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Culture (et Religion)
Journée du Mercredi 01/05/2025 |
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- Le Calife général de la Tariqa Tidjania, Cheikh Ali Belarabi, a entamé ce jeudi une visite officielle au Burkina Faso à la tête d'une importante délégation et sur invitation des Chouyoukh de la Tariqa au Burkina Faso.
Cette visite intervient dans le cadre du renforcement des liens spirituels entre les zaouias de la Tariqa Tidjania dans la région de l'Afrique de l'ouest, et elle comprendra un riche programme qui inclut la visite des zaouias de la Tariqa Tidjania qui enseignent le savoir, la jurisprudence et les origines de la Tariqa, mais aussi l'installation du Haut conseil de la Tariqa Tidjania au Burkina Faso ainsi que des rencontres avec nombre de responsables et de représentants des acteurs de la société civile.
Le Calife général de la Tariqa Tidjania, a eu droit, à son arrivée à Ouagadougou, à un accueil chaleureux de la part des Chouyoukh et disciples de la Tariqa au Burkina Faso. Il a assuré à l'occasion de sa gratitude et ses remerciements pour cet accueil, tout en espérant que cette visite contribuera à renforcer l'esprit de fraternité entre les deux pays et les deux peuples.
Le Calife général de la Tariqa Tidjania a reçu à son lieu de résidence dans la capitale Ouagadougou le Docteur Aboubakar Doukouré, Conseiller du président de la République du Burkina Faso pour les affaires religieuses, qui lui a rendu une visite de courtoisie.
Le Calife général Cheikh Sidi Ali Belarabi a salué la visite du docteur Aboubakar Doukouré, affirmant que "l'intérêt du pays est au-dessus de toutes considérations".
Fondée par Cheikh Ahmed Tidjani, la tariqa Tidjania, jouit d'une grande valeur spirituelle notamment en Afrique de l'Ouest et joue un rôle central dans la diffusion des valeurs de la tolérance, l'unité ainsi que la reforme spirituelle et sociétale. ...............................
-Source : https://www.algerie360.com: « Une vague d’indignation secoue l’Algérie depuis les déclarations incendiaires de l’historien Mohamed Amine Belghith. Invité sur la chaîne émiratie Sky News Arabia, Belghith a tenu des propos jugés profondément offensants envers l’identité algérienne, en affirmant que l’amazighité — reconnue comme composante fondamentale de la nation — ne serait qu’une « création des services secrets français et sionistes ».
Les déclarations de Mohamed Amine Belghith ont secoué les réseaux sociaux et les milieux intellectuels, qui les considèrent comme une attaque frontale contre la mémoire collective algérienne. Bien au-delà d’une simple opinion académique, de nombreux observateurs y voient un déni grave de l’identité de millions d’Algériens et une tentative de marginalisation culturelle aux implications dangereuses.
Historiens, chercheurs, enseignants et défenseurs de la culture amazighe ont rapidement réagi. Pour beaucoup, ces propos constituent un franchissement de ligne rouge : celle qui protège la cohésion sociale et le vivre-ensemble. Certains y voient même un acte de provocation calculée, visant à semer la discorde identitaire dans un pays encore marqué par des blessures historiques sensibles.
Le choix du média pour formuler ces propos — une chaîne souvent perçue comme hostile aux positions souveraines de l’Algérie — n’est pas anodin. Plusieurs voix dénoncent une tentative délibérée de frapper la stabilité interne du pays à travers la remise en question d’un des fondements de la Constitution : l’identité nationale, triptyque indissociable formé de l’islam, l’arabité et aussi de l’amazighité.
Cette posture soulève des questions sur les responsabilités des intellectuels dans l’espace public, et sur la frontière entre liberté d’expression et discours incitatif. Car ce que Belghith a déclaré, selon plusieurs spécialistes, relève moins d’un débat scientifique que d’un discours de division aux accents idéologiques.
Les autorités algériennes n’ont, jusqu’à présent, formulé aucune réaction officielle à ces déclarations. Mais la pression monte pour qu’un positionnement clair soit adopté. Des appels à poursuites judiciaires pour incitation à la haine ethnique commencent à émerger sur les réseaux sociaux.
Nombreux sont ceux qui estiment que de telles affirmations, tenues en public, doivent être soumises à la loi. Car derrière les mots, il y a une tentative, selon certains observateurs, de fissurer l’unité nationale et de transformer les divergences culturelles en conflits identitaires »
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