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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Mercredi 06/11/2025

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-L'Algérie a abrité, ce jeudi, la réunion ministérielle du Mécanisme tripartite des pays voisins concernant la crise en Libye, avec la participation du ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, du ministre égyptien des Affaires étrangères, de l'Immigration et des Expatriés égyptiens, Badr Abdel-Ati, et du ministre tunisien des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l'étranger, Mohamed Ali Nafti, indique un communiqué du ministère. La réunion a permis de procéder à des concertations approfondies et à un large échange de vues sur "les développements de la situation en Libye et les moyens de contribuer aux efforts visant à relancer le processus politique dans ce pays frère, sous l'égide des Nations Unies, partant du principe que les pays voisins sont les plus directement impactés par les répercussions de la crise libyenne, les plus proches de sa réalité et de ses détails et les plus soucieux de parvenir à un règlement durable", précise la même source. Les travaux de la réunion du Mécanisme tripartite ont été sanctionnés par l'adoption d'un communiqué conjoint, qui réaffirme l'importance du "principe d'appropriation et de conduite" du processus politique en Libye par les frères Libyens et qui exhorte toutes les parties libyennes à placer les intérêts supérieurs de leur pays au-dessus de toute autre considération, pour mettre fin aux divisions, unifier les institutions politiques et militaires et organiser les élections législatives et présidentielle, ajoute la même source. Le communiqué conjoint réaffirme également la position des trois pays "rejetant toute forme d'ingérence étrangère dans les affaires intérieures libyennes" et "appelant au retrait des mercenaires et combattants étrangers du territoire libyen". Le communiqué conjoint salue, par ailleurs, "le rôle et les efforts de l'Algérie au Conseil de sécurité des Nations Unies pour mettre en lumière la responsabilité qui incombe à la communauté internationale dans la préservation des ressources du peuple libyen et la garantie de la bonne gestion de ses avoirs financiers gelés".............................................. - Mahmoud Abbas est accueilli pour la première fois par le pape Léon XIV au Vatican. Le pape et le président de l'Autorité palestinienne ont évoqué Gaza, la crise humanitaire dans l'enclave palestinienne et la relance de la solution à deux États....................................................... -Le Kazakhstan a annoncé ce jeudi qu'il rejoindra les accords d'Abraham, un processus qui en 2020 avait vu plusieurs pays arabes normaliser leurs relations avec l'entité sioniste, une décision qualifiée de "réels progrès" par le président américain. Le pays d'Asie centrale a toutefois déjà des relations diplomatiques avec l'entité sioniste, contrairement aux premiers signataires. " Le pays participe jeudi avec d'autres Etats d'Asie centrale à un sommet à la Maison Blanche avec Donald Trump. Un haut responsable américain n'a pas précisé à quoi le Kazakhstan s'engageait exactement avec cette décision. Ce processus des accords d'Abraham est une priorité diplomatique de Donald Trump. "Beaucoup de monde est en train de rejoindre les accords d'Abraham et j'espère que nous aurons bientôt l'Arabie saoudite", qui elle n'a pas de relations diplomatiques officielles avec l'entité sioniste, a par exemple déclaré le président américain mercredi. Il a aussi fait pression sur la Syrie, dont il reçoit lundi le président Ahmad al-Chareh, pour qu'elle rejoigne cette initiative diplomatique. En 2020, les accords d'Abraham ont mené à la normalisation des relations entre Israël et des pays arabes: les Emirats arabes unis, Bahreïn, Maroc et Soudan. Mais nombre d'Etats ont jusqu'ici refusé de se joindre à ce processus, en particulier l'Arabie saoudite, ainsi que la Syrie et le Liban, voisins d'Israël.