain s’échange contre 204 dinars algériens à l’achat et 207 dinars algériens à la vente. Alors que, le dollar canadien, s’échange pour 150 dinars algériens à l’achat et 152 dinars algériens à la vente.
  • 05-01-2022
    -« Nous avons atteint le montant de 800 milliards de DA perçus en taxes et droits durant les 10 mois de l’année 2021 et nos projections sont de l’ordre de 1 000 milliards de dinars qui seront engrangés par nos services pour l’ensemble de l’année 2021 », a révélé avec satisfaction, le directeur des douanes Nourredine Khaldi, lors de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’El-Tarf et ce, dans la nuit de mercredi dernier au niveau du poste frontalier d’Oum-Teboul sis dans la commune de Souarrekh.
  • 04-01-2022
    - Les informations qui ont servi à la Banque Mondiale pour établir son rapport sur l'Algérie, sortiraient de l'imagination d'un affabulateur qui a pour nom Farid Belhaj, vice-président de la Banque Mondiale en charge de la région MENA, qui est le rédacteur de ce rapport tendancieux. Beaucoup a été dit et écrit sur le caractère mensonger de ce rapport. Mais la preuve définitive a été communiquée par des amis français de l'Algérie. Ce rapport aurait été réalisé sur orientation du palais royal marocain. Farid Belhaj, qui est de nationalité tunisienne, avait occupé le poste de chef de cabinet du président de la Banque Mondiale, est un ami proche du prince du Maroc, Moulay Rachid et de nombreux ministres marocains (aps)............................................................................ --La Direction générale des impôts (DGI) a dévoilé, sur son site web, le nouveau barème de l'impôt sur le revenu global (IRG), révisé à la baisse, à la faveur de la loi de finances 2022. La LF 2022 a modifié le barème progressif de l'IRG, fixé dans l'article 104 du Code des impôts directs et taxes assimilées, de sorte à permettre une réduction de cet impôt évoluant selon le salaire imposable (et non pas le salaire net). L'article 31 de la loi fixe ainsi des taux progressifs selon six paliers. Il s'agit du palier inférieur à 240.000 dinars/an (20.000 DA/mois) qui sera carrément exonéré d'IRG, de celui compris entre 240.001 et 480.000 dinars/an, soumis à un IRG de 23%, celui entre 480.001 et 960.000 dinars/an qui est imposé à 27%, du palier entre 960.001 et 1.920.000 dinars, soumis à 30%, de celui allant de 1.920.001 à 3.840.000 dinars/an, soumis à 33%, alors que le palier supérieur à 3.840.000 dinars/an (32 millions de centimes/mois) est imposable à hauteur de 35%. L'ancien barème de calcul de l'IRG contenait quatre paliers de calcul: le palier inférieur à 120.000 DA/an qui était exonéré d'IRG, celui allant de 120.001 DA à 360.000 DA/an était soumis à 20%, celui allant de 360.001 DA à 1.440.000 DA/an soumis à 30% et enfin le palier supérieur à 1.440.000 DA/an qui était imposable à hauteur de 35%. Une fois le taux d'IRG calculé selon le nouveau barème, un abattement de 40% est appliqué, mais il ne peut être inférieur à 12.000 dinars/an ou supérieur à 18.000 dinars/an (soit entre 1000 et 1.500 dinars /mois). Il s'agit du même abattement appliqué avant la LF 2022. En outre, les revenus qui n'excèdent pas 30.000 dinars/mois bénéficient d'une exonération totale de l'IRG, tandis que les revenus supérieurs à 30.000 dinars et inférieurs à 35.000 dinars bénéficient d'un deuxième abattement supplémentaire. Selon la LF, les revenus supérieurs à 30.000 dinars et inférieurs à 42.500 dinars des travailleurs handicapés moteurs, mentaux, non-voyants ou sourds-muets, ainsi que les travailleurs retraités du régime général, bénéficient d'un abattement supplémentaire sur le montant de l'IRG, non cumulable avec le deuxième abattement............................................................... --Décret exécutif n° 22-36 du Aouel Joumada Ethania 1443 correspondant au 4 janvier 2022 fixant les missions, l’organisation et le fonctionnement de la cellule de traitement du renseignement financier (CTRF), Joradp n°3 du 9 janvier 2022
  • 03-01-2022
    -Décrets exécutifs n°os 22-02 à 22-034 du 29 Joumada El Oula 1443 correspondant au 3 janvier 2022 portant répartition des crédits ouverts, au titre du budget de fonctionnement, par la loi de finances pour 2022, à La Présidence de la République (dont Secrétariat général, Secrétariat général du Gouvernement , Haut commissariat à l'amazighité , El-Haras El-Djamhouri et Médiateur de la République ), au Premier ministre(dont Participation de l’Alge?rie a? l’exposition universelle Dubai 2020 (Emirats Arabes Unis), Re?sidence d’Etat du Sahel, L’agence spatiale alge?rienne (ASAL), et Commissariat aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique) et aux différents ministères (Joradp n°1 du 3 janvier 2022)
  • 02-01-2022
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a ordonné, ce dimanche (Conseil des ministres), la création d'une nouvelle instance pour enquêter sur l'enrichissement des fonctionnaires publics, à travers des procédures légales rigoureuses pour la lutte contre la corruption. "Le Président de la République a décidé la création d'une nouvelle instance pour enquêter sur l'enrichissement des fonctionnaires publics, sans exclusive aucune, à travers des procédures légales rigoureuses pour la lutte contre la corruption et connaitre l'origine de leurs avoirs", a indiqué un communiqué du Conseil des ministres. Cette création intervient dans le cadre de l'organisation, de la composante et des prérogatives de la Haute autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption", ajoute la même source. Le Gouvernement avait examiné, lors de sa réunion tenue le 1 décembre 2021, un avant-projet de Loi portant organisation, composition et fonctionnement de la Haute Autorité de Transparence, de Prévention et de Lutte Contre la Corruption. En effet, la création de cette Haute Autorité constitue une étape importante dans la concrétisation de l’engagement du président de la République pour la moralisation de la vie publique et politique et le renforcement de la gouvernance , à travers la lutte résolue contre la corruption, le renforcement du contrôle et la garantie de la probité des responsables publics, la gestion saine des deniers de l’Etat et la consécration de la transparence. Ce texte de loi de loi s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des nouvelles dispositions de la révision constitutionnelle du 1er Novembre 2020.