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Finances

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  • 28-01-2021
    -La Banque d’Algérie a émis une nouvelle coupure de 2 000 DA et une pièce de monnaie de 200 DA. Des figures de la guerre d’indépendance y sont représentées. Le billet de 2 000 DA est d’une dimension de 158 mm x 71,8 mm. Il s’agit d’une coupure « bleu violacé au recto et marron violacé au verso ». « En vignette, le groupe des six : les six chefs historiques de la glorieuse révolution du 1er novembre 1954». « Le nouveau billet circulera concomitamment avec les billets de banque actuellement en circulation », précise la Banque d’Algérie. C’est la première fois que la banque d’Algérie émis des billets en référence aux héros de la révolution. Généralement c’est l’emir Abdelkader qui apparaît dans les billets ou des références générales de la révolution, mais jamais des héros connus. La pièce est, quant à elle, de « type bimétallique ». « Elle est constituée d’une couronne extérieure en cupronickel, de couleur grise acier, et d’un cœur en bronze serti à l’intérieur de cette couronne et de couleur jaune ». Sa face porte « l’effigie de Ahmed Zabana », qui est au revers du chiffre de 200 dinars. Le nouveau billet de 2.000 dinars et la nouvelle pièce de 200 dinars sont mise en circulation en Algérie à partir de la date de la publication au Journal officiel des règlements portant leur création et leur émission, c’est-à-dire ce mercredi 27 janvier, selon la Banque d’Algérie.
  • 26-01-2021
    -Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a présidé ce mardi au Centre international des conférences (CIC) à Alger, la cérémonie de célébration de la journée internationale des douanes, qui se tient cette année sous le slogan "Relance, renouveau, résilience: la douane au service d’une chaîne logistique durable"......................................................................................;; --Les recouvrements fiscaux réalisés par les douanes algériennes ont atteint 1.035 milliards de Da en 2020 contre 1.097 milliards DA en 2019, soit une baisse de 5%. Selon un bilan présenté mardi par des responsables des douanes algériennes lors des festivités de célébration de la Journée internationale de la Douane, le recouvrement fiscal réalisé par les services douaniers a connu une légère baisse de l'ordre de 5%, et ce en dépit d'un recul de 18% dans le volume des importations passées de 41,93 milliards de dollar en 2019 à 34,39 milliards de dollars. S'agissant des exportations, le bilan des douanes fait état d'un montant de 23,969 milliards de dollar en baisse de 33,57% par rapport à 2019, creusant ainsi le déficit de la balance commerciale à 10,595 milliards de dollar en 2020, en hausse par rapport à 2019 où il s'était établi à 6,110 milliards de dollar. Les recettes douanières ainsi que la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) recouvrées en 2020 par les services des Douanes ont atteint des taux d'exécution de 115,67 % et de 104,36% respectivement. Commentant ces chiffres, la chargée de l'information et de la communication par intérim à la direction générale des douanes , Nassima Berikssi a indiqué que le renforcement de l'efficacité et du suivi en matière de recouvrement fiscal permettront d'augmenter les recettes douanières, soulignant que les chiffres réalisés témoignent de l'attachement des douanes algériennes à exécuter les missions qui lui sont dévolues.................................................................... --La Banque d’Algérie (BA) a adressé aux banques une nouvelle note relative à l’ouverture des comptes de trésorerie devise, publiée sur son site web. Il s’agit de la note N 02/2022, datant du 26 janvier 2022, et signée par le Directeur Général des changes, Louai Zidi. Elle intervient en application de l’article 4 du règlement N 04-2020 du 15 mars 2020, relatif au marché interbancaire des changes, des opérations de trésorerie devise et aux instruments de couverture du risque de change. A cet effet, la note porte à la connaissance des banques « qu’elles peuvent ouvrir des comptes de trésorerie devise, sur les livres de la Banque d’Algérie ». « Ces comptes, seront dédiés au traitement des opérations de trésorerie devise conclues entre banques pour leur compte ou pour le compte de leur clientèle, et sont soumis aux mêmes règles de fonctionnement et d’habilitation que celles régissant le compte trésorerie dinar », stipule le document. « Ces comptes fonctionnent de façon créditrice et ne doivent en aucun cas afficher une position débitrice », explique la même source. La Banque d’Algérie a, par ailleurs, noté que « le compte devise fonds propres continuera à être dédié à toutes les opérations propres à la banque », précisant que « les banques transmettront à la Banque d’Algérie (Direction générale des relations financières extérieures-DGRFE), la liste des personnes habilitées à le mouvementer ». Les mécanismes de fonctionnement des comptes devises trésorerie seront détaillés par une note de la DGRFE, souligne la note.
  • 23-01-2021
    -Le Premier adresse une instruction à tous les membres du Gouvernement les invitants à une plus grande austérité dans la gestion des dépenses publiques qui doivent être réduites au strict minimum. "L'analyse des données liées à la situation financière de la fin de l'année confirme la tendance baissière des réserves des liquidités du Trésor public, écrit Abdelaziz Djerad, aussi je demande aux ministres de prendre des dispositions nécessaires pour réduire les dépenses" Les dépenses ainsi signalées sont les factures d'eau , d'électricité, le téléphone fixe et portable "pour éviter tout gaspillage"", écrit Djerad qui recommande aussi de tailler dans l'organisation des congrès, conférences nationales et autres journées d'étude en privilégiant les visioconférences. Les sorties sur le terrain doivent être limitées au strict minimum avec nécessité de réduire les membres des délégations lors des déplacements et l'utilisation des moyens de transport collectif pour faire des économies de carburant", insiste encore le Premier ministre
  • 10-01-2021
    -La Banque d’Algérie vient de reconduire pour la deuxième fois, jusqu’au 31 mars 2021, les mesures d’allégement de certaines dispositions prudentielles applicables aux banques et aux établissements financiers, contenues dans l’instruction N° 05 du mois d’avril 2020. Une décision qui s’inscrit en droite ligne avec la démarche du gouvernement, consistant à prêter main-forte aux entreprises nationales confrontées aux répercussions de la crise sanitaire. En effet, se trouvant en situation pour le moins imprévisible, voire inédite, nombre de ces entreprises ont mis la clé sous le paillasson, d’autres ont réduit de façon drastique leurs effectifs. Quant à l’assistance de la BA, comme le mentionne son communiqué, elle consiste à «réduire le seuil minimum du coefficient de liquidités, à dispenser les banques et les établissements financiers de l’obligation de constitution du coussin de sécurité». Il est également prévu le report du paiement des tranches de crédits arrivant à échéance, ou procéder au rééchelonnement des créances de la clientèle impactée par la conjoncture induite par la Covid-19, et d'assurer la poursuite des financements en faveur des bénéficiaires des mesures de report ou de rééchelonnement des créances.
  • 09-01-2021
    - Les membres du Bureau de l’Algérie de l’Organisation mondiale de sécurité anticorruption (OMSAC), établie à Genève (Suisse), ont été installés samedi en fin de journée à Constantine par le président du bureau, Hakim Lafouala. Des experts en économie, en finance, en droit et santé ont été installés dans leurs fonctions et devront entamer le travail pour le compte de l’OMSAC en collaboration avec les différentes institutions administrative, sécuritaire et militaire, a précisé H. Lafouala en marge de la cérémonie d’installation de ses membres issus de diverses régions du pays. Ces membres auront pour mission principale d’élaborer des dossiers ‘’fiables et précis’’ sur les différentes affaires posées dans le cadre du processus national de lutte contre la corruption, a fait savoir le même responsable, affirmant que la sélection de ces membre a pris en considération ‘’de multiples critères professionnels et profils personnels’’. A travers son bureau en Algérie, l’OMSAC oeuvre à former des experts dans la lutte contre la corruption dans les différents secteurs en mesure de participer activement, a-t-il ajouté, aux efforts nationaux de lutte contre ce phénomène qui constitue un véritable danger pour le pays et le peuple. Saluant les décisions prises par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, concernant la lutte contre la corruption, H. Lafouala a affirmé que l’OMSAC oeuvre à travers son bureau en Algérie à impliquer la société civile dans la lutte contre ce phénomène qui constitue, a-t-il estimé, ‘’l’affaire de tous’’. Il a, dans ce cadre, annoncé l’organisation ‘’prochainement’’ de rencontres avec les représentants de la société civile pour étudier les moyens et les mécanismes à mettre en place pour consolider l’intégration de la société civile à ce processus. Pour rappel l’OMSAC avait annoncé récemment l’organisation en Algérie d’une conférence internationale sur le rôle de la société civile dans la lutte contre la corruption.
  • 06-01-2021
    -La préparation de la réouverture des frontières donne des ailes à la bourse du marché parallèle de la devise du square Port-Saïd à Alger. La monnaie étrangère enregistre ces derniers jours une envolée et l’ambiance au niveau du célèbre square retrouve l’animation d’antan. Les cambistes se regroupent après avoir déserté la place, ce qui pousse à croire que l’activité du change fait ses préparatifs pour les grands jours. En effet, l’euro, la monnaie la plus demandée par les Algériens poursuit son ascension enclenchée depuis un mois et frôle la barre des 21 000 dinars pour 100 euros. Alors que quelque temps auparavant, la monnaie européenne oscillait entre les 19 000 dinars et 20 000 dinars. « On n’y comprend rien à ces fluctuations », nous confie un jeune cambiste, arguant qu’à titre d’exemple, 1 euro s’échangeait contre 199 dinars en novembre dernier. Dans le même sillage, le dollar américain s’inscrit dans cette tendance haussière puisqu’il s’échange actuellement contre 172 dinars à la vente, et 161 à l’achat. La tendance haussière de la monnaie étrangère s’est nettement précisée la semaine dernière, témoignent la majorité des cambistes rencontrés.
  • 04-01-2021
    -..Aymen Benabderrahmane, le ministre des Finances, a reconnu que l’État ordonnait des dépenses sans suivi des projets bénéficiant des financements. « On dépensait sans vérifier la qualité et les conditions de réalisation des projets. Dorénavant, on va accorder une attention particulière aux modalités de la dépense publique et à la qualité de cette dépense », a-t-il déclaré, lundi 4 janvier 2021, au Forum de la Chaîne Une de la radio nationale. Il a parlé d’un grand programme de réforme des finances publiques, des banques et des assurances avec la promulgation d’une douzaine de textes l’application des lois organiques de finances. « Il s’agit de maîtriser les dépenses, l’utilisation des recettes et les plans d’investissements publics. Cela ne veut pas dire austérité budgétaire. Il s’agit d’une rationalisation des dépenses. Il y a aura un contrôle strict sur les dépenses publiques. La dépense publique doit avoir un impact positif sur la société », a-t-il plaidé. Les affectations budgétaires des ministères annoncées jeudi 7 janvier 2021 Il a évoqué les efforts fournis pour présenter au Parlement la loi sur le règlement budgétaire (qui contrôle les dépenses autorisées par la loi de finance) dans des délais plus courts. Il a annoncé que les affectations budgétaires pour chaque département ministériel ne se feront plus en mars mais la première semaine du mois de janvier de chaque année. En ce sens, Jeudi 7 janvier 2021tous les départements ministériels et institutions auront leurs budgets. « C’est une prouesse considérable que nous avons fait », a-t-il dit. Évaluation des banques publiques sur l’octroi des crédits Aymen Benabderrahmane a également déclaré que des nouvelles mesures relatives à la réforme du système bancaire et à la gestion des banques seront annoncées la semaine prochaine. Une évaluation se fera, selon lui, dans toutes les banques publiques sur les conditions d’octroi de crédits à partir de ce mardi 5 janvier 2020. Le but est de dévoiler tous les dysfonctionnements constatés dans les procédures d’octroi de crédits surtout au niveau des comités chargés d’étudier les demandes de prêts. « In fine, c’est le Trésor public qui subit toute la charge de la mauvaise gestion au niveau des banques », a-t-il dit en parlant d’un « assainissement » du portefeuille des crédits au niveau du Trésor public. « Vous avez remarqué que nous n’avons introduit aucun nouvel impôt dans la loi de Finances 2021. Il y a même eu un abattement fiscal pour les salaires entre 40 et 42.000 dinars. La taxe sur le carburant de 1500 dinars a été supprimée », a précisé le ministre. Il a évoqué le lancement de la réforme du système fiscal depuis juillet 2020. Les nouvelles mesures relatives à la transparence, à l’équité fiscale et aux facilités fiscales ont été introduites dans la loi de Finances 2021 Expertise coréenne pour « numériser » les douanes Le ministre a annoncé que « la numérisation » des services des douanes sera achevée dans quelques semaines. Des experts coréens ont été sollicités pour assurer cette opération. « Ce projet remonte à quelques années. Nous avons déjà franchi plusieurs étapes. Reste quelques procédures à achever. L’équipe spécialisée coréenne n’a pas pu se déplacer en raison de la crise de Covid-19 (suspension des vols internationaux) », a-t-il indiqué. Les services des douanes ont, selon lui, pris plusieurs mesures ces derniers mois pour réduire la surfacturation dans les opérations d’import-export à travers notamment l’échange d’informations avec les services fiscaux et les secteurs ministériels ayant un rapport avec le commerce extérieur. « Nous estimons que la surfacturation constitue de 30 à 35 % de la facture globale d’importation ces dernières années. En 2014, la facture d’importation était de 64 milliards de dollars en raison notamment de la surfacturation », a-t-il rappelé. « Actuellement, nous sommes à 27 milliards de dollars, cela répond aux besoins du marché national. A la fin décembre 2020, nous avons réduit la facture d’importation de 8 milliards de dollars. Cette réduction sera plus importante en 2021 sans que cela ait un impact sur l’approvisionnement du marché national », a encore détaillé Aymen Benabderrahmane. Il a parlé de mesures fiscales, douanières et commerciales contenues dans la loi de Finances 2021 pour rendre la production nationale plus concurrentielle par rapport aux produits importés et booster les exportations................................................................................................................................................................................................... - Des équipes d’inspection se sont redues ce lundi au niveau de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) et des banques publiques, a-t-on appris auprès des ministères des Finances et de l’Agriculture. Le déplacement de ces équipes fait suite au mécontentement exprimé, hier dimanche, par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors de la réunion du Conseil des ministres au cours de laquelle le bilan annuel de plusieurs secteurs a été présenté. L’instruction d’enquêter au niveau de l’OAIC intervient suite à l’affaire relative à l’importation de 30 000 tonnes de blé tendre avarié de Lituanie fin novembre dernier. C’est le Premier ministre, Abdelaziz Djerad qui avait limogé le directeur général de l’OAIC, Abderrahmane Bouchahda.